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ORLÉANISME

Articles

  • ORLÉANISME

    • Écrit par José MURACCIOLE
    • 929 mots

    Traditionnellement, le duché d'Orléans donnait son nom au deuxième fils du roi de France. À sa naissance, il était fait duc d'Orléans de même que son frère aîné le futur roi était dénommé Dauphin. Par la suite, et surtout à partir de 1610, les ducs d'Orléans prirent l'habitude de grouper autour...

  • CHOISEUL-PRASLIN CHARLES duc de (1805-1847)

    • Écrit par André Jean TUDESQ
    • 254 mots

    Fils d'un pair de France, élu député de Melun en Seine-et-Marne en mars 1839 par les conservateurs, Charles de Choiseul-Praslin est nommé en 1845 pair de France. Chevalier d'honneur de la duchesse d'Orléans, apparenté à toute la plus haute aristocratie orléaniste, il est un des principaux instruments...

  • DEUXIÈME RÉPUBLIQUE

    • Écrit par André Jean TUDESQ
    • 4 300 mots
    • 1 média
    ...monarchique. Or la mort, le 26 août, en Angleterre, de Louis-Philippe, qui s'était convaincu de la nécessité de la fusion, n'avait pas résolu les difficultés. Des efforts sont tentés à la fois par des légitimistes (comme le duc de Noailles) et par des orléanistes comme Salvandy, Molé, le duc de Broglie, Guizot...
  • EMPIRE SECOND (1852-1870)

    • Écrit par Stella ROLLET
    • 12 843 mots
    • 9 médias
    ...étouffé la liberté d’expression. La répression et les commissions mixtes ont eu raison de la menace républicaine, à part quelques bastions en province, en particulier dans les grandes villes. Les légitimistes et lesorléanistes, trop divisés et affaiblis, ne peuvent constituer une opposition sérieuse.
  • EXTRÊME DROITE

    • Écrit par Jean-Yves CAMUS
    • 11 962 mots
    • 9 médias
    ...début de la monarchie de Juillet, pour ne jamais plus revenir au pouvoir. C'est à cette époque que le camp monarchiste se divise en deux familles : les orléanistes, derrière Louis-Philippe, partisans d'une monarchie libérale, et les légitimistes ultras. Les premiers, favorables à une monarchie parlementaire,...
  • JACOBINS CLUB DES

    • Écrit par Jean MASSIN
    • 1 549 mots
    • 1 média

    Le 30 avril 1789, à Versailles, les députés du tiers état de Bretagne, parmi lesquels Le Chapelier, Lanjuinais, Coroller et Defermon, se réunissent pour débattre ensemble de leur attitude cinq jours avant l'ouverture des États généraux. C'est l'origine du Club breton auquel s'agrégeront...

  • LOUIS-PHILIPPE Ier (1773-1850) roi des Français (1830-1848)

    • Écrit par Guillaume de BERTHIER DE SAUVIGNY
    • 777 mots
    • 1 média

    Né à Paris, Louis-Philippe était le fils aîné du duc d'Orléans (dit plus tard Philippe-Égalité), qui avait confié l'éducation de ses enfants à sa maîtresse, la comtesse de Genlis ; elle eut le mérite de leur donner une formation à la vie pratique en même temps qu'une culture plus poussée que...

  • MORNY CHARLES AUGUSTE duc de (1811-1865)

    • Écrit par Pierre GUIRAL
    • 535 mots
    • 1 média

    Homme politique et financier du xixe siècle.

    Fils naturel de la reine de Hollande Hortense de Beauharnais et du comte de Flahaut, demi-frère du futur Napoléon III, Charles Auguste Louis Joseph de Morny est né à Saint-Maurice, en Suisse, le 17 septembre 1811.

    Son illustre origine l'a sans...

  • ORLÉANS LOUIS PHILIPPE JOSEPH duc d' (1747-1793) dit PHILIPPE ÉGALITÉ

    • Écrit par Jean TULARD
    • 492 mots
    • 1 média

    Arrière-petit-fils du Régent, le duc d'Orléans est, à la veille de la Révolution, l'un des princes les plus riches de France et le partisan le plus chaleureux des idées nouvelles. Grand maître de la franc-maçonnerie, affectant de penser comme les républicains d'Amérique et de vivre...

  • ROYALISTES, France

    • Écrit par Guillaume de BERTHIER DE SAUVIGNY
    • 362 mots

    Le royalisme n'a pu représenter une option politique que du jour où la monarchie fut abolie, en 1792. Décimés et proscrits sous la Convention, les royalistes purent reparaître après Thermidor et sous le Directoire. La fondation d'une nouvelle monarchie par Bonaparte réduisit leurs...

  • TROISIÈME RÉPUBLIQUE

    • Écrit par Louis GIRARD
    • 14 493 mots
    • 33 médias
    ...Thiers était convaincu de l'avenir d'une république qui cesserait d'être synonyme de révolution. Les royalistes étaient divisés entre légitimistes et orléanistes. Le comte de Chambord, petit-fils de Charles X, qui vivait en Autriche dans un exil décoratif, était un tenant du catholicisme contre-révolutionnaire...