CATHOLICISME Histoire de l'Église catholique des origines au pontificat de Jean-Paul II

Au cours du IIe concile du Vatican, l'Église catholique romaine, dans une prise de conscience renouvelée de sa mission, de sa nature, de ses structures, a cherché à se définir de manière assez neuve dans son rapport au monde : plus lucidement respectueuse de la liberté des consciences et davantage sensibilisée aux urgences du service des hommes, elle s'est en outre engagée sur la voie d'un rapprochement avec les diverses confessions chrétiennes.

Il y a intérêt à relire ainsi son histoire. Quelles crises sont à l'origine des schismes et des séparations que l'on voudrait maintenant dominer ? Par quels cheminements en est-on venu à vouloir servir les hommes dans leurs requêtes terrestres les plus vitales plutôt qu'à prétendre seulement les amener tous à l'obéissance de la foi et à la sujétion à l'Église romaine ? Quelles ont été les vicissitudes du rapport de l'Église avec le monde ? Réussissant à y prendre place, elle a cru un moment diriger celui-ci ; le voyant ensuite échapper à son emprise, puis se raidissant contre lui, elle déclare aujourd'hui ne vouloir que le servir...

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Les phases principales de l'histoire de l'Église catholique peuvent ainsi se distinguer à partir de quelques moments cruciaux où se modifie la manière dont elle entend accomplir sa mission d'évangéliser toutes les nations.

Boniface VIII - crédits : Hulton Archive/ Getty Images

Boniface VIII

La prédication apostolique du jour de la Pentecôte marque le point de départ. Avec la conversion de Constantin (313), l'Église accède à un nouveau type de relation avec le pouvoir, la richesse et le conformisme social ; elle s'insère alors progressivement dans les structures de l'Empire romain, dont elle utilisera l'héritage pour « éduquer » les peuples barbares. Au moment où se consomme la rupture entre l'Orient et l'Occident, la réforme grégorienne (fin du xie s.) conduit à faire du pape le chef suprême d'une Europe dont la foi chrétienne assure l'unité. Le conflit entre Boniface VIII et Philippe le Bel est la première des crises qui vont peu à peu disloquer la Chrétienté. Le concile de Trente (1545-1563), sanctionnant les déchirures issues de la Réforme, ouvre une période où le catholicisme, géographiquement agrandi par son implantation outre-mer, mais plus étroitement enfermé dans ses formes latines, affirme et déploie ses valeurs sans réussir à assimiler celles d'une nouvelle culture qui s'élabore. Le pontificat de Léon XIII (1878-1903) remet l'Église à l'écoute des questions que pose le monde du travail, de la liberté politique, de la science. C'est l'amorce, très lointaine encore, du deuxième concile du Vatican.

L'Église primitive

-200 à 200 apr. J.-C. La loi romaine - crédits : Encyclopædia Universalis France

-200 à 200 apr. J.-C. La loi romaine

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La période de l'histoire du christianisme qui va de la Pentecôte (30 apr. J.-C.) à la prise de Jérusalem par Titus (70 apr. J.-C.) constitue une unité déterminée. Elle est caractérisée à la fois par l'importance qu'y occupent les Apôtres, d'où son nom d'Église apostolique, et par le fait qu'elle se recrute essentiellement en milieu juif. Le principal document concernant cette époque est constitué par les Actes des Apôtres, qui couvrent l'histoire de la première communauté de Jérusalem et celle des missions de saint Paul en Asie Mineure, en Grèce et à Rome, soit jusqu'à 60 après J.-C. Sur l'expansion de l'Église dans les autres régions, spécialement en Arabie et en Syrie orientale, on en est réduit aux maigres renseignements offerts par la littérature dite apocryphe.

Au cours de ces décennies commence à se constituer le Nouveau Testament, tandis que sont établis les fondements de la foi, de la hiérarchie et de la vie chrétiennes. Un problème difficile s'est tout de suite posé : quelle doit être l'attitude des disciples du Christ à l'égard de la Loi juive, donnée par Dieu ?

L'Église de Jérusalem

Le mot « église » (en hébreu qahal) désigne dans l'Ancien Testament le peuple de Dieu rassemblé dans le désert après l'Exode et, dans le Nouveau Testament, le nouvel Israël. Cette Église, au jour de la Pentecôte de l'an 30, est constituée par un petit groupe d'hommes et de femmes qui ont vécu avec Jésus durant les trois années de sa vie publique, qui ont été les témoins de sa passion, de sa résurrection et de son ascension. Parmi eux se détache, dès l'origine, le groupe des Onze, auquel est adjoint Mathias pour remplacer Judas, et dont Pierre est le chef. Ils apparaissent tout de suite comme conscients d'avoir été investis par le Christ d'une triple mission : témoigner de la résurrection, agréger à leur groupe, par le baptême, ceux qui croient à leur parole et gouverner la communauté.

Ces premiers « chrétiens » – ils recevront ce sobriquet à Antioche quelques années plus tard – sont un petit noyau de Juifs qui ont reconnu, dans la personne de Jésus, le Messie annoncé par les prophètes. Par là même, ils se séparent des autres sectes juives, tout en continuant d'en garder les observances. Ils rencontrent des sympathies dans certaines communautés, en particulier chez les esséniens – que l'on connaît mieux depuis la découverte des manuscrits de la mer Morte – et chez certains pharisiens. Très tôt, ils se heurtent, au contraire, à l'hostilité des grands prêtres et des sadducéens, les premiers étant jaloux de leur autorité sur le peuple et les seconds hostiles à toute innovation.Les Actes décrivent trois persécutions successives ; la troisième, qui est sûrement de l'année 43, entraîne le martyre de Jacques, le frère de l'évangéliste Jean, et l'arrestation de Pierre.

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La communauté chrétienne présente elle-même des divisions. Autour d'un autre Jacques, cousin du Christ, se groupaient les chrétiens qui restaient attachés aux observances juives : c'est ce qu'on appelait le « parti des hébreux ». Ce parti prit une influence croissante à Jérusalem. Il jouissait de la faveur des pharisiens. Il comptait parmi ses membres les parents du Seigneur, les « desposynes ». Après Jacques, les premiers évêques de Jérusalem furent tous choisis parmi eux. C'est ce que Stauffer a appelé le khalifat. Le trait est typiquement oriental. C'est par ces parents du Seigneur que les souvenirs de l'enfance du Christ ont été connus de la communauté primitive, avant d'être recueillis par les évangélistes Matthieu et Luc. Les chrétiens continuent d'appartenir culturellement et politiquement au peuple juif. Ils ne se distinguent des autres Juifs que par la foi en Jésus.

En face d'eux se constitue le « parti des hellénistes », dont la figure la plus importante est Étienne. Ce parti est composé de Juifs parlant grec, qu'ils habitent la Palestine ou qu'ils viennent de la Diaspora, comme Barnabé. Mais ce qui les caractérisait surtout était leur détachement par rapport à la communauté juive. Cette attitude leur valut l'hostilité des pharisiens. Ils furent expulsés en 37, après le martyre d'Étienne. Mais leur expulsion fut riche de conséquences. Par eux, le christianisme commença, en effet, à se répandre en dehors de la Judée et de la Galilée. C'est surtout à Antioche que les hellénistes apportèrent très tôt l'Évangile : dans cette ville, où Juifs, Grecs, Syriens, coexistaient, on commença à prêcher l'Évangile aux païens. Un violent incident y opposa Paul et Pierre en 49 à propos des rapports avec les païens, ce qui atteste l'existence de deux communautés, l'une judéo-chrétienne, l'autre pagano-chrétienne (lettre aux Galates, ii, 11-14).

Paul et la mission auprès des païens

Il n'en reste pas moins que, durant les vingt premières années de son existence, l'Église demeure enfermée dans le milieu juif. C'est avec Paul de Tarse qu'une nouvelle orientation est prise, qui sera décisive pour l'avenir. Paul était un Juif de la Diaspora. Il avait donc reçu une culture grecque. Il appartenait à la secte des pharisiens. Venu à Jérusalem pour y recevoir l'enseignement de Gamaliel, il apparaît comme un farouche sectateur de la Loi. À ce titre, il participe aux persécutions contre les chrétiens. La première mention qui est faite de lui le montre présent au martyre d'Étienne (Actes, vii, 55-viii, 3). En 38, lors d'une mission à Damas, où il vient lutter contre les chrétiens, une apparition du Christ lui fait changer entièrement d'attitude et de croyance. Baptisé, il passe trois années près de Damas, puis un an à Tarse. C'est là que Barnabé, qui l'avait connu à Jérusalem, vient le prendre, en 41, pour compagnon en vue d'une mission en Asie.

Les voyages missionnaires de Paul sont la donnée de l'Église primitive sur laquelle les renseignements sont le plus nombreux. Ils sont connus par deux sources d'une valeur historique incontestable. D'une part, Luc, qui fut le compagnon de Paul, les a racontés dans les Actes des Apôtres et, d'autre part, des écrits authentiques de Paul, les Épîtres, contiennent de nombreuses allusions à ses missions. En 45, une première mission conduit Paul et Barnabé en Pamphylie et en Lycaonie, où se convertissent à la foi d'abord des Juifs et des prosélytes (Actes, xiii, 43 ; xiv, 1), mais aussi des païens (Actes, xiii, 48). Au début de 50, Paul entreprend un nouveau voyage, cette fois avec Luc. Après avoir traversé l'Asie Mineure, il atteint l'Europe et fonde des communautés à Philippes, à Athènes, à Corinthe. Enfin, en 53, un troisième voyage le conduit d'abord à Éphèse, où il reste trois ans et écrit l'Épître aux Galates et la Première Épître aux Corinthiens, puis à Corinthe où, durant l'hiver 57-58, il rédige l'Épître aux Romains.

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Mais l'action de Paul n'est pas importante seulement par son extension. Elle l'est encore plus parce qu'elle marque un tournant décisif dans l'histoire du christianisme primitif. Le christianisme originel était profondément engagé dans le judaïsme. La première prédication de Paul lui-même s'adressait d'abord aux Juifs. C'est son expérience concrète qui l'amena à réfléchir sur le comportement qu'il fallait observer vis-à-vis des païens qui se convertissaient. Fallait-il les astreindre aux observances juives ? Au cours de sa mission de 45, il est amené à trancher la question négativement. Mais, de retour à Antioche en 48, il voit sa position discutée. Un « concile », rassemblé à Jérusalem en 49 et qui comprend les Apôtres et les Anciens, examine la question et décide en sa faveur, en ne demandant aux païens convertis que l'observance des préceptes donnés jadis à Noé : abstention des viandes étouffées et purifications sexuelles.

Mais cette décision ne désarme pas l'hostilité des judéo-chrétiens à l'égard de Paul. On voit dans ses épîtres qu'il rencontre partout des oppositions, en Galatie, à Éphèse, à Corinthe. Or celles-ci viennent toujours des milieux judéo-chrétiens. Elles ont des racines religieuses, mais revêtent aussi un aspect politique. En effet, la période du peuple juif qui correspond à la première évangélisation chrétienne est celle où, en Palestine, la résistance à l'occupation romaine s'organise. Le parti des zélotes, qui appelle à la lutte armée pour l'indépendance, prend une autorité croissante. Il entraîne finalement les Juifs palestiniens à la guerre de 69-70, qui se termine par la chute de Jérusalem. Les communautés juives de la Diaspora ne sont pas étrangères au mouvement. Des émissaires palestiniens viennent y chercher des appuis. L'attitude de Paul, visant à désolidariser les chrétiens de leur appartenance à la communauté sociologique juive, devait apparaître comme une trahison.

Les années 58-70 sont des années de crise. En 58, Paul vient à Jérusalem au retour de son troisième voyage. Accusé par les Juifs d'avoir profané le Temple en y introduisant un chrétien incirconcis, il est arrêté par les soldats romains et envoyé à Rome. Il y reste de 61 à 63 en liberté surveillée. En 64 éclate la persécution de Néron. C'est un nouveau conflit qui surgit, cette fois entre chrétiens et païens. Mais il n'est pas sans rapport avec le précédent, car les dénonciations contre les chrétiens sont venues des milieux juifs et judéo-chrétiens. Pierre est mis à mort, Paul à nouveau emprisonné. Il meurt martyr, vraisemblablement en 67. Il semblait avoir échoué, mais l'effondrement de la nation juive en 70 amène un retournement de la situation et assure la victoire posthume de la position qu'il avait défendue.

La vie de la communauté chrétienne

Ces conflits font apparaître combien est fausse une certaine image idyllique de la première Église. Le tableau que donne Luc de la communauté de Jérusalem, de son unité spirituelle et matérielle, outre qu'il a un caractère littéraire très marqué, ne convient qu'aux mois qui ont immédiatement suivi la Pentecôte. On doit dire au contraire que les premières décennies du christianisme comptent parmi celles où les conflits théologiques et politiques ont été les plus aigus. Et cela est sans doute plus encourageant pour les chrétiens d'aujourd'hui, s'ils constatent par ailleurs que les Apôtres posèrent alors les fondements de la foi, de la hiérarchie et de la vie chrétienne, qui demeurent valables après vingt siècles.

C'est d'abord à cette époque que se constitue l'écriture du Nouveau Testament, ce qu'on appelle les Évangiles. Cette écriture a été précédée d'une première période de tradition orale. Le Christ avait confié son message, non à des livres, mais à des hommes, les Apôtres, qu'il avait investis d'une autorité particulière. Et, même une fois cet enseignement mis par écrit, l'institution de l'« apostolat » comme seul habilité à enseigner authentiquement le message du Christ n'est pas abolie. La prédication chrétienne primitive comprenait trois éléments principaux. L'essentiel était le témoignage rendu par les Apôtres des événements dont ils avaient été les témoins oculaires, quant a leur réalité matérielle, et dont ils avaient reconnu la transcendance par révélation : la passion, la résurrection et l'ascension de Jésus. Pour la conception virginale et la nativité, le témoignage du milieu familial de Jésus fut reçu. De plus, les disciples avaient retenu les paroles du Christ, qui, rassemblées autour de quelques thèmes, constituaient un autre élément de leur prédication. Très tôt aussi, les collections de textes de l'Ancien Testament, destinés à montrer dans le Christ la réalisation des prophéties, avaient été rassemblées.

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Ces divers éléments, existant d'abord séparément dans la tradition orale, furent recueillis sous forme de vies de Jésus par différents auteurs. Ces écrits représentaient l'enseignement officiel des Apôtres et étaient par là même investis d'une autorité que n'avaient aucunement les écrits privés, appelés évangiles apocryphes. Le plus ancien évangile est celui de Marc, qui représente la catéchèse de Pierre à Rome et peut dater des années 60. L'Évangile selon Matthieu s'adresse particulièrement aux Juifs et représente la catéchèse syrienne de l'apôtre du même nom. L'Évangile selon Luc s'adresse aux Grecs. L'Évangile selon Jean, écrit le dernier, sans doute après 70, représente une tradition originale très primitive qui se rattache à la catéchèse de l'apôtre Jean, même s'il n'est pas l'œuvre de celui-ci.

La période qui va de 30 à 70 est aussi celle où l'Église s'organise. Cette organisation concerne d'abord les structures hiérarchiques. Le Christ avait lui-même posé les éléments fondamentaux de cette structure en choisissant les Apôtres durant sa vie publique et en donnant à Pierre une place privilégiée. En ce sens, l'institution du collège des Apôtres relève du Christ. Mais la question qui se pose entre 30 et 70 est celle de la transmission des pouvoirs conférés par le Christ aux Apôtres. Or il apparaît très vite que ces derniers admettent certains personnages à partager leur autorité. Mettons à part le cas de Paul, dont ils ont reconnu qu'une initiative divine avait fait leur égal. Mais Jacques devient le chef de la communauté de Jérusalem et succède dans cette fonction à Pierre. Barnabé partage le ministère de Paul. Celui-ci établit certains de ses disciples, Tite, Timothée, comme « évêques et pasteurs » d'Églises qu'il fonde. Ainsi l'« épiscopat » apparaît comme continuation authentique de l'apostolat dans son autorité d'enseignement de sanctification, de gouvernement, les Apôtres gardant le privilège d'avoir été la seule source de la révélation. À côté de la hiérarchie, des « charismes » divers de prière, de mission, de service se manifestèrent dans le peuple chrétien.

Dès l'origine, les premiers chrétiens, tout en continuant de pratiquer les observances religieuses juives, le repos du sabbat, la prière au Temple, ont constitué une communauté cultuelle propre. Le rite d'initiation est le baptême, qui confère le don de l'Esprit. L'origine du rite paraît être le baptême de pénitence de Jean-Baptiste, lui-même en relation avec l'usage, dans le judaïsme marginal, de bains sacrés dans le Jourdain. Le baptême est donné au nom du Père, du Fils et de l'Esprit et comporte une profession de foi. Il est accompagné d'une imposition des mains, suivie de la remise d'un vêtement blanc. Il est normalement donné par immersion dans une eau courante. Il est précédé ou suivi d'une onction d'huile consacrée. À l'aube du dimanche, après la veillée du samedi soir, les chrétiens se réunissent pour célébrer l'eucharistie. C'est l'origine du dimanche comme « jour du Seigneur », « anniversaire » hebdomadaire de la Résurrection. Les chrétiens continuent de célébrer les fêtes juives, la Pâque, la Pentecôte, les Tabernacles, où ils voient non plus seulement le rappel des événements de l'Ancien Testament, mais aussi le mémorial des mystères du Christ et la préfiguration de son retour eschatologique.

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À travers ces données communes, des tendances très diverses se manifestent dans l'Église primitive, qui sont pour une part le reflet des complexités du milieu juif de l'époque. Beaucoup de chrétiens vivent dans l'attente du retour imminent du Christ, ce que montrent les Épîtres aux Thessaloniciens. Certains pensent qu'il y aura un règne millénaire du Christ sur la terre : d'autres, à l'inverse, de tendance gnostique, croient que la résurrection est déjà accomplie avec le baptême et la conversion. Un courant assez puissant pense que la fidélité intégrale à l'Évangile implique la renonciation au mariage. Les vierges et les ascètes sont nombreux dans la communauté. Ces années 30 à 70 sont des années d'intense fermentation, où se préfigure déjà la puissance d'expansion que le christianisme présentera par la suite dans la conquête du monde méditerranéen.

— Jean DANIÉLOU

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Boniface VIII - crédits : Hulton Archive/ Getty Images

Boniface VIII

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