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CORTEX CÉRÉBRAL

Articles

  • ÉPILEPSIE

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    • 6 164 mots
    • 3 médias
    ...partie d'un seul hémisphère. Leur expression électro-encéphalographique, du moins à leur début, n'intéresse que la partie d'un hémiscalp qui recouvre la représentation corticale du système en question. La décharge neuronique qui les provoque débute généralement dans la zone corticale correspondante et...

  • HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX

    • Écrit par et
    • 12 328 mots
    • 8 médias
    ...plus épaisse de fibres nerveuses. Ces nappes cellulaires disposées à la périphérie des hémisphères vont constituer une couche de « substance grise », le cortex cérébral, qui peut être divisée en trois régions : médiane (ou interhémisphérique), latérale et dorsale. Chez les Mammifères inférieurs, le cortex...

  • HITZIG EDUARD (1838-1907)

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    • 1 349 mots
    • 1 média

    Psychiatre allemand, Eduard Hitzig est surtout connu pour ses travaux pionniers de stimulation électrique du cortex cérébral de mammifères, qui a permis l’élaboration de la théorie des localisations cérébrales, selon laquelle le cortex est organisé en aires spécialisées pour des fonctions...

  • IMAGE MENTALE

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    • 980 mots
    • 1 média

    Quand nous pensons à la manière d’agencer nos valises pour qu’elles puissent toutes tenir dans le coffre de notre voiture ou au trajet le plus rapide pour nous rendre d’un point A à un point B, nous avons tendance à simuler ces événements en visualisant l’ensemble des solutions qui s’offrent à nous...

  • INHIBITION (psychologie)

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    • 1 324 mots
    • 1 média

    L’inhibition est une forme de contrôle qui nous permet de résister aux habitudes ou automatismes, aux tentations, distractions ou interférences. L’idée selon laquelle l’inhibition est un processus central de l’adaptation n’est pas nouvelle dans les sciences de l’esprit et du cerveau, mais elle a connu...

  • IMAGERIE PAR RÉSONANCE MAGNÉTIQUE DE DIFFUSION (IRMD)

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    • 2 867 mots
    • 2 médias
    ...telle sorte que le signal IRMd prédit les régions cérébrales qui s’activeront par l’IRMf chez un sujet lors d’une certaine tâche. Par exemple, lorsque le cortex visuel est fortement activé par la présentation d’un échiquier clignotant à intervalles réguliers, le signal IRMd précède le signal IRMf et présente...

  • LIMBIQUE SYSTÈME

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    • 4 403 mots
    • 1 média
    Les structures corticales du système limbique sont situées sur la face interne donc médiane de l'hémisphère cérébral ; ce sont :

  • MAMMIFÈRES

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    • 10 795 mots
    • 20 médias
    ...fondamentaux qui le constituent – septum, striatum, pallium –, ce dernier prend une place prépondérante. Il se différencie en archi-, paléo-et néopallium. Le néopallium, ou cortex, discrètement annoncé chez les Sauropsidés, se développe aux dépens des deux autres formations qui se trouvent refoulées ventralement,...

  • MÉMOIRE

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    • 4 266 mots
    • 1 média
    ...Les études d’imagerie cérébrale portant sur la mémoire de travail convergent et aboutissent à l'implication d’un vaste réseau s’étendant du cortex préfrontal à plusieurs régions néocorticales postérieures. Le cortex préfrontal intervient lorsque la tâche implique une manipulation de l’information...

  • AUTORÉFÉRENCE ET MÉMOIRE

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    • 848 mots

    L’effet de l’autoréférence sur la mémoire désigne le fait que les informations relatives à soi sont mieux mémorisées que les informations relatives à autrui.

    La procédure classique qui a permis la mise en évidence de cet effet consiste à présenter des adjectifs décrivant des traits de ...

  • MOUNTCASTLE VERNON BENJAMIN (1918-2015)

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    • 491 mots

    Vernon Mountcastle est un neurophysiologiste américain qui a mené des recherches pionnières sur l’organisation fonctionnelle du cortex cérébral des mammifères. Sa découverte fondamentale, réalisée au début des années 1950 et publiée en 1957, est celle de l’organisation en colonnes du cortex...

  • NERVEUX (SYSTÈME) - Neurogenèse et évolution

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    • 10 367 mots
    • 7 médias
    Chez les mammifères, le grand trait évolutif consiste dans l'extraordinaire développement du cortex général (dénommé dès lors néocortex). Celui-ci prendra une structure laminaire à six couches. La lamination, c'est-à-dire la présence dans certaines parties du S.N.C. de couches alternées...

  • NERVEUX (SYSTÈME) - Neurobiologie

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    • 13 752 mots
    • 11 médias
    Les substances pharmacologiques, phénobarbital, phénytoïne par exemple, diminuent l'excitabilité du cortex, ce qui justifie leur emploi dans le traitement de l'épilepsie.

  • NEUROSCIENCES COGNITIVES ET THÉORIE DE L'ESPRIT

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    • 1 325 mots
    • 1 média

    Le concept de théorie de l’esprit renvoie à nos connaissances sur la manière dont l’esprit humain fonctionne. Ces connaissances sont utilisées de manière plus ou moins explicite pour attribuer des états mentaux (émotions, désirs, intentions, croyances et connaissances) à soi-même et à autrui afin d’adapter...

  • NEUROSCIENCES COGNITIVES

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    • 4 899 mots
    • 2 médias
    ...chercheurs disposent maintenant de la « stimulation magnétique transcrânienne » (S.M.T.) qui interrompt ou perturbe le fonctionnement d'une région précise du cortex cérébral et peut être utilisée chez l'homme sain. Un champ magnétique généré par une bobine placée juste au-dessus du crâne permet de stimuler...

  • NEUROSCIENCES COGNITIVES ET DOULEUR

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    • 1 409 mots
    ...d’afférence associé aux fibres nerveuses Aδ et C, l’existence d’un système spécifique de transformation de l’information nociceptive en douleur au niveau du cortex cérébral est largement débattue. À ce niveau, le message nerveux issu de l’activation des récepteurs et fibres nociceptives est projeté dans un...

  • NOUVEAU-NÉ (psychologie)

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    • 1 215 mots

    Le terme « nouveau-né » est réservé pour tout enfant de la naissance jusqu’à la fin du premier mois de vie. Une naissance à terme est comprise entre 37 et 41,5 semaines d’aménorrhée. Le nouveau-né à terme a en moyenne un poids de 3 250 g et une taille de 50 cm. Le nouveau-né apte à la vie extra-utérine...

  • PERCEPTION DU TEMPS

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    • 1 784 mots
    De nos jours, la psychologie s’oriente vers une troisième solution plus intégrative suivant laquelle l’être humain recourrait, pour estimer le temps, à des indices internes (horloge interne) ou externes, voire aux deux, selon les conditions de jugement (importance des durées, saillance des informations...

  • PERCEPTION TACTILE

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    • 1 291 mots
    En raison de l’implication du système moteur dans l’activité exploratoire de la main, les aires somesthésiques et motrices sont impliquées. Les aires somesthésiques traitent les afférencescutanées et proprioceptives (entrées sensorielles). Une manière d’illustrer les différences de sensibilité...

  • PLASTICITÉ CÉRÉBRALE

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    • 7 548 mots
    • 6 médias
    ...milieu des années 1950 au niveau rétinien, avec les travaux de Stephen Kuffler, de Ragnar Arthur Granit, et de Gunnar Svaetichin. Cependant, c'est le cortex cérébral qui verra les découvertes les plus spectaculaires lorsque sera montrée l'étroite spécificité du cortex visuel et de son organisation...
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