LOGIQUE HISTOIRE DE LA

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  • LOGIQUE

    • Écrit par Robert BLANCHÉ, Jan SEBESTIK
    • 11 415 mots
    • 3 médias

    Ce n'est qu'à une époque relativement récente qu'on a vraiment commencé à s'intéresser à l'histoire de la logique. Jusqu'au milieu du xix e siècle régnait en effet l'idée que la logique n'avait pas d'histoire, étant, pour l'essentiel, sortie « close et achevée » de...

Articles associés

  • ABÉLARD PIERRE (1079-1142)

    • Écrit par Jean JOLIVET
    • 1 175 mots
    • 1 média

    Si l'œuvre et la carrière d'Abélard font de lui le type des premiers professeurs urbains, l'histoire de sa vie personnelle est singulière. Il vient parmi les tout premiers en trois domaines : philosophie, logique et théologie scolastique. Mais son apport dans ces deux dernières...

  • AJDUKIEWICZ KAZIMIERZ (1890-1963)

    • Écrit par Françoise ARMENGAUD
    • 638 mots

    Philosophe et logicien polonais, né en Galicie, mort à Varsovie. Ajdukiewicz étudie à l'université de Lwów avec Twardowski et Łukasiewicz. Ses thèses de doctorat ont pour titres L'Apriorité de l'espace chez Kant et Méthodologie des sciences déductives. Il étudie...

  • ANTIQUITÉ - Naissance de la philosophie

    • Écrit par Pierre AUBENQUE
    • 9 801 mots
    • 8 médias
    ...plutôt sur le langage, dont, à la suite des sophistes injustement méprisés par Platon, il entreprend de dégager la structure, et cela sur un double plan. D'une part, il édicte les règles formelles du discours cohérent, indépendamment de la vérité ou de la fausseté de son contenu : en cela, il est le fondateur...
  • ARISTOTÉLISME MÉDIÉVAL

    • Écrit par Alain de LIBERA
    • 4 357 mots
    • 1 média
    ...Commentaire des « Seconds Analytiques » par Robert Grosseteste (avec sa théorie de la connaissance expérimentale) en sont les témoins naissants. En logique, la théorie modale des Premiers Analytiques est le fondement de toutes les innovations des xiii e et xiv e siècles : logique temporelle, logique...
  • ARISTOTE, en bref

    • Écrit par Francis WYBRANDS
    • 185 mots
    • 1 média

    C'est à partir de l'œuvre de Platon que la pensée d'Aristote peut être comprise. Tant en physique, métaphysique, ou logique, qu'en morale et en politique, il rompt avec son maître, ouvrant un chantier de réflexion qui aura des échos considérables dans les pensées médiévales...

  • ARISTOTE

    • Écrit par Pierre AUBENQUE
    • 20 932 mots
    • 2 médias
    Le nom de logique n'est pas aristotélicien, mais remonterait, selon Sextus Empiricus (Adv. Math., VII, 16), à l'académicien Xénocrate. Les platoniciens – Aristote nous le rappelle dans un texte remontant à une période ancienne de son œuvre (Top., I, 14, 105 b 20) – distinguaient trois...
  • AYER ALFRED JULES (1910-1989)

    • Écrit par Francis JACQUES
    • 1 153 mots

    Né en 1910, professeur de logique à Oxford, A. J. Ayer fut tout d'abord, dans les pays anglo-saxons, le meilleur artisan de cette forme extrême d' empirisme qu'est le positivisme logique. Son premier livre (1936), programmatique et d'emblée classique, en offre un vigoureux...

  • BOÈCE (480-524)

    • Écrit par Pierre HADOT
    • 1 287 mots
    À ces commentaires s'ajoutent d'autres œuvres de logique : un traité De la division, une Introduction aux syllogismes catégoriques et un traité Des syllogismes catégoriques, un commentaire sur les Topiques de Cicéron, et un traité Sur les différences topiques.
  • BOLZANO BERNARD (1781-1848)

    • Écrit par Jan SEBESTIK
    • 3 176 mots

    Théologien, philosophe, surtout logicien et mathématicien, Bolzano a laissé une œuvre très étendue et très importante que ses contemporains ont presque entièrement ignorée. D'une part, la nature de ses préoccupations, toutes centrées sur les questions des fondements, a éloigné de lui les mathématiciens...

  • BOOLE GEORGE (1815-1864)

    • Écrit par Universalis
    • 583 mots

    Mathématicien et logicien anglais, Boole est le créateur de la logique symbolique. Né à Lincoln et fils d'un petit commerçant, il reçut ses premières leçons de mathématiques de son père, qui lui apprit aussi à fabriquer des instruments d'optique. En dehors des conseils de son père et de...

  • BOSANQUET BERNARD (1848-1923)

    • Écrit par Françoise ARMENGAUD
    • 788 mots

    Philosophe anglais, qui fut professeur à Saint Andrews. Bosanquet est un représentant original, avec Bradley et Royce, de l'idéalisme néo-hégélien. Il était le combattant d'une cause perdue en ce qu'il se voulait le défenseur de l'idéalisme ancien (absolu) contre les « hérésies » de l'idéalisme...

  • CARNAP RUDOLF (1891-1970)

    • Écrit par Jan SEBESTIK
    • 1 792 mots

    Né en Allemagne, à Wuppertal, Rudolf Carnap appartient à la fois à la philosophie germanique et à la philosophie anglo-saxone, le nazisme l'ayant amené, en 1935, à partir pour les États-Unis. Il fut, avec M. Schlick et Otto Neurath, un des chefs de file du Cercle de Vienne. Après la...

  • CARROLL LEWIS (1832-1898)

    • Écrit par Jean GATTÉGNO
    • 2 594 mots
    • 1 média
    ...reproches adressés à son goût pour les photographies de petites filles en déshabillé, abandonne son passe-temps favori, la photographie. Dès lors, c'est la logique qui va devenir l'objet de tous ses soucis. Certes, il publie encore une œuvre d'imagination : Sylvie et Bruno (en deux parties, 1889...
  • CAVAILLÈS JEAN (1903-1944)

    • Écrit par Françoise ARMENGAUD
    • 391 mots

    Philosophe et logicien français, professeur à l'École normale supérieure, à l'université de Strasbourg et à la Sorbonne. Pendant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs fois prisonnier et évadé, il est l'un des premiers et des plus actifs fondateurs de réseaux de résistance. Il a été fusillé par...

  • CHRYSIPPE (281-208 av. J.-C.)

    • Écrit par Pierre HADOT
    • 250 mots

    Philosophe grec, Chrysippe a joué un rôle capital dans la formation du système stoïcien. De son œuvre immense (705 livres selon Diogène Laërce, Vie des philosophes, livre VII, 180) il ne reste que des fragments (réunis par H. von Arnim, Stoicorum veterum fragmenta, 4 vol., Leipzig,...

  • CHURCH ALONZO (1903-1995)

    • Écrit par Françoise ARMENGAUD
    • 542 mots

    Mathématicien et logicien, philosophe et historien de la logique, Alonzo Church est né le 14 juin 1903 à Washington et mort le 11 août 1995 à Hudson (Ohio). Professeur de mathématiques à l'université de Princeton, directeur du Journal of Symbolic Logic, il est selon...

  • DÉMONSTRATION (notions de base)

    • Écrit par Philippe GRANAROLO
    • 2 715 mots
    ...présente une démonstration n’est nullement contraint : on lui donne les moyens de retrouver par lui-même la validité des propositions qui lui sont proposées. La démonstration s’impose sans contrainte à toute personne dotée de logique. Mais peut-on démontrer la logique elle-même ? Autour de cette interrogation...
  • DE LA GRAMMATOLOGIE, Jacques Derrida - Fiche de lecture

    • Écrit par Didier CAHEN
    • 1 096 mots
    La première partie du livre, « L’Écriture avant la lettre », dessine une matrice théorique. Elle interroge la logique qui, dans notre tradition de pensée, fait de l’écriture un « supplément » de la parole (J. J. Rousseau, Essai sur l’origine des langues, 1781). Elle construit, propose,...
  • DESCARTES RENÉ

    • Écrit par Ferdinand ALQUIÉ
    • 11 004 mots
    • 2 médias
    ...d'abord une exception de fait. J'existe, et je suis certain d'exister. Mais il oppose aussi une exception de droit, en révélant une liaison nécessaire et logique entre le « je pense » et le « je suis ». Car il est évident que, si je n'étais pas, je ne penserais pas, ou, encore, que « pour penser il faut...
  • EMPIRISME

    • Écrit par Edmond ORTIGUES
    • 11 725 mots
    • 1 média
    Le mot « induction », historiquement très chargé, évoque immédiatement les méthodes inductives à la manière de Stuart Mill ou la logique inductive à la manière de Rudolf Carnap. Mais s'agit-il bien de méthode et de logique ? Bertrand Russell écrit : « Psychologiquement, l'induction...
  • ERREUR

    • Écrit par Bertrand SAINT-SERNIN
    • 4 289 mots
    • 2 médias

    La définition classique de la vérité et de l'erreur est celle d'Aristote : « Dire de ce qui est qu'il est, ou de ce qui n'est pas qu'il n'est pas, c'est dire vrai ; dire de ce qui n'est pas qu'il est ou de ce qui est qu'il n'est pas, c'est dire faux. » Cet énoncé, parfois jugé trop ...

  • FICHTE JOHANN GOTTLIEB (1762-1814)

    • Écrit par Universalis, Alexis PHILONENKO
    • 7 800 mots
    • 1 média
    ...naïvement comme Kant, mais bien philosopher sur la philosophie, afin d'éviter les démarches dogmatiques. Fichte parvient ainsi à une définition de la logique transcendantale. Elle doit être premièrement un système du savoir ; un système se compose de propositions et se constitue comme une totalité close....
  • FREGE GOTTLOB (1848-1925)

    • Écrit par Claude IMBERT
    • 2 868 mots

    Professeur de mathématiques à l'université d'Iéna, Gottlob Frege est le fondateur de la logique moderne ou logique mathématique, selon l'appellation due à Giuseppe Peano et universellement admise. Longtemps méconnus, ses travaux furent révélés au public savant par Bertrand...

  • GENTZEN GERHARD (1909-1945)

    • Écrit par Gabriel SABBAGH
    • 117 mots

    Logicien allemand, né à Greifswald et mort à Prague lors de son emprisonnement par les Soviétiques. Gentzen a développé l'étude des systèmes de déduction naturelle et établi un théorème d'élimination des coupures. Gerhard Gentzen a également donné une démonstration de consistance de l'arithmétique...

  • GHAZĀLĪ AL- (1058-1111)

    • Écrit par Roger ARNALDEZ
    • 3 022 mots
    ...application à d'autres cas particuliers non formulés dans les textes sacrés. L'appartenance à cette école a probablement conduit Ghazālī à développer une logique juridique où il s'inspire de la logique aristotélicienne, tout en délimitant son usage et sa portée. Son intention apparaît clairement dans le...
  • GONGSUN LONG [KONG-SOUEN LONG] (env. 320-env. 250 av. J.-C.)

    • Écrit par Kristofer SCHIPPER
    • 567 mots

    Dialecticien chinois, le plus grand logicien de l'époque classique, Gongsun Long a entrepris des recherches épistémologiques et métaphysiques qui sont l'aboutissement d'une longue élaboration de la logique chinoise imputable aux mohistes, tel Mozi, et à Hui Shi ou à l'« école des noms » (Mingjia)....

  • GRAMMAIRES (HISTOIRE DES) - Du Moyen Âge à la période contemporaine

    • Écrit par Jean-Claude CHEVALIER, Universalis, Jean STÉFANINI
    • 4 224 mots
    ...les textes, puis, avec la redécouverte successive d'Aristote et les progrès de la logique, elle devient une réflexion originale sur le langage : 1.  en confrontant à ses définitions celles des logiciens : pour Priscien, le nom signifie « une substance avec ses attributs caractéristiques », mais pour...
  • GRAMMAIRES SPÉCULATIVES

    • Écrit par Bernard CERQUIGLINI
    • 1 054 mots

    À la fin du xii e siècle, un tournant s'opère dans la conception européenne des recherches linguistiques. Jusque-là, la grammaire, fondement de la culture médiévale et premier des « arts libéraux », se donnait pour tâche d'enseigner à bien parler et bien écrire (suivant la...

  • HEGEL GEORG WILHELM FRIEDRICH

    • Écrit par Jacques d' HONDT, Yves SUAUDEAU
    • 10 430 mots
    • 1 média
    Une telle conversion ne s'effectue pas sans oublis ni erreurs. Mais, au total, Hegel a su élaborer, sous une phraséologie rébarbative, un immense traité de la dialectique moderne, sa Science de la logique (1812-1816 et 1831), « la grande logique », reprise sous une forme un peu différente dans la...
  • HINTIKKA JAAKKO (1929-2015)

    • Écrit par Françoise ARMENGAUD
    • 166 mots

    Logicien et philosophe finlandais, Hintikka fit ses études à Harvard (1954) et est professeur aux universités d'Helsinki (Finlande), de Berkeley et Stanford (États-Unis). Il mène une réflexion philosophique, dans une ligne qui déborde la philosophie analytique classique, sur les problèmes...

  • HUI SHI [HOUEI CHE] ou HUIZI [HOUEI-TSEU] (env. 370-env. 310 av. J.-C.)

    • Écrit par Kristofer SCHIPPER
    • 661 mots

    Dialecticien chinois, un des grands sophistes qui ont été rangés dans ce qu'on appelle l'« école des noms » (Mingjia), Hui Shi (ou Huizi), dont aucun ouvrage ne nous est parvenu, est l'auteur d'un système, important et original, qui est connu par son ami Zhuangzi...

  • HUSSERL EDMUND

    • Écrit par Gérard GRANEL
    • 7 587 mots
    • 1 média
    La question sur le sens et le fondement de la modernité, en laquelle se rassemblent toutes les autres questions de la phénoménologie, s'est d'abord jouée pour Husserl, à l'époque des Logische Untersuchungen (1900), dans une sorte de marginalité indéterminée et précieuse par rapport...
  • INDE (Arts et culture) - Les doctrines philosophiques et religieuses

    • Écrit par Jean FILLIOZAT
    • 14 661 mots
    • 3 médias
    La logique est représentée en philosophie indienne par le Nyāya, nom du raisonnement type. Elle est la théorie de l'argumentation (tarka), des moyens valides de jugement et des erreurs. Elle est utilisée explicitement par tous les philosophes, savants et théoriciens des religions, mais elle a...
  • ISLAM (La civilisation islamique) - La philosophie

    • Écrit par Christian JAMBET, Jean JOLIVET
    • 7 898 mots
    ...b. Ṭaraẖān b. Ūsaluġ al-Fārābī, mort, selon l'avis le plus courant, en 339/950. On remarque avant tout chez lui un puissant intérêt pour la logique, à laquelle il a consacré un bon nombre d'ouvrages (commentaires et paraphrases des traités aristotéliciens, monographies). On peut dire qu'il...
  • JEAN XXI, PIERRE D'ESPAGNE (1220?-1277) pape (1276-1277)

    • Écrit par Denis COUTAGNE
    • 389 mots

    Médecin, théologien, mais surtout logicien, Pierre d'Espagne, né à Lisbonne, fut maître ès arts à Paris avant 1246, date à laquelle il vint enseigner à la faculté de médecine de Sienne. Nommé archevêque de Braga (Portugal) en 1272, il devint l'année suivante cardinal-évêque de Tusculum et médecin...

  • JEVONS WILLIAM STANLEY (1835-1882)

    • Écrit par Guy CAIRE
    • 1 319 mots
    • 1 média
    Dans le domaine de la logique, discipline qui a occupé une grande partie de son temps de 1866 à 1876, Jevons acquiert une réputation aussi importante qu'en économie. Ses différents ouvrages – Logique pure (Pure Logic, 1863), Les Principes de la science (The Principles of Science, 1874), ...
  • JINISME ou JAÏNISME

    • Écrit par Colette CAILLAT, Marie-Simone RENOU
    • 5 024 mots
    ...quatre grandes sections constituées chacune par un certain nombre de traités, et dans les commentaires de ce canon que se trouve la base de la dogmatique. La connaissance, attribut essentiel de l'âme, s'acquiert selon deux normes de savoir valide (pramāṇa) : l'une médiate (parokṣa),...
  • KANT EMMANUEL

    • Écrit par Louis GUILLERMIT
    • 11 769 mots
    • 1 média
    Par son caractère à la fois scientifique et normatif, la critique se présente comme une Logique, qualifiée de transcendantale pour annoncer que, loin de s'attacher à la seule forme de la pensée vidée de tout contenu pour en étudier les opérations et les règles comme le faisait la logique générale,...
  • KLEENE STEPHEN COLE (1909-1994)

    • Écrit par Pierre GOUJON
    • 327 mots

    Mathématicien américain né à Hartford (Connecticut). Diplômé de l'Amherst College, Stephen C. Kleene entre, en 1930, à l'université de Princeton. Il est docteur de la même université en 1934. Dès cette époque, il partage son temps entre l'enseignement (université du Wisconsin) et la...

  • KOTARBINSKI TADEUSZ (1886-1981)

    • Écrit par Françoise ARMENGAUD
    • 775 mots

    Logicien et philosophe polonais né à Varsovie, Tadeusz Kotarbinski fait ses études à l'université de Lwów, et obtient en 1912 son doctorat avec une thèse sur L'Utilitarisme dans l'éthique de Mill et de Spencer. De 1918 à 1957, il enseigne à l'université de Varsovie....

  • LEIBNIZ GOTTFRIED WILHELM, en bref

    • Écrit par Francis WYBRANDS
    • 157 mots
    • 1 média

    Travailleur infatigable, esprit encyclopédique, G. W. Leibniz aura exercé son incomparable intelligence dans tous les domaines. Paradoxalement, il aura laissé peu de livres, alors qu'il écrivit beaucoup. Directement ou non, il croisa le fer avec tous les grands esprits de son temps (Descartes,...

  • LEIBNIZ GOTTFRIED WILHELM

    • Écrit par Martine DE GAUDEMAR
    • 4 464 mots
    • 3 médias
    Aupremier plan des instruments de la raison que Leibniz a toujours cherchés, améliorés ou constitués, il y a la logique. Leibniz est le plus logicien des grands philosophes de la tradition, selon J.-B. Rauzy, le meilleur connaisseur français de ce versant de l'œuvre. Il a reconstruit un calcul logique...
  • LES LOIS DE LA PENSÉE (G. Boole)

    • Écrit par Bernard PIRE
    • 167 mots

    Le mathématicien britannique Georges Boole (1815-1864) est le fondateur de la logique symbolique moderne. Autodidacte sans aucun titre universitaire, il soutient que la logique doit être rattachée aux mathématiques et non à la philosophie. En 1854, il publie l'exposé abouti de ses idées dans...

  • LIBERA ALAIN DE (1948- )

    • Écrit par Jean-Baptiste BRENET
    • 937 mots
    • 1 média
    Lespremiers travaux d’Alain de Libera portent sur la logique médiévale. Sa longue étude de la littérature des s ophismata (un ensemble de questions déroutantes comme celle-ci : « est-il vrai de dire que l’homme est un animal rationnel, même si aucun homme n’existe ? ») culmine dans ...
  • LOGIQUE INDIENNE

    • Écrit par Kuno LORENZ
    • 5 781 mots

    Les questions de raisonnement logique occupent une place aussi importante dans la philosophie indienne, d'un bout à l'autre de son histoire, que dans la tradition occidentale. Ce n'est que dans les années 1930 que la plupart des Occidentaux ont fini par reconnaître ce fait, dont l'étude reste encore...

  • ŁUKASIEWICZ JAN (1878-1956)

    • Écrit par Françoise ARMENGAUD
    • 609 mots

    Philosophe et logicien polonais, né à Lwów, Łukasiewicz fit des études de mathématiques et de philosophie dans sa ville natale. Il obtint son doctorat de philosophie en 1902, enseigna d'abord à Lwów, puis voyagea en Europe et, de 1915 à 1918, enseigna à l'université de Varsovie. En 1918,...

  • LYCÉE, Antiquité

    • Écrit par Jean-Paul DUMONT
    • 1 197 mots
    ...chez Aristote, mais de l'individualité. L'exactitude et l'acribie sont à rechercher dans l'enquête détaillée et dans l'observation. Dans ses études de logique formelle, Théophraste ne se borne pas, comme on dit généralement, à perfectionner les démonstrations aristotéliciennes, comme celle de la conversion...
  • MÉGARIQUE ÉCOLE

    • Écrit par Olivier JUILLIARD
    • 676 mots

    Du chef de l'école de Mégare, Euclide, aucun texte ne nous est parvenu ; l'enseignement du maître et celui de ses successeurs à la tête de l'école, Eubulide, Alexinus, Diodore Cronos, nous sont seulement connus par des allusions et des critiques de Platon, d'...

  • MARTIN ROGER (1920-1979)

    • Écrit par Jan SEBESTIK
    • 999 mots

    Professeur de logique formelle à l'université de Paris-V, Roger Martin fut un des représentants français les plus éminents de cette discipline. Né au Puy le 17 mars 1920, il prépare au lycée Henry-IV, après ses études secondaires au lycée Buffon, le concours d'entrée à l'École normale...

  • MATHÉMATIQUES FONDEMENTS DES

    • Écrit par Jean Toussaint DESANTI
    • 9 182 mots
    • 1 média
    La constitution de la logique en discipline autonome, d'autre part. C'est là un point décisif. En dépit des limitations que la postérité a notées dans l'édifice des Premiers Analytiques, Aristote a dégagé les formes logiques dans leur généralité de principe. L'usage qu'il fait des...
  • MEINONG ALEXIUS VON (1853-1920)

    • Écrit par Francis JACQUES
    • 2 352 mots
    ...que les fictions ou les êtres de raison (parmi ces derniers, Meinong range les objectifs faux). C'est sur ce point que Russell fera porter sa critique en 1904. Remaniant lui-même la théorie de ces objets, il convainc Meinong de psychologisme et renverse les rapports entre lalogique et la psychologie.
  • MOYEN ÂGE - La pensée médiévale

    • Écrit par Alain de LIBERA
    • 19 547 mots
    ...médiévale n'est pas une simple philosophie du langage ; c'est une pensée dans le langage, et donc aussi une théorie générale de l'ambiguïté. Pour des raisons évidentes, cette théorie s'est appuyée sur l'analyse aristotélicienne de l'« erreur dans la composition et la division du sens propositionnel...
  • NÉCESSITÉ

    • Écrit par Michaël FOESSEL
    • 994 mots

    L'usage courant rapproche la nécessité de l'idée de destin, c'est-à-dire de l'advenue d'un événement inévitable. Est « nécessaire », en effet, ce qui ne peut pas ne pas être ou ce qui ne peut pas être autrement qu'il n'est. Dans le Timée, Platon (428-347...

  • NÉO-POSITIVISME ou POSITIVISME LOGIQUE

    • Écrit par Gilles Gaston GRANGER
    • 2 997 mots
    • 1 média
    ...desquels correspond une proposition élémentaire qui en est l'image et qui consiste en l'association d'un prédicat et des noms qui s'y rapportent. Ainsi, la logique, c'est-à-dire l'aspect a priori de la connaissance scientifique, se réduit à l'ensemble des contraintes qui règlent l'usage des liaisons propositionnelles...
  • NOMINALISME

    • Écrit par Paul VIGNAUX
    • 3 162 mots
    ...connaissance, l'âme est réceptivité et si le rejet de tout réalisme revient à refuser aux universaux tout fondement distinct dans la réalité : s'il n'y a point une nature de l'homme en laquelle Socrate « conviendrait » avec Platon, et non point avec tel âne, il n'en reste pas...
  • ŒUVRES PHILOSOPHIQUES, Charles Sanders Peirce - Fiche de lecture

    • Écrit par Jean-Pierre COMETTI
    • 895 mots
    ...de son activité philosophique dans les années 1860 – permettent du moins de se faire une idée claire des problèmes qui en commandent les orientations. On y trouve notamment un ensemble de réflexions sur la logique qui se démarquent du psychologisme. Le logicien, pour Peirce, a affaire aux produits de...
  • ONTOLOGIE

    • Écrit par Paul RICŒUR
    • 13 780 mots
    • 1 média
    Cette primauté de la substance est si entière que même les principes de lalogique s'y subordonnent ; ainsi le principe d' identité – ou ce qu'on nommera ainsi dans l'histoire de la logique – n'énonce pas une règle formelle pour la pensée, celle de ne pas se contredire, de rester en accord...
  • ORGANON, Aristote - Fiche de lecture

    • Écrit par François TRÉMOLIÈRES
    • 722 mots
    • 1 média

    Dans l'œuvre immense qui nous reste d'Aristote (385 env.-322 av. J.-C.), ou qui est publiée sous son nom, on peut distinguer trois ensembles : les écrits qui relèvent directement de la connaissance scientifique (dont De l'âme) ; ceux qui traitent plutôt des conduites humaines...

  • OXFORD ÉCOLE LOGIQUE D'

    • Écrit par Françoise ARMENGAUD
    • 337 mots
    • 2 médias

    École qui occupe une place originale dans le mouvement contemporain de la « philosophie analytique ». Traditionnellement l'université d'Oxford est le lieu de l'éducation classique, en littérature et en philosophie, et on la considère comme un bastion des études aristotéliciennes,...

  • PEIRCE CHARLES SANDERS

    • Écrit par Gérard DELEDALLE
    • 2 736 mots

    Logicien et philosophe américain, Peirce est un pionnier de la pensée. S'il laissa à d'autres l'exploration des domaines qu'il conquit, il leur avait tracé la voie et préparé la tâche. Ses travaux sur les fondements des mathématiques en font un précurseur de Bertrand...

  • PEIRCE CHARLES SANDERS, en bref

    • Écrit par Francis WYBRANDS
    • 159 mots

    Les apports de la pensée de l’Américain Charles Sanders Peirce à la philosophie, en logique des mathématiques et en sémiotique ont longtemps été méconnus en France. Ils n’en sont pas moins considérables, même si son influence ne fut en rien directe : il publia peu (un livre et des articles),...

  • PEIRCE CHARLES SANDERS - (repères chronologiques)

    • Écrit par Francis WYBRANDS
    • 210 mots

    10 septembre 1839 Naissance de Charles Sanders Peirce à Cambridge (Massachusetts). Il est le fils de Benjamin Peirce, mathématicien et astronome à Harvard.

    1859 Diplôme à Harvard.

    1861 Entre au Service géodésique des États-Unis. Il y restera jusqu’en 1891.

    1867 Entre à l’American...

  • PHILOSOPHIE ANALYTIQUE

    • Écrit par Francis JACQUES, Denis ZASLAWSKY
    • 11 817 mots
    • 3 médias
    ...institutionnellement d'abord en constituant une faculté. Sur le plan de la discipline, trois influences précipitaient cette philosophie nouvelle de la philosophie. En premier lieu, la logique se soustrayait à la science du mental. Logiciens et mathématiciens, comme Frege, Husserl, Russell, libèrent la vérité mathématique...
  • PIAGET JEAN (1896-1980)

    • Écrit par Pierre GRÉCO
    • 5 208 mots
    • 1 média
    Que la logique occupe, dans l'œuvre de Piaget, une place centrale, personne n'en disconviendra. Mais, quant à dire exactement quel est son statut et quel rôle elle y joue, quelques explications sont nécessaires.
  • POIRIER RENÉ (1900-1995)

    • Écrit par Bertrand SAINT-SERNIN
    • 775 mots

    Né à Saigon, reçu premier à l'agrégation de philosophie en 1922, licencié en droit, pensionnaire à la fondation Thiers, René Poirier enseigna au lycée Janson-de-Sailly à Paris et au lycée de Chartres, puis aux universités de Montpellier (1931-1932) et d'Alger (1932-1937). Il fut...

  • PORT-ROYAL GRAMMAIRE DE

    • Écrit par Michel BRAUDEAU
    • 908 mots

    De 1644 à 1660, Claude Lancelot, professeur aux Petites Écoles de Port-Royal des Champs rédige une série de grammaires (latine, grecque, italienne, espagnole) qui instaurent une importante réforme dans l'enseignement des langues et entraîneront un grand bouleversement épistémologique....

  • PORT-ROYAL LOGIQUE DE

    • Écrit par Françoise ARMENGAUD
    • 524 mots

    On désigne habituellement sous le nom de Logique de Port-Royal un ouvrage paru en 1662 et intitulé La Logique ou l'Art de penser, qui fut élaboré dans les Petites Écoles de Port-Royal par Antoine Arnault et Pierre Nicole. Destiné à être un manuel abrégé, permettant aux non-spécialistes « d'apprendre...

  • PRAGMATIQUE

    • Écrit par Francis JACQUES
    • 5 766 mots
    Morris (1938) voyait dans la pragmatique la science universelle de l'usage. Son intuition allait être directement corroborée par l'École polonaise qui introduisit la construction des métalangages. Ce devrait être, après la syntaxe et la sémantique, la troisième forme d'étude métalogique...
  • RAISON

    • Écrit par Éric WEIL
    • 11 599 mots
    • 1 média

    Le terme de raison – du latin ratio, qui désigne à l'origine le calcul pour prendre ensuite le sens de faculté de compter, d'organiser, d'ordonner – possède dans toutes les langues modernes une multitude d'acceptions qui, cependant, par des détours plus ou moins longs, peuvent être ramenées...

  • RAISON (notions de base)

    • Écrit par Philippe GRANAROLO
    • 2 593 mots
    Un autre apport majeur d’Aristote concerne la logique, qu’il construit là encore en généralisant les règles du langage. Tout discours humain, du plus quotidien au plus sophistiqué, repose sur quelques principes fondamentaux qui passent généralement inaperçus. La mise en évidence de ces principes...
  • RAMUS PIERRE DE LA RAMÉE dit (1515-1572)

    • Écrit par Jean-Claude MARGOLIN
    • 1 011 mots

    Humaniste français qui entreprit dans la science du temps de la Réforme une critique analogue à celle de Luther et de Calvin dans l'ordre religieux. Né à Cuth, dans le Vermandois, Ramus appartient à une famille très modeste ; son père est laboureur et son grand-père charbonnier. À huit ans,...

  • RECHERCHES LOGIQUES, Edmund Husserl - Fiche de lecture

    • Écrit par Francis WYBRANDS
    • 841 mots

    La première édition, à Halle, des Recherches logiques (Logische Untersuchungen) date de 1900-1901 et fonde véritablement la phénoménologie, tout comme L'Interprétation des rêves de Freud (1900) fonde la psychanalyse. C'est contre le psychologisme qui, à partir des lectures néo-kantiennes,...

  • ROBINSON ABRAHAM (1918-1974)

    • Écrit par Daniel ANDLER
    • 992 mots

    Mathématicien et logicien américain d'origine allemande.

    Né à Waldenburg, en Allemagne (l'actuelle Walbrzych polonaise), dans une famille intellectuelle sioniste, Abraham Robinson émigre en Palestine avec sa famille en 1933. Tout en gagnant sa vie et en suivant l'entraînement...

  • ROGER BACON (1212/1220-1292)

    • Écrit par Alain de LIBERA
    • 1 616 mots
    De toutes les faiblesses de la société chrétienne, c'est, cependant, l'incapacité des jeunes théologiens mendiants à fonder l'exégèse sur une connaissance approfondie des langues qui répugne le plus à Bacon. Il n'a jamais assez de mots pour stigmatiser la « bêtise » et la « frivolité » de ses contemporains...
  • RUSSELL BERTRAND lord (1872-1970)

    • Écrit par Philippe DEVAUX
    • 5 355 mots
    • 1 média

    La longue vie qui fut accordée à Russell, l'alacrité avec laquelle il a supporté celle-ci ont fait de lui un personnage hors série. Toujours en quête de renouvellement, il était, par l'ampleur de sa réflexion et la franchise de son action morale et politique, destiné à faire allégrement l'objet d'âpres...

  • SÉMIOLOGIE

    • Écrit par Julia KRISTEVA
    • 4 789 mots
    • 1 média
    ...la première fois dans l'aire culturelle occidentale avec les stoïciens (iii e siècle av. J.-C.). Elle leur est nécessaire pour fonder la théorie logique très détaillée du syllogisme (la proposition conditionnelle ou disjonctive qui dévoile le mécanisme d'une preuve), articulée comme une série...
  • SIGNE ET SENS

    • Écrit par Paul RICŒUR
    • 6 849 mots
    • 1 média
    ...dans le cadre des disciplines qui ont, à l'égard de la philosophie et de la théologie, le rôle d'initiation au discours : rhétorique, grammaire, logique. En particulier, la grammaire spéculative du xiv e siècle marque une avance extraordinaire dans la théorie des signes. L'analyse des ...
  • STILPON (IVe s. av. J.-C.)

    • Écrit par Pierre HADOT
    • 330 mots

    Chef de l'école philosophique de Mégare vers ~ 330, Stilpon donne à celle-ci, par son habileté dialectique et la puissance de sa personnalité, un rayonnement considérable : il a notamment pour disciple Zénon de Cittium, le futur fondateur du stoïcisme, dont la dialectique reprendra...

  • STOÏCISME

    • Écrit par Jacques BRUNSCHWIG, Urs EGLI
    • 6 541 mots
    • 2 médias
    ...modernes, on a longtemps estimé que l'enseignement des stoïciens, pédant et stérile, ne valait rien. En 1935, Jan Łukasiewicz montre qu'en réalité la logique des stoïciens est originale et s'apparente à la logique moderne. La syllogistique des stoïciens est une logique des propositions, tandis que celle...
  • STRAWSON PETER FREDERICK (1919-2006)

    • Écrit par Francis JACQUES
    • 2 062 mots

    Né en 1919, fellow de l'université d'Oxford où il fit ses études (St. John's College), Peter Frederick Strawson est l'un des auteurs dominants de la philosophie dite du langage ordinaire, qui procède, pour ses prémisses, du second Wittgenstein, pour sa méthode scrupuleuse,...

  • SYLLOGISME

    • Écrit par Pierre AUBENQUE
    • 1 590 mots
    La syllogistique se distingue du moderne calcul des propositions (préparé dans l'Antiquité par la logique stoïcienne) en ce qu'elle s'appuie sur la composition interne des propositions, au lieu de les considérer comme un tout. Le véritable élément du syllogisme n'est donc pas la proposition, mais...
  • TARSKI ALFRED (1902-1983)

    • Écrit par Jan SEBESTIK
    • 945 mots

    Né à Varsovie, Alfred Tarski, qui fut, avant la Seconde Guerre mondiale, un des maîtres de l'école polonaise de logique, devait s'imposer comme un des plus grands logiciens contemporains, par ses travaux sur la métamathématique et sur la sémantique notamment, et par son enseignement...

  • THÉOLOGIE

    • Écrit par Henry DUMÉRY, Claude GEFFRÉ, Jacques POULAIN
    • 11 765 mots
    • 1 média
    ...modifications conceptuelles nécessaires pour être compatible avec tous les faits, même avec ceux qui témoigneraient du contraire. Aux yeux de l'empirisme logique, la notion de bonté serait ainsi vidée peu à peu de son sens originaire, c'est-à-dire de tout sens : l'ensemble des restrictions nécessaires à...
  • THOMAS D'ERFURT (fin XIIIe-déb. XIVe s.)

    • Écrit par Henri-Jacques STIKER
    • 862 mots

    Auteur d'un traité, rédigé aux alentours de 1300 et intitulé Grammatica speculativa ou De modis significandi, qui figurait jusqu'en 1921 dans les œuvres de Jean Duns Scot (éd. Vivès, Paris, 1891). Lorsque M. Grabmann corrigea cette erreur d'attribution, Heidegger venait...

  • TRACTATUS LOGICO-PHILOSOPHICUS, Ludwig Wittgenstein - Fiche de lecture

    • Écrit par Jean-Pierre COMETTI
    • 808 mots
    • 1 média
    « Le but de la philosophie est la clarification logique de la pensée. » Ouvrage déconcertant et d’une grande beauté, le Tractatus aborde en une soixantaine de pages les problèmes auxquels s’étaient heurtés Gottlob Frege et Bertrand Russell en s’engageant dans un programme destiné à fonder...
  • VAIŚEṢIKA

    • Écrit par Jean VARENNE
    • 607 mots

    L'ensemble de la tradition hindoue est divisée en « systèmes » (darśana) qui sont, en fait, des « points de vue », des « façons de considérer le réel », et dont chacun tend à se spécialiser dans un certain domaine : le Védânta (vedānta), par exemple, se voue à l'exposé...

  • WITTGENSTEIN LUDWIG

    • Écrit par Jean-Pierre COMETTI, Gilles Gaston GRANGER
    • 3 693 mots
    • 3 médias
    ...tout fait est exprimable par une proposition obtenue en combinant des liaisons de propositions « atomiques » (thèse de l'atomisme logique) et dont la valeur de vérité ne dépend que de celle de ses ultimes composantes (thèse d'extensionnalité). Cette forme logique joue le rôle d'un système universel...
  • ZEN

    • Écrit par Claude GRÉGORY
    • 16 498 mots
    On peut douter que le chan parvienne à donner suite à son intention, dès lors qu'il s'autorise à mettre en suspens le postulat d'identité, s'interdisant du même coup l'usage de la négation, donc celui du discours. On peut s'étonner qu'affligé d'une aporie de cette taille le chan se soit...

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Bertrand Russell

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Le philosophe anglais lord Bertrand Russell (1872-1970), en 1948. Scientifique et mathématicien,…

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