BOUDDHIQUE LITTÉRATURE

Article principal

  • BOUDDHISME (Histoire) - Littératures et écoles bouddhiques

    • Écrit par André BAREAU
    • 5 254 mots

    Sauf durant la vie du Buddha, la communauté monastique n'a jamais été unie sous une direction ayant le pouvoir de maintenir sa cohésion et de définir et imposer une orthodoxie, comme le fit longtemps la papauté dans le christianisme. L'expansion géographique du bouddhisme, la souplesse avec laquelle...

Articles associés

  • AN SHIGAO [NGAN CHE-KAO] (IIe s.)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 177 mots

    Premier grand traducteur de textes bouddhiques en chinois. Il s'appelle An Qing (An Shigao étant un nom honorifique ; An est une abréviation pour An-siäk, ou Arsak). Né dans une grande famille parthe, devenu prince héritier de la maison au pouvoir, il abandonne ses droits au bénéfice de son oncle,...

  • ĀRYADEVA (IIe-IIIe s.)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 253 mots

    Disciple de Nāgārjuna, Āryadeva est une des figures marquantes de l'école Mādhyamaka, un des quatre soleils illuminant le monde, avec Aśvaghosha, Nāgārjuna et Kumāralabdha selon Xuanzang et Yijing. Originaire de Ceylan, Āryadeva se rend en Inde du Nord où il passe pour avoir vaincu Mātriceta...

  • AŚVAGHOṢA (80?-? 150)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 338 mots

    Poète, dramaturge, musicien et penseur bouddhiste, Aśvaghoṣa vivait à l'époque de l'empereur Kaniśka (seconde moitié du ii e siècle). D'après Xuanzang, il était considéré, avec ses contemporains Nāgārjuna, Āryadeva et Kumāralāta, comme un des quatre soleils illuminant le monde....

  • AVATAMSAKA-SŪTRA

    • Écrit par Kristofer SCHIPPER
    • 450 mots

    Texte mahāyāna qui a connu une grande vogue en Chine. D'après la légende, l'Avatamsaka Sūtra (le Sūtra de l'Ornementation fleurie de Buddha, en chinois : Huayanjing) aurait été prononcé par le Buddha aussitôt après son Éveil, mais si profondes étaient ces paroles...

  • BIRMANIE (MYANMAR)

    • Écrit par Denise BERNOT, Pierre-Arnaud CHOUVY, Renaud EGRETEAU, Universalis, Bernard Philippe GROSLIER, Jean PERRIN
    • 28 126 mots
    • 19 médias
    Parmi ses œuvres les plus importantes figure un poème qu'il composa, dit-on, pour un concours littéraire, d'après un texte canonique pāli ; chacune des dix parties de ce poème épique est consacrée à une étape, à un accomplissement du Bouddha sur le chemin de la connaissance parfaite et de la libération....
  • BOUDDHISME (Arts et architecture) - Représentations des Bodhisattva

    • Écrit par Bruno DAGENS
    • 1 321 mots
    • 2 médias
    ...le montrent sous les incarnations les plus diverses, animales ou humaines, sont pour la plupart des reprises de contes prébouddhiques ; la littérature bouddhique en donne plusieurs recensions, la plus importante étant le « Livre des jātaka » du canon pāli qui rassemble cinq cent quarante-sept...
  • BOUDDHISME (Histoire) - Le Buddha

    • Écrit par André BAREAU
    • 3 792 mots
    • 2 médias
    Telle qu'elle est contée dans les recueils canoniques et plus encore dans les ouvrages postérieurs, la biographie traditionnelle du Buddha est essentiellement légendaire et vise surtout à glorifier celui-ci. Elle est constituée autour de trois noyaux indépendants, qui furent réunis après le début de...
  • BOUDDHISME (Les grandes traditions) - Bouddhisme chinois

    • Écrit par Jacques GERNET, Catherine MEUWESE
    • 4 118 mots
    • 5 médias
    La presque totalité des traductions de textes bouddhiques en chinois date de la période comprise entre le ii e et le xi e siècle. Ces textes, au nombre de 1 692 – sūtra (sermons qui sont censés avoir été prononcés par le Buddha), traités de métaphysique, traités de discipline, commentaires...
  • BOUDDHISME (Les grandes traditions) - Bouddhisme indien

    • Écrit par Jean FILLIOZAT, Pierre-Sylvain FILLIOZAT
    • 9 364 mots
    • 1 média
    ...Mahāvihāra à Anurādhapura. Ce monastère fut à Ceylan le centre du Theravāda, d'esprit toujours conservateur et à son tour dépositaire du Canon. Il a sans doute joué un grand rôle dans l'établissement et la fixation du Canon de langue pāli tel qu'il est parvenu jusqu'à notre époque. Un...
  • BOUDDHISME (Les grandes traditions) - Bouddhisme japonais

    • Écrit par Jean-Noël ROBERT
    • 11 873 mots
    • 1 média
    ...Japon à la cour de Chine (en 607 ; d'autres se poursuivront jusqu'en 894 et joueront un grand rôle dans le bouddhisme japonais) et la promulgation de la fameuse Constitution en dix-sept articles (604), dont l'article 2 recommande de vénérer avec ferveur les Trois Joyaux. Mais il ne faut pas exagérer...
  • BOUDDHISME (Les grandes traditions) - Bouddhisme tibétain

    • Écrit par Anne-Marie BLONDEAU
    • 4 932 mots
    • 5 médias
    La première préoccupation des Tibétains en se convertissant fut d'avoir accès aux textes canoniques, rédigés pour la plupart en sanskrit, mais aussi dans des langues vernaculaires, si l'on en croit un édit royal ordonnant de retranscrire les originaux en sanskrit avant leur traduction...
  • BUDDHAGHOSA (Ve s.)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 303 mots

    Le plus grand commentateur bouddhique de langue pâli. L'histoire de la vie de Buddhaghosa est difficile à démêler des légendes qui ont été tissées autour de lui.

    Né au Magadha, dans une famille brahmanique, il est converti au bouddhisme par Revata. Arrivé à Ceylan pour y étudier les...

  • CANDRAKĪRTI (fin VIe s.)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 495 mots

    Un des plus grands maîtres de l'école mādhyamaka. Candrakīrti serait né au Samanta, dans le sud de l'Inde. Élève de Kamalabuddhi, il découvre par lui les œuvres de Nāgārjuna, de Buddhapālita et de Bhāvaviveka. Établi à Nālandā, il se trouva en concurrence avec Candragomin, de l'école...

  • CHINOISE (CIVILISATION) - La littérature

    • Écrit par Paul DEMIÉVILLE, Jean-Pierre DIÉNY, Yves HERVOUET, François JULLIEN, Angel PINO, Isabelle RABUT
    • 40 174 mots
    • 1 média
    Du point de vue littéraire, tout en renouvelant les thèmes et les sujets, le bouddhisme exerça une action capitale sur les formes elles-mêmes, en rapprochant la langue littéraire de la langue vulgaire, puis en provoquant peu à peu la création d'une littérature en véritable langue vulgaire. Il s'était...
  • CHINOISES GRANDES ÉDITIONS

    • Écrit par Pierre-Étienne WILL
    • 858 mots

    L'un des traits remarquables de l'édition chinoise, pratiquement depuis ses débuts et jusqu'à ce jour, est la publication de vastes collections dont la visée n'est pas commerciale, mais idéologique ou politique : manifestation de piété (religieuse ou culturelle selon...

  • DAO'AN [TAO-NGAN] (312-385)

    • Écrit par Kristofer SCHIPPER
    • 276 mots

    Religieux éminent, père de l'Église bouddhique en Chine. Issu d'une famille lettrée de Chine du Sud, Dao'an vit tantôt au Nord, sous les dynasties barbares, tantôt dans le Sud, servant de trait d'union entre les groupes bouddhistes des deux régions. Encore jeune, il se rend à Ye (actuelle contrée...

  • DŌGEN (1200-1253)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 421 mots

    Moine bouddhiste japonais, fondateur de la secte sōtō, né dans une famille marquante alliée à la dynastie, Dōgen reçut l'éducation propre à son milieu. Il perdit son père à deux ans, sa mère à huit, et passa les années suivantes en séjours successifs chez différents parents. En 1213, après...

  • FONDATION DU EIHEI-JI

    • Écrit par François MACÉ
    • 203 mots

    Le moine bouddhiste Dōgen avait fait le voyage en Chine (1223-1227) où il connut l'éveil et reçut la transmission de l'école zen Sōtō. À son retour au Japon, il enseigna d'abord seize ans dans la capitale, Kyōto. Pour des raisons non entièrement élucidées, dont probablement l'hostilité...

  • IMPRIMERIE

    • Écrit par Isabelle ANTONUTTI, Jean-Pierre DRÈGE, Universalis, Henri-Jean MARTIN
    • 12 753 mots
    • 3 médias
    L'encouragement constant donné à la multiplication des écrits et des images bouddhiques est à la source de l'imprimerie chinoise. Les fidèles étaient incités régulièrement non seulement à lire de manière répétée un grand nombre de fois les sūtra bouddhiques, mais aussi à reproduire par milliers les...
  • INDE (Arts et culture) - Langues et littératures

    • Écrit par Jean-Pierre DURIX, Jacqueline FILLIOZAT, François GROS
    • 9 218 mots
    • 3 médias
    Selon la tradition, la rédaction du Canon bouddhique pāli se serait faite à Ceylan, peu avant notre ère. Le Canon s'organise en trois recueils de textes ou Tipiṭaka : « Les trois corbeilles ». La première ou Vinayapiṭaka (« corbeille de la discipline ») comprend trois parties : le...
  • JĀTAKA

    • Écrit par Jean VARENNE
    • 308 mots

    Le canon bouddhique en pāli est divisé en trois « Corbeilles » (Pitaka), respectivement consacrées aux règles de la vie monastique, à la morale, à la dogmatique. C'est dans la deuxième, dite Sutta-Pitaka (« Corbeille des prescriptions morales »), que se trouve le recueil célèbre...

  • KUMĀRAJĪVA (344-413)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 734 mots

    Un des plus grands traducteurs chinois de textes bouddhistes. Kumārajīva est né à Kucā d'un père ancien brahmane qui s'est converti au bouddhisme, puis marié à une princesse de Kucā. Sa mère, entrée en religion, l'emmène, âgé de huit ans, au Cachemire, où il étudie les Āgama sous la direction...

  • MAHĀYĀNA ou GRAND VÉHICULE

    • Écrit par Jean-Noël ROBERT
    • 1 199 mots

    L'appellation bouddhiste de Mahāyāna, traduite communément par « Grand Véhicule », est un terme polémique du bouddhisme. Avec son pendant péjoratif, le Hīnayāna (« Petit Véhicule »), le Mahāyāna forme un couple conceptuel qui, à l'instar de la distinction chrétienne entre Ancien et...

  • MILINDA QUESTIONS DE

    • Écrit par Jean VARENNE
    • 276 mots

    On trouve dans la littérature bouddhique en pāli un ouvrage exceptionnel : Les Questions de Milinda (Milinda-pañha) qui se présente comme un dialogue entre le moine bouddhiste Nāgasena et le roi grec de Bactriane Ménandre (en pāli, Milinda). Au début du texte, Siālkot (Sakala...

  • NĀGĀRJUNA (150?-? 250)

    • Écrit par Jean VARENNE
    • 449 mots

    Du plus célèbre philosophe bouddhiste, de Nāgārjuna, on ne sait rien de certain, pas même l'époque exacte où il vécut, et l'on est obligé de s'en tenir à ce que dit de lui la tradition. Celle-ci assure qu'il naquit dans le sud-est de l'Inde (Andhra Pradesh), donc en pays dravidien. Brahmane...

  • NICHIREN (1222-1282)

    • Écrit par Universalis
    • 415 mots

    Moine bouddhiste japonais, fondateur de la secte qui porte son nom, Nichiren était le fils de Nukina Saemon Shigetada, un pêcheur de Kominato, sur la côte d'Awa. À onze ans, il entre au monastère de Kiyosumi, où il étudie, sous la direction de Dōzenbō, des doctrines tendai mêlées d'ésotérisme....

  • PĀLI LANGUE & LITTÉRATURE

    • Écrit par Colette CAILLAT
    • 4 209 mots

    Le pāli est la langue des anciennes Écritures du bouddhisme méridional, aujourd'hui encore pratiqué à Sri Lanka et dans les pays occidentaux de la presqu'île indochinoise : Birmanie, Laos, Thaïlande, Cambodge (Kampuchea). C'est une langue littéraire, composite, de type haut moyen-indien...

  • PARAMĀRTHA (499-569)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 378 mots

    Maître bouddhiste indien et traducteur de textes en chinois. Originaire d'Ujjayinī, dans l'Inde du Nord, Paramārtha (Zhendi) arrive à Canton en 546, avec deux cent quarante liasses de manuscrits sanskrits, puis dans la capitale de l'empereur Wu des Liang (502-556), Jianye (Nankin), en 548, où il...

  • SANSKRITES LANGUE & LITTÉRATURE

    • Écrit par Pierre-Sylvain FILLIOZAT
    • 7 880 mots
    • 1 média
    ...hybride », un sanskrit gardant des mots et des expressions prākrites que l'usage ou la convenance devaient imposer. La même évolution s'est faite dans la littérature bouddhique. La rédaction la plus ancienne des livres bouddhiques, de ce qui était censé être la parole du Bouddha, est en māgadhī, plus...
  • SARVĀSTIVĀDIN

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 599 mots

    Membres de la secte bouddhiste du Petit Véhicule, issue de la branche mère des Sthavira, sans doute en ~ 244 ou ~ 243, au cours d'un concile réuni à Pātaliputra, sous le règne d'Asoka. Cette assemblée, qui était présidée par Maudgalyāyana ou par Moggaliputta Tissa, repoussa les thèses...

  • SINGHALAISES ou CINGALAISES LANGUE ET LITTÉRATURE

    • Écrit par Stella SANDAHL
    • 1 992 mots
    ...traités sur la doctrine, ses chroniques des communautés monastiques, ses traductions des sutta pāli, la littérature singhalaise débute sous l'égide bouddhique et ne la quittera jamais vraiment. La vie et les prouesses du Maître (qu'il s'agisse de Bodhisattva ou de Buddha) inspirent tout naturellement...
  • SONG YUN (VIe s.)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 239 mots

    Pèlerin chinois, qui se rendit en mission officielle en Inde au début du vi e siècle. Né à Dunhuang, Song Yun est envoyé en 518, par une impératrice des Wei du Nord, en ambassade dans les pays d'Occident. Il est chargé de rencontrer les chefs d'État, pour lesquels il emporte des lettres de...

  • SŪTRA DU DIAMANT

    • Écrit par Jean-Pierre DRÈGE
    • 1 309 mots
    • 1 média

    En mars 1907, Aurel Stein, archéologue d’origine hongroise, chargé d’une expédition en Asie centrale pour le compte de l’empire britannique, arrive aux grottes du complexe de Mogao, situées à une trentaine de kilomètres de l’oasis de Dunhuang. Il y reste environ trois mois et partage...

  • TAMOULES LANGUE & LITTÉRATURE

    • Écrit par François GROS
    • 2 886 mots
    ...l'erreur judiciaire et culminant dans l'exaltation d'un culte populaire, la vision la plus chatoyante de la culture tamoule à l'ère du Saṅgam. Épopée du bouddhisme conquérant, Maṇimēkalai, avec force voyages, magie et miracles et d'abondantes digressions, est une compilation un peu touffue et difficile...
  • TIBET (XIZIANG)

    • Écrit par Universalis, Chantal MASSONAUD, Luciano PETECH, David SNELLGROVE, Pierre TROLLIET
    • 23 602 mots
    • 11 médias
    Plus digne d'attention est la production graduelle d'une vaste littérature bouddhique tibétaine indigène reposant sur les écrits canoniques brièvement décrits plus haut. Cette littérature s'exprima sur le double plan savant et populaire. À partir du xii e siècle, on passe de l'ère des grands...
  • TURCO-MONGOLES LANGUES ET LITTÉRATURES

    • Écrit par Louis HAMBIS
    • 8 980 mots
    Lalittérature bouddhique en ouïgour est très riche ; elle a duré fort longtemps et on en connaît de nombreux textes. Pendant la période ancienne, probablement à l'époque où subsistaient les littératures manichéennes et chrétiennes, une masse considérable de textes traduits du sanskrit en sogdien, en...
  • VASUBANDHU (entre IVe et VIe s.)

    • Écrit par Jean VARENNE
    • 157 mots

    Frère cadet du célèbre maître bouddhiste Asanga, Vasubandhu se distingua d'abord de celui-ci, à en croire la légende, en adhérant au Petit Véhicule (Hīnayāna), dont on dit même qu'il devint un docteur. Il aurait ensuite été converti par son aîné aux doctrines du Grand Véhicule (Mahāyāna) et...

  • VASUMITRA (IIe s.)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 106 mots

    Auteur du Samayabhedoparacanacakra, ouvrage traitant des diverses sectes bouddhiques. L'auteur, de tendance sarvāstivādin, accorde à sa propre secte une importance démesurée, la mettant à l'origine de la plupart des sectes sthavira. Il semble qu'on puisse identifier ce Vasumitra avec celui qui présida...

  • XUANZANG [HIUAN-TSANG] (602-664)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 750 mots
    • 1 média

    Le plus célèbre des pèlerins chinois en Inde. Né dans le Henan, quatrième fils d'une famille lettrée, Xuanzang fait de bonnes études classiques, mais s'intéresse très jeune au bouddhisme et entre, à douze ans, dans un monastère de Luoyang. En 618, il se rend à Chengdu, dans le Sichuan, et il y...

  • YIJING [YI-TSING] (635-713)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 297 mots

    Le dernier des grands pèlerins bouddhistes chinois, qui emprunta la route maritime pour gagner l'Inde. Né au Zhili (Hebei), près de Pékin, Yijing entre en religion à sept ans ; à quinze ans, il décide de se rendre dans la patrie du Bouddha. Longtemps après, à trente-sept ans (671), il quitte Yangzhou...

  • ZHI QIAN [TCHE K'IEN] (IIIe s.)

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 161 mots

    Laïc d'origine indo-scythe (Yuezhi, d'où vient son nom Zhi). Très instruit, Zhi Qian vécut d'abord à Luoyang ; puis, en raison des troubles qui marquèrent la fin de l'empire des Han, il émigra, en 220 environ, dans le Sud, au royaume de Wu, où il fut en relations avec l'empereur Sun Quan, qui le...