NÉO-CLASSIQUE THÉORIE ÉCONOMIQUE
Article principal
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ÉCONOMIE (Histoire de la pensée économique) - Théorie néo-classique
- Écrit par Jean-Marc DANIEL
- 2 503 mots
- 2 médias
Après les révolutions de 1848 en Europe, l'économie politique qualifiée de classique par Karl Marx, celle de l'Écossais Adam Smith et de l'Anglais David Ricardo, doit affronter une double contestation. Celle des milieux conservateurs d'abord qui accusent les théories de Ricardo,...
Articles associés
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ACTION RATIONNELLE
- Écrit par Michel LALLEMENT
- 2 329 mots
- 1 média
...abondamment exploré par les économistes qui en ont même fait, pour certains d'entre eux, le parangon de toute action relevant de leur domaine de spécialité. L'approche néoclassique, qui s'impose à partir des années 1870, fournit les bases d'une telle modélisation de l'action dont l'intelligence... -
BANQUES CENTRALES
- Écrit par Sylvie DIATKINE
- 6 068 mots
- 1 média
...Depuis 1980, dans un contexte de développement et de libéralisation des marchés financiers internationaux et des innovations financières, de désinflation, la politique monétaire a recherché une « crédibilité » qui a coïncidé avec les idées des « nouveaux classiques » (Robert Lucas, 1972). ... -
BECKER GARY STANLEY (1930-2014)
- Écrit par Françoise PICHON-MAMÈRE
- 1 085 mots
En 1992, le jury suédois a décerné une fois encore le prix Nobel d'économie à un professeur de l'université de Chicago, un an après la consécration de Ronald Coase, enseignant également dans cette université. Les caractéristiques du lauréat de 1992 sont conformes à celles de ses prédécesseurs....
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BIEN ÉCONOMIQUE
- Écrit par Marc PÉNIN
- 1 590 mots
- 2 médias
...d'échange des biens (leur prix) – la valeur d'usage n'étant plus qu'une condition nécessaire à l'existence d'une valeur d'échange. À la fin du xix e siècle, les économistes néo-classiques (Stanley Jevons, Karl Menger, Léon Walras, Alfred Marshall) effectuent un retour très partiel à la conception ancienne... -
CHOIX PUBLICS ÉCOLE DES ou PUBLIC CHOICE SCHOOL, économie
- Écrit par Samuel FEREY
- 985 mots
Née au tournant des années 1960, sous l'influence des travaux d'Anthony Downs, Gordon Tullock et James M. Buchanan (distingué par le prix Nobel d'économie en 1986), l'école des choix publics a profondément renouvelé l'étude des faits politiques. Si ses objets d'étude restent ceux de...
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COÛTS DE PRODUCTION
- Écrit par Nicolas COUDERC
- 1 322 mots
En général, et c'est l'hypothèse retenue parla théorie économique néo-classique « standard », il existe une taille optimale commune à toutes les entreprises présentes sur un même marché, car ces entreprises sont supposées caractérisées par la même fonction de production. Cela signifie... -
COMMERCE INTERNATIONAL - Théories
- Écrit par Lionel FONTAGNÉ
- 6 361 mots
La théorie néoclassique, sur la base de l'apport d'Eli Heckscher et de Bertil Ohlin, va systématiser l'approche en termes d'avantage comparatif en donnant une nouvelle explication aux différences de prix relatifs, les différences de dotations nationales en facteurs de production, et en intégrant le... -
CONCURRENCE, économie
- Écrit par Alain BIENAYMÉ
- 6 373 mots
La théorie néo-classique, principalement représentée par Léon Walras et Vilfredo Pareto, donna à la fin du xix e siècle l'expression la plus achevée d'une structure de marché qui se situe aux antipodes du monopole. Elle expose une vision strictement individualiste de la société, au point de confondre... -
CRISE DES SUBPRIMES
- Écrit par Dominique PLIHON
- 4 803 mots
- 1 média
...d'usines et au rachat d'entreprises, vont vers les pays en développement (y compris les pays émergents) qui représentent 80 p. 100 de la population mondiale. L'un des chefs de file de l'économie néoclassique, le Prix Nobel Robert Lucas a qualifié de « paradoxe » cette contradiction entre les faits et la théorie... -
DÉPRESSION ÉCONOMIQUE
- Écrit par Bernard DUCROS
- 2 792 mots
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ÉCONOMIE MONDIALE - 1991 : une économie convalescente
- Écrit par Tristan DOELNITZ
- 7 613 mots
Il existe une corrélation historique, sur le plan national, entre le taux d'épargne et l'investissement. Les tenants de l'économie néo-classique nient l'influence de ce taux sur la croissance à long terme, qui serait essentiellement liée à l'innovation technologique. En 1991, les... -
ÉCONOMIE SOCIALE
- Écrit par Éric BIDET
- 5 289 mots
Quant à Walras, même s'il est surtout connu aujourd'hui pour être un des fondateurs de l'analyse néo-classique, sa pensée s’inscrit dans une double rupture : avec la tradition classique, en préconisant l'introduction des mathématiques en économie, et avec une conception libérale de l'économie, en montrant... -
ÉCONOMIE SOCIOLOGIE DE L'
- Écrit par Frédéric LEBARON
- 4 044 mots
- 1 média
...de remise en cause de la théorie économique dominante, marquée par la querelle des méthodes (Methodenstreit) entre l'école historique allemande et la théorie néoclassique et par le développement d'une économie « marxiste ». Pour les promoteurs d'une économie plus « sociale », la théorie néoclassique... -
ÉCONOMIE (Définition et nature) - Enseignement de l'économie
- Écrit par Jean-Marc DANIEL
- 4 885 mots
...avec la nomination d'Alfred Marshall à Cambridge et celle de Francis Ysidro Edgeworth à Oxford. Marshall possède une formation de mathématicien et ses Principes d'économie politique qui paraissent en 1890, malgré un hommage appuyé à David Ricardo, sont dans la ligne de Jevons et de Walras et... -
ÉCONOMIE (Histoire de la pensée économique) - Keynésianisme
- Écrit par Olivier BROSSARD
- 7 255 mots
Dans les théories néo-classiques, le taux d'intérêt est la récompense de la frugalité : c'est l'accroissement relatif de consommation dont les épargnants peuvent bénéficier dans le futur, lorsqu'ils acceptent de renoncer à une partie de leur consommation immédiate. Il dépend alors de deux éléments :... -
ÉCONOMIE (Histoire de la pensée économique) - Les grands courants
- Écrit par Jérôme de BOYER
- 7 647 mots
- 10 médias
À partir du dernier quart du xix e siècle, et tout au long du xx e siècle, le courant dit « néo-classique » va progressivement devenir dominant. Si les thèmes de rupture avec les classiques rassemblent les auteurs de ce courant, celui-ci est traversé par de nombreuses écoles qui divergent sur l'analyse... -
ENTREPRISE - Théories et représentations
- Écrit par Gérard CHARREAUX
- 5 604 mots
Pour comprendre la justification contractuelle de la firme, il faut, paradoxalement, prendre pour référence le modèle d'équilibre général de la théorie économique néo-classique, au sein duquel la firme, réduite au statut de « firme-point », n'a pas de véritable existence. Dans ce modèle, utile pour comprendre... -
FOUNDATIONS OF SUPPLY-SIDE ECONOMICS, V.A. Canto, D.H. Joines et A.B. Laffer - Fiche de lecture
- Écrit par Annie SORIOT
- 1 016 mots
- 1 média
...Supply-Side Economics étudient les effets macroéconomiques (sur les revenus des facteurs, le marché du travail, la croissance économique) de la fiscalité à partir de la théorie néo-classique « standard » du choix économique : les agents maximisent leur satisfaction en minimisant leurs coûts et modifient... -
HICKS JOHN RICHARD (1904-1989)
- Écrit par Christine BARTHET
- 577 mots
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INFLATION
- Écrit par Jacques LE CACHEUX
- 7 574 mots
- 6 médias
...et niveau général des prix, d'une part, avec celle, plus neuve, d'anticipations rationnelles, il n'y avait qu'un pas, vite franchi par les tenants de la « nouvelle économie classique », émules de Robert Lucas, lui aussi prix Nobel d'économie (en 1995) : inutile, selon eux, de tenter de réduire le taux... -
INNOVATION, notion d'
- Écrit par Abdelillah HAMDOUCH
- 1 352 mots
...la sous-tendent ou qu'elle induit. L'innovation peut ainsi être interprétée comme un déterminant de la concurrence. C'est en particulier le cas de la vision néo-classique traditionnelle pour laquelle l'innovation correspond à l'apparition (exogène) d'une technologie qui détermine la structure du marché... -
INNOVATION
- Écrit par Abdelillah HAMDOUCH
- 7 791 mots
- 1 média
L'approche théorique la plus courante consiste à faire de l'innovation un déterminant de la concurrence. C'est en particulier le cas de la vision néo-classique traditionnelle, dans laquelle l'innovation est assimilée à l'apparition (exogène) d'une technologie qui définit les nouvelles conditions efficientes... -
JEVONS WILLIAM STANLEY (1835-1882)
- Écrit par Guy CAIRE
- 1 319 mots
- 1 média
Économiste et logicien britannique, William Stanley Jevons s'est intéressé à de nombreuses questions économiques, de la formation des prix à l'explication des fluctuations économiques mais, dans l'histoire de la pensée économique, il est essentiellement considéré, à côté de ...
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KYDLAND FINN E. (1943- )
- Écrit par Françoise PICHON-MAMÈRE
- 1 007 mots
Après Ragnar Frisch, premier lauréat du prix Nobel d'économie en 1969, et Trygve Haavelmo, qui l'obtint vingt ans plus tard, Finn E. Kydland est, en 2004, le troisième Norvégien à remporter cette récompense. Il partage le prix avec l'Américain Edward C. Prescott, professeur à W.P....
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L'ACCUMULATION DU CAPITAL, Joan Violet Robinson - Fiche de lecture
- Écrit par Jean-Marc DANIEL
- 890 mots
- 1 média
Le livre s'écarte de la théorie néo-classique en ne considérant pas le taux d'intérêt comme le paramètre essentiel du processus d'expansion. Joan Robinson constate que la vision néo-classique part de l'idée que les entreprises n'ont aucun autofinancement, ou, tout... -
LA THÉORIE ÉCONOMIQUE DU SOCIALISME, Oskar Lange - Fiche de lecture
- Écrit par Jean-Marc DANIEL
- 854 mots
Né en 1904, Lange adhère au marxisme après l'avènement des idées néo-classiques dont Walras est la figure la plus emblématique. Ses propositions visent à concilier l'enseignement de la théorie économique néo-classique qu'il a reçu et son propre idéal politique. Ce sont les difficultés des régimes communistes... -
LUCAS ROBERT EMERSON Jr. (1937- )
- Écrit par Françoise PICHON-MAMÈRE
- 749 mots
La pensée libérale est très souvent mise à l'honneur par les cinq membres du jury de l'Académie royale des sciences de Suède. Après Friedrich August von Hayek (1974), Milton Friedman (1976), George Stigler (1982), James Buchanan Jr. (1986) et Gary Becker (1992), Robert E. Lucas Jr.,...
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M. KEYNES ET LES " CLASSIQUES ": PROPOSITION D'UNE INTERPRÉTATION, John R. Hicks - Fiche de lecture
- Écrit par Jean-Sébastien LENFANT
- 1 085 mots
- 1 média
Il n'en reste pas moins que le renversement de perspective et surtout l'intégration de la vision classique et keynésienne dans un même modèle expliquent largement le succès du modèle IS-LM. Repris et développé notamment par Alvin Hansen et Franco Modigliani, il donnera lieu à la synthèse... -
MACROÉCONOMIE - Croissance économique
- Écrit par Jean-Olivier HAIRAULT
- 8 540 mots
- 1 média
Sans autre source de croissance, l'accumulation du capital n'est donc pas suffisante pour assurer la pérennité de la croissance de la production par tête. C'est la conclusion du modèle de croissance néo-classique proposé par Robert Solow en 1956. Une économie faiblement capitalistique (caractérisée... -
MARSHALL ALFRED (1842-1924)
- Écrit par Jean MATHIOT
- 930 mots
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MEADE JAMES EDWARD (1907-1995)
- Écrit par Gabriel POULALION
- 815 mots
Né le 23 juin 1907 à Swanage, en Angleterre, James Edward Meade suit des études littéraires à Oxford, puis des études économiques à Cambridge (Grande-Bretagne), universités dont il est diplômé (master of arts) en 1928 et 1930, respectivement. Cette double formation universitaire lui vaut d'être...
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MONNAIE - Théorie économique de la monnaie
- Écrit par Patrick VILLIEU
- 6 586 mots
- 2 médias
...est alors d'expliquer pourquoi, après une émission de monnaie, des agents rationnels maintiennent les anciens prix au lieu d'en proposer de nouveaux. La première explication, proposée par la nouvelle école classique, maintient l'hypothèse de concurrence parfaite mais assouplit celle d'information parfaite.... -
NÉO-LIBÉRALISME ou NÉOLIBÉRALISME
- Écrit par Liêm HOANG NGOC
- 6 409 mots
- 4 médias
...académique que sur le plan politique. Elles ont pour ambition d'actualiser la thèse quantitativiste traditionnelle tout en maintenant les propriétés des modèles néo-classiques, et en particulier l'hypothèse d'une neutralité de long terme de la monnaie. Au plan normatif, elles cherchent à démontrer l'inefficacité... -
NORTH DOUGLASS CECIL (1920-2015)
- Écrit par Françoise PICHON-MAMÈRE
- 881 mots
Douglass Cecil North, professeur à l'université Washington de Saint Louis (Missouri) fut colauréat, avec son compatriote Robert William Fogel, du prix Nobel des sciences économiques en 1993 pour avoir « renouvelé la recherche en histoire économique par l'application de la théorie économique...
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NOUVELLE ÉCOLE CLASSIQUE (N.E.C.), économie
- Écrit par François LANGOT
- 2 141 mots
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PHELPS EDMUND (1933- )
- Écrit par Françoise PICHON-MAMÈRE
- 861 mots
La décision de la Banque de Suède d'attribuer le prix Nobel d'économie 2006 à Edmund Strother Phelps a été accueillie sans réserve des deux côtés de l'Atlantique. Professeur d'économie politique à l'université de Columbia (New York), Phelps est un libéral au sens américain du terme, apprécié...
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PRINCIPES D'ÉCONOMIE POLITIQUE, Alfred Marshall - Fiche de lecture
- Écrit par Jean-Sébastien LENFANT
- 928 mots
Ouvrage de référence du marginalisme anglais (Stanley Jevons, Francis Edgeworth), source d'inspiration dominante de l'orthodoxie cambridgienne jusqu'au regain d'intérêt pour la théorie de l'équilibre général sous l'impulsion de John Hicks ( Valeur et capital...
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PRIX
- Écrit par Nathalie BERTA
- 1 143 mots
...production ; la concurrence est alors censée garantir la convergence du prix de marché vers le prix naturel, correspondant à la véritable valeur du bien. Les économistes néo-classiques, tels que Léon Walras ou Stanley Jevons, en revanche, abandonnent cette distinction : les prix résultent directement de... -
RÉPARTITION DES REVENUS
- Écrit par Ozgur GUN
- 1 072 mots
Mais tel est le cas également pour l'autre approche, celle del'école néo-classique, à laquelle sont notamment associés les noms de Stanley Jevons (1835-1882), Léon Walras (1834-1910) et Alfred Marshall (1842-1924). Pour celle-ci, la production de biens et services est le fruit de l'action... -
RATIONAL EXPECTATIONS AND ECONOMETRIC PRACTICE, Robert Lucas et Thomas Sargent - Fiche de lecture
- Écrit par Marion GASPARD
- 866 mots
La crise économique des années 1970, caractérisée notamment par la « stagflation » (situation durable de fort chômage et d'inflation élevée) met à mal les modèles macroéconomiques keynésiens, utilisés depuis la Seconde Guerre mondiale. Après les critiques des « monétaristes » (Milton...
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RICHESSE DÉFINITIONS ET MESURES DE LA
- Écrit par Jean GADREY
- 4 216 mots
- 5 médias
...son traité d'économie politique de 1803, qui en la matière exprimait sa singularité par rapport à ses contemporains), signe décisif de leur utilité. L'école dite marginaliste, et la théorie néoclassique contemporaine, s'inscrivent dans cette représentation marchande de la richesse. -
SALARIAT
- Écrit par Denis CLERC
- 7 694 mots
- 2 médias
...en son sein même. Sous la pression d'un taux de chômage élevé, le droit du travail est de plus en plus regardé comme un obstacle à l'emploi : dans le droit fil de la théorie néoclassique, tout ce qui contribue à rigidifier la relation de travail est analysé comme un frein au fonctionnement optimal... -
SAMUELSON PAUL ANTHONY (1915-2009)
- Écrit par Universalis
- 897 mots
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SERVICES ÉCONOMIE DE
- Écrit par Jean-Charles ASSELAIN
- 11 221 mots
...auteurs dont l'opinion est proche de la sienne reconnaissent presque toujours que les activités dites improductives ne sont pas pour autant inutiles. La théorie néo-classique de la valeur, qui prévaut à partir de la fin du xix e siècle, écarte radicalement pour sa part toute opposition entre produits... -
SOLOW ROBERT MERTON (1924- )
- Écrit par Françoise PICHON-MAMÈRE
- 859 mots
Né à Brooklyn, formé à Harvard, assistant au Massachusetts Institute of Technology, puis professeur à partir de 1957, Robert Merton Solow a obtenu le prix Nobel d'économie en 1987. Sa Théorie de la croissance, publiée en 1970, fait référence, de même que son ouvrage sur ...
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SRAFFA PIERO (1898-1983)
- Écrit par Christine BARTHET
- 369 mots
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TAUX D'INTÉRÊT
- Écrit par Virginie COUDERT
- 4 849 mots
Dans la théorie néo-classique (Eugen von Böhm-Bawerk, William Stanley Jevons, Irving Fisher), le taux d'intérêt réel a un rôle crucial, car il permet d'équilibrer l'épargne et l'investissement. Pour financer l'économie, un certain nombre d'agents, les épargnants, doivent accepter... -
TOBIN JAMES (1918-2002)
- Écrit par Bruno JETIN
- 975 mots
Né en 1918 à Champaign (Illinois, États-Unis) et mort le 11 mars 2002 à New Haven (Connecticut), James Tobin explique sa passion pour l'économie par le souvenir de la grande dépression qui l'a profondément marqué durant son enfance. D'où sa volonté de mettre la réflexion théorique au service de la...
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VALEUR, économie
- Écrit par Nathalie BERTA
- 1 121 mots
...alors plus particulièrement à établir les lois de variations des prix, prix censés résulter de la confrontation des offres et des demandes globales. Le courant néo-classique, né à la fin du xix e siècle et aujourd'hui dominant, propose une théorie de la formation des prix résumée dans l'ouvrage fondateur... -
WALRAS LÉON (1834-1910)
- Écrit par Bernard VALADE
- 2 249 mots
...plupart portent sur le caractère statique de sa construction que ne suffit pas à dynamiser, comme il le pensait, la réintroduction du facteur « temps », c'est sa formulation mathématique des conditions de l'équilibre économique, l'apport le plus original de l'école de Lausanne, qui est au cœur des systèmes... -
WICKSELL JOHN GUSTAV KNUT (1851-1926)
- Écrit par Guy CAIRE
- 332 mots
- 1 média