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PLOTIN (205-270)

Bibliographie

Plotin, Ennéades, texte grec et trad. franç., É. Bréhier éd., 7 vol., Les Belles Lettres, Paris, 1924-1938.

P. Aubin, Plotin et le christianisme, Beauchesne, Paris, 1992

É. Bréhier, La Philosophie de Plotin, Paris, 3e éd. 1928, réimpr. Vrin, 1982

A. Charles-Saget, L'Architecture du divin : mathématique et philosophie chez Plotin et Proclus, Les Belles Lettres, 1982

M. de Gandillac, La Sagesse de Plotin, Hachette, Paris, 1952

P. Hadot, Plotin, ou la Simplicité du regard, Plon, Paris, 1963, 3e éd. 1989

K. Jaspers, « Plotin », trad. M. de Gandillac, in Les Grands Philosophes (Die grossen Philosophen, 1957), vol. IV, ibid., Paris, 1963

J. Moreau, Plotin, ou la Gloire de la philosophie antique, Vrin, 1970

H. D. Saffrey, Recherches sur le néoplatonisme après Plotin, ibid., 1990

J. Trouillard, La Procession plotinienne, Paris, 1955.

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Pour citer cet article

Maurice de GANDILLAC. PLOTIN (205-270) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Autres références

  • DU BEAU, ENNÉADES I, 6 et V, 8, Plotin - Fiche de lecture

    • Écrit par Daniel RUSSO
    • 962 mots

    Plotin (205-270) a cinquante-neuf ans quand il rencontre Porphyre (234-305 env.), qui demeure avec lui pendant six ans et qui, après sa mort, réunit ses œuvres en cinquante-quatre livres, partagés en six Ennéades. Les passages sur le Beau et le Beau intelligible occupent respectivement les livres...

  • ENNÉADES, Plotin - Fiche de lecture

    • Écrit par François TRÉMOLIÈRES
    • 841 mots

    Les Ennéades (de enneas, le chiffre neuf en grec) ne constituent pas à proprement parler une œuvre de Plotin (205-270), mais la bibliothèque plotinienne : c'est en effet le nom donné au rassemblement par Porphyre, après la mort du maître, de cinquante-quatre traités ou conférences d'importance...

  • ACTE, philosophie

    • Écrit par Paul GILBERT
    • 1 282 mots
    ...certaine manière chez Aristote, de qui Thomas l'a reçue ; elle a été retenue surtout par le néo-platonisme, qui constitue une autre de ses sources. Pour Plotin, l'être suit l'agir, car il est énergie, mouvement. Ce qu'Aristote disait de l'intellection, Plotin le transpose dans...
  • ANTIQUITÉ - Naissance de la philosophie

    • Écrit par Pierre AUBENQUE
    • 11 137 mots
    • 8 médias
    ...dualisme bien-pensant, teinté de religiosité, qui oppose la matière, source du mal, et le principe du bien. D'un autre niveau est la philosophie de Plotin (204-270), qui, né en Égypte, formé à Alexandrie, a enseigné à Rome après un voyage en Orient. On a pu le croire influencé par les religions orientales,...
  • ARCHITECTURE (Thèmes généraux) - Architecture et philosophie

    • Écrit par Daniel CHARLES
    • 5 459 mots
    ...Intermédiaire ou médiateur, le démiurge, qui recoud ce qui a été séparé, ne saurait cependant être vu « en direct » ; l'architecte est censé y suppléer. Plotin dira de même que le savoir qui permet la construction architecturale doit mêler connaissance divine et sensible ; l'architecture est alors « la...
  • ASCÈSE & ASCÉTISME

    • Écrit par Michel HULIN
    • 4 668 mots
    • 1 média
    ...de la catharsis, elle se prolonge chez les gnostiques et les manichéens, mais plus nettement encore dans le néo-platonisme. Toute la philosophie de Plotin, en particulier, se laisse interpréter comme une méditation sur le thème de la déchéance de l'âme, consécutive à son exil dans le corps : « C'est...
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Voir aussi