CHRISTOLOGIE

Articles associés

  • ALIÉNATION

    • Écrit par Paul RICŒUR
    • 7 045 mots
    ...de l'origine du mal. Si la gnose de l'aliénation a quelque répondant dans la théologie chrétienne, c'est moins dans le thème de la création que dans la christologie, si l'on veut bien se souvenir du fameux hymne de l'Épître aux Philippiens : « Ayez entre vous les mêmes sentiments qui furent dans le Christ...
  • ANTIOCHE

    • Écrit par Pierre Thomas CAMELOT
    • 2 268 mots
    D'autre part, la christologie antiochienne présente des traits très accusés. S'opposant expressément à la théologie d' Apollinaire de Laodicée, qui refusait au Christ une âme humaine, elle insiste sur la pleine réalité de l'humanité du Christ et de sa psychologie, vue dans une...
  • APOLLINAIRE DE LAODICÉE (310 env.-env. 390)

    • Écrit par Richard GOULET
    • 472 mots

    Originaire de Laodicée en Syrie, Apollinaire reçut une formation philosophique et rhétorique qui lui permit de jouer dans l'Église un rôle important comme porte-parole auprès des païens et comme théologien. Lorsqu'il fut élu à l'épiscopat en 361, l'empereur Julien commençait son œuvre de restauration...

  • ARIANISME

    • Écrit par Michel MESLIN
    • 2 147 mots

    L'arianisme – du nom d' Arius, prêtre d'Alexandrie au début du iv e siècle, qui fut traditionnellement considéré comme le père de cette hérésie – est une réflexion doctrinale visant à approfondir le dogme chrétien de la Trinité et à éclairer le problème des relations,...

  • BASILE D'ANCYRE (IVe s.)

    • Écrit par Richard GOULET
    • 397 mots

    Évêque cappadocien, Basile fut élu au siège d'Ancyre (métropole de la Galatie) par les antinicéens afin de remplacer Marcel, qui avait été déposé par le synode de Constantinople. De 344 (réhabilitation de Marcel par le concile de Sardique) à 350 (mort de Constant), il fut écarté de son siège....

  • BIBLE - Ancien et Nouveau Testament

    • Écrit par Paul BEAUCHAMP, Xavier LÉON-DUFOUR, André PAUL
    • 9 047 mots
    • 1 média
    Comment ramener cette diversité à l'unité d'une même révélation ? Certains ont proposé un principe d'unification. Luther, par exemple, disait que tout valait dans la mesure où le Christ était mis en avant. À un tel niveau, tous seront d'accord, du moins en précisant qu'il n'est pas nécessaire...
  • BONHOEFFER DIETRICH (1906-1945)

    • Écrit par André DUMAS
    • 2 121 mots
    • 1 média

    Théologien protestant allemand, né à Breslau, Dietrich Bonhoeffer fut pendu le 9 avril 1945 au camp de concentration de Flossenburg. Après sa mort, son œuvre devient l'une des inspirations les plus fécondes mais les plus controversées du christianisme contemporain, qui se trouve confronté...

  • BULTMANN RUDOLF (1884-1976)

    • Écrit par André MALET
    • 2 039 mots
    ...athéisme nie le miracle pour la raison très simple qu'il n'y a pas de Dieu. Bultmann, lui, non seulement croit en Dieu, mais professe que Jésus de Nazareth est l'unique révélation de Dieu. Seulement cette incarnation de Dieu est si réelle qu'elle ne se manifeste pas par des miracles....
  • CALVINISME

    • Écrit par Jean CADIER, André DUMAS
    • 3 735 mots
    • 1 média
    ...est proclamée, et tout est examiné du point de vue de Dieu, de son action, de sa décision, mais, en même temps, l'œuvre de notre salut est ramenée au Fils de Dieu, sauveur et réconciliateur, nourriture de l'âme, source de vie. Et cette œuvre du Christ, actuellement élevé dans la gloire, est communiquée...
  • CATHARES

    • Écrit par Christine THOUZELLIER
    • 5 952 mots
    • 2 médias
    À la coexistence des deux principes essentiellement irréductibles, la doctrine cathare joint un docétisme qui nie l'authenticité humaine du Christ, son incarnation annoncée par les prophètes dans une chair mortelle, celle de la Vierge, issue de la race de David. La Vierge elle-même est un ange dont...
  • CATHOLICISME - Histoire de l'Église catholique des origines au pontificat de Jean-Paul II

    • Écrit par Jean DANIÉLOU, André DUVAL
    • 14 468 mots
    • 10 médias
    Les querelles se concentrent alors sur le mystère du Christ Dieu et homme, opposant deux écoles (Antioche, avec Théodore de Mopsueste ; Alexandrie, avec Cyrille), dont les formulations excessives (Nestorius et Eutychès) sont successivement condamnées par les conciles d'Éphèse (431) et de Chalcédoine...
  • CULLMANN OSCAR (1902-1999)

    • Écrit par Jacques-Noël PÉRÈS
    • 815 mots

    Né à Strasbourg le 25 février 1902, mort à Chamonix le 16 janvier 1999, Oscar Cullmann est l'un des théologiens luthériens les plus marquants de son siècle. Depuis son premier article (1925), par lequel il fait connaître au public français les méthodes de l'« histoire des formes » (...

  • DIEU - L'affirmation de Dieu

    • Écrit par Claude GEFFRÉ
    • 7 007 mots
    ...avec la familiarité de l'enfant : Abba (Père). Le Nouveau Testament, surtout l'Évangile selon saint Jean, nous révèle une relation unique entre Jésus et son Père. La dépendance filiale de Jésus par rapport à son Père est la manifestation concrète du mystère inaccessible de sa filiation divine,...
  • DOCÉTISME

    • Écrit par Richard GOULET
    • 212 mots

    Les docètes (en grec dokêtai, du verbe dokein : « paraître ») ont représenté une tendance hérétique dans le christianisme dès le i er siècle : le Christ, au cours de sa vie terrestre, n'avait pas un corps réel mais seulement un corps apparent, comme celui d'un fantôme. Bien qu'on trouve...

  • ÉBIONITES

    • Écrit par Richard GOULET
    • 305 mots

    Terme qui dérive de l'hébreu ebion (« pauvre ») et qui désigne les membres d'une secte judéo-chrétienne issue de la première communauté chrétienne de Jérusalem, réfugiée en Transjordanie en 66-67. Plutôt qu'une secte historiquement et doctrinalement bien définie, on doit voir en elle un...

  • ÉCOLE FRANÇAISE DE SPIRITUALITÉ

    • Écrit par Jean-Robert ARMOGATHE
    • 692 mots

    Il est devenu courant, depuis la parution du tome III de l'Histoire littéraire du sentiment religieux d'Henri Bremond (1925), de parler d'une « école française de spiritualité », aux limites chronologiques et typologiques assez imprécises, mais située au xvii e siècle...

  • ÉVANGILES

    • Écrit par Xavier LÉON-DUFOUR
    • 7 196 mots
    • 2 médias
    Avant que les évangiles soient mis par écrit, l'Église a donc annoncé l'Évangile. L'idée mère qui commande cette prédication, c'est la certitude que Jésus de Nazareth est encore vivant après sa mort, car Dieu l'a glorifié en le ressuscitant. Or on peut discerner les orientations théologiques de cette...
  • GRÂCE

    • Écrit par Georges CASALIS
    • 3 594 mots
    ...aussi pleinement théologique, on ne s'étonnera pas que, pour le Nouveau Testament, charis ait, avant tout, une signification très personnellement christologique. Certes, l'héritage hellénique se fait aussi sentir, et on trouve des emplois de charis, dans le sens classique de gracieuseté, caractère...
  • GRÉGOIRE DE NAZIANZE saint (330 env.-env. 390)

    • Écrit par Pierre HADOT
    • 1 398 mots
    ...la Trinité qui est indivisiblement créatrice, et son acte créateur est totalement gratuit. Grégoire de Nazianze est également intervenu dans le conflit christologique suscité par Apollinaire de Laodicée, dans deux lettres adressées à Clédonius (Lettres 101 et 102). Là encore, il a eu l'art de choisir...
  • HOMME FILS DE L'

    • Écrit par André PAUL
    • 745 mots

    Expression à laquelle, dans les Évangiles, Jésus a souvent recours pour se désigner lui-même. Elle intervient en trois contextes différents, selon qu'il s'agit : de l'annonce de la parousie du Fils de l'homme ; de la prédication de sa passion et de sa résurrection ; de la description de...

  • IMITATION DE JÉSUS-CHRIST

    • Écrit par Louis COGNET
    • 1 549 mots
    Le caractère christologique de cette œuvre est particulièrement frappant. Tout y est centré sur l'union au Christ : le terme « imitation » ne rend compte ici que très imparfaitement du contenu. La contemplation de l'humanité du Christ y est attentive et profonde. Elle se colore parfois d'une nuance doloriste...
  • JÉSUS ou JÉSUS-CHRIST

    • Écrit par Joseph DORÉ, Pierre GEOLTRAIN, Jean-Claude MARCADÉ
    • 18 625 mots
    • 22 médias
    Le mot « christologie » francise le grec logos pour le faire désigner la parole ou, mieux, le « discours », qui porte, en ce cas, sur christos. Un christos qui fait penser d'emblée à celui que les chrétiens appellent « le Christ » et dont ils tirent justement leur nom.
  • JEAN DAMASCÈNE (640 env.-env. 750)

    • Écrit par Olivier CLÉMENT
    • 1 229 mots
    La pensée de saint Jean Damascène constitue la vivante synthèse de la christologie des Pères grecs et surtout des élaborations proprement byzantines provoquées par les controverses qui, du v e au vii e siècle, ont suivi le concile de Chalcédoine. En particulier, le Damascène assure une transmission...
  • KÜNG HANS (1928-2021)

    • Écrit par Raymond WINLING
    • 1 057 mots

    Théologien catholique né le 19 mars 1928 à Sursee (Suisse), Hans Küng fait ses études de philosophie et de théologie à l'Université grégorienne de Rome. Il est ordonné prêtre en 1954. Tour à tour assistant à Münster (1959-1960), professeur de théologie fondamentale (1960-1963), puis de théologie...

  • LUTHER MARTIN (1483-1546)

    • Écrit par Martin BRECHT, Pierre BÜHLER
    • 10 547 mots
    • 5 médias
    ...vite le contrôle de l'esprit allégorisant. Sentant ce double danger, Luther va peu à peu se distancer du modèle pour aboutir à une conception propre. Deux sens guident l'attention selon lui : le sens littéral, qui est en même temps le véritable sens spirituel, ou christologique, dans la mesure où ...
  • MESSIANISME

    • Écrit par Henri DESROCHE, Roland GOETSCHEL
    • 6 959 mots
    • 1 média

    Pendant longtemps, l'étude du phénomène messianique a été l'apanage quasi exclusif de la christologie, c'est-à-dire d'une théologie appliquée au personnage central du christianisme tenu et retenu, sinon exclusivement du moins archétypiquement, pour le Messie. Dans l'entre-deux-guerres,...

  • MONOPHYSISME

    • Écrit par Hervé LEGRAND
    • 482 mots

    Terme d'origine grecque (de monos, unique, et phusis, nature) désignant, dans le cadre des discussions relatives à la divinité et à l'humanité du Christ, un courant doctrinal complexe qui refusait les termes, ou la réalité, de la définition du concile œcuménique de Chalcédoine...

  • MONOTHÉLISME

    • Écrit par Hervé LEGRAND
    • 134 mots

    Au début du vii e siècle, dans l'espoir de ramener les monophysites à l'unité, le patriarche Sergius de Constantinople forgea un compromis doctrinal n'attribuant plus qu'une seule volonté, la volonté divine, au Christ : le monothélisme (du grec monos, seul et thelein...

  • NESTORIANISME

    • Écrit par Hervé LEGRAND
    • 1 124 mots
    Nestorius fut d'abord moine à Antioche. Il s'y forma à une école théologique qui, en christologie, mettait l'accent sur l'homme-Dieu, à la différence de celle d'Alexandrie qui considérait d'abord le Verbe fait chair. Bon orateur et volontiers pourfendeur d'hérésies, Nestorius fut appelé...
  • ORIENT ÉGLISES CHRÉTIENNES D'

    • Écrit par Irénée-Henri DALMAIS, Hervé LEGRAND
    • 5 773 mots
    • 2 médias
    ...Personnes » du Père, du Fils et de l'Esprit, ainsi que les relations qu'elles entretiennent dans la consubstantialité d'une unique essence divine (homoousia). Mais les divergences allaient se développer sur la relation du divin et de l'humain dans le Christ, parfaitement Dieu et parfaitement homme. L'accent se...
  • ORTHODOXE ÉGLISE

    • Écrit par Olivier CLÉMENT, Bernard DUPUY, Jean GOUILLARD
    • 20 559 mots
    • 1 média
    C'est dire que l'incarnation du Fils est prédéterminée dès l'origine. Commentant l'épître aux Colossiens où le Christ apparaît comme la révélation du « mystère caché avant les siècles » (Col., i, 26), Maxime le Confesseur écrit : « Cela, c'est la bienheureuse fin...
  • PÉCHÉ ORIGINEL

    • Écrit par André-Marie DUBARLE, André DUMAS
    • 6 119 mots
    • 2 médias
    ...pape Zosime. Pour Augustin, la foi chrétienne affirme essentiellement le rôle déterminant de deux hommes, le premier Adam, père du genre humain, et le second Adam, ou Jésus-Christ. Le premier par son péché a livré l'homme à l'esclavage de la mort et du péché, et par suite à la damnation éternelle....
  • PATRISTIQUE

    • Écrit par Pierre HADOT
    • 7 744 mots
    Le second problème fondamental qui s'est posé aux Pères de l'Église fut celui des rapports entre le Christ et Dieu. Sur ce point, la réflexion théologique, à l'époque patristique, a été entraînée sur une voie qui l'a conduite aux spéculations métaphysiques les plus complexes.
  • RÉSURRECTION DU CHRIST

    • Écrit par André PAUL
    • 844 mots

    Article central de la confession de foi chrétienne, la résurrection du Christ le demeure aujourd'hui comme elle l'était à l'origine. C'est d'ailleurs sous cette forme que la résurrection de Jésus est attestée pour la première fois dans les documents connus....

  • SACERDOCE

    • Écrit par Mariasusai DHAVAMONY, Universalis
    • 5 175 mots
    Pour la foi chrétienne, c'est seulement parce qu'il devient un homme véritable que le Fils de Dieu est capable d'apporter le salut à l'homme.Seul un homme peut accomplir la destinée de l'homme et présenter à Dieu tous les hommes. Aussi Jésus-Christ s'offre-t-il lui-même à Dieu dans l'obéissance...
  • SACREMENTS

    • Écrit par Louis-Marie CHAUVET, Universalis, Jean TROUILLARD
    • 3 345 mots
    Le renouveau contemporain du discours christologique interroge directement par ailleurs, de manière critique, la « christianité » effective des pratiques liturgiques de l'Église (inévitablement porteuses des ambivalences, psychiques et sociales, de toute ritualité) et la crédibilité des figures du Ressuscité...
  • SAINTETÉ

    • Écrit par André BAREAU, Yves CONGAR, Universalis, Louis GARDET, Françoise MALLISON
    • 6 273 mots
    ...Loi sont saints. Deux faits cependant introduisent du nouveau : la mission ou venue du Fils de Dieu et celle du Saint-Esprit. Jésus-Christ est le «  saint de Dieu » parce qu'il vient de Dieu et qu'il a reçu la double onction de l'Esprit, par naissance ou nature (Luc, i, 35), pour son...
  • SATAN

    • Écrit par Hervé ROUSSEAU
    • 2 541 mots
    • 1 média
    ...l'autre objectif (Satan, l'empire de Satan) ; la propension au mal de la nature déchue est exprimée comme un esclavage sous la tyrannie de Satan. Par l'incarnation du Verbe en Jésus-Christ et par la mort du Christ, l'homme a été « libéré » du péché, « délivré » du mal ; selon l'autre registre, Satan...
  • SCHILLEBEECKX EDWARD (1914-2009)

    • Écrit par Raymond WINLING
    • 995 mots

    Théologien catholique dominicain dont les travaux ont souvent inquiété le Vatican, Edward Schillebeeckx est mort à Nimègue (Pays-Bas), le 23 décembre 2009. Né en 1914 à Anvers, il avait été admis à la maison des dominicains de Gand à l'âge de dix-neuf ans. Ordonné prêtre en 1941, licencié en ...

  • SCHLEIERMACHER FRIEDRICH DANIEL ERNST (1768-1834)

    • Écrit par Jean-Louis KLEIN
    • 1 717 mots
    Pour Schleiermacher, la spécificité du Christ n'est pas à rechercher dans une naissance miraculeuse : elle réside dans « l'intensité de sa conscience de Dieu » par laquelle il se distingue du reste de l'humanité. Ainsi, ce qui constitue le fondement de toute religion apparaît dans sa perfection dans...
  • SOLOVIEV VLADIMIR (1853-1900)

    • Écrit par Olivier CLÉMENT
    • 1 130 mots
    ...est mort en priant pour le peuple juif). En Christ, la divino-humanité se révèle en plénitude, le Logos s'unit à la Sophia. Pour Soloviev, en effet, la christologie prend toute sa valeur historique et cosmique en postulant une « sophiologie ». L'Absolu est à la fois le Néant apophatique et la Plénitude...
  • SOPHRONE DE JÉRUSALEM saint (560 env.-638) patriarche de Jérusalem (634-638)

    • Écrit par Universalis
    • 459 mots

    Patriarche de Jérusalem (634-638), moine et théologien, né vers 560 à Damas. Sophrone est vers 580, alors professeur de rhétorique, il renonce au monde pendant un séjour en Égypte et entre au monastère Saint-Théodose de Jérusalem. Il séjourne dans des monastères en Asie Mineure, en Égypte et à Rome en...

  • SYMÉON LE NOUVEAU THÉOLOGIEN (949-1022)

    • Écrit par Olivier CLÉMENT
    • 1 138 mots
    Syméon insiste sur la déification du corps, par participation au Corps christique, eucharistique, « tout fulgurant du feu de la divinité ». L'homme est christifié jusque dans son sexe, il ne voit que le Christ dans la nudité des corps, il célèbre, dans son union avec son Seigneur, la grande nuptialité...
  • TERTULLIEN (155 env.-env. 225)

    • Écrit par Jean-Claude FREDOUILLE
    • 3 458 mots
    ...rejeter l'Ancien, ne conserver que le seul Évangile de Luc et faire son choix parmi les Épîtres pauliniennes sont absolument injustifiées (liv. IV-V). La Chair du Christ et La Résurrection des morts sont deux traités étroitement liés : le premier réfute le docétisme, le second vise tous ceux qui...
  • THÉOLOGIE

    • Écrit par Henry DUMÉRY, Claude GEFFRÉ, Jacques POULAIN
    • 11 765 mots
    • 1 média
    La richesse suréminente du mystère de Dieu et du mystère du Christ est donc à l'origine d'une pluralité de langages et de systèmes théologiques. Cela se vérifie déjà, comme on l'a vu, dans le Nouveau Testament lui-même, qui présente, par exemple, une multiplicité d'expressions différentes visant à interpréter...
  • TRINITÉ

    • Écrit par Hervé SAVON
    • 2 749 mots
    ...souci commun d'exalter le pouvoir et la dignité du Christ sauveur. Mais les uns voient dans Jésus un homme élevé à la divinité ; on parle, dans ce cas, de christologie «  adoptianiste ». Les autres se réfèrent à l'idée du Christ préexistant, déjà présente chez Paul et dans les écrits johanniques ; c'est...