Hormones et système endocrinien, physiologie humaine
5320ADRÉNALINE
On regroupe sous le nom de catécholamines trois composés dérivés de la phényléthylamine, tous hydroxylés en position 3 et 4 sur le noyau aromatique. Ce sont l'adrénaline, la noradrénaline et la dopamine. L'adrénaline, dont l'action est essentiellement hormonale, provient surtout de la glande médullo-surrénale, bien qu'on la trouve aussi dans le cerveau. La noradrénaline est le neuromédiateur des t […] Lire la suite
ALDOSTÉRONE
Dès 1934, Wintersteiner démontrait que l'animal, privé de surrénales, pouvait être maintenu en vie à l'aide d'une fraction amorphe extraite de la partie corticale de ces glandes.En1953, Wettstein et Reichstein ont isolé, à partir de cette fraction, une substance hormonale comportant une fonction aldéhyde et ils lui ont donné le nom d'aldostérone. Wettstei […] Lire la suite
ANDROGÈNES
Hormones stéroïdes à dix-neuf atomes de carbone, les androgènes naturels sont biosynthétisés par les gonades, ovaires et testicules (et dans ces derniers par les cellules de Leydig), et par les corticosurrénales (zone réticulée). La testostérone est chez le mâle le principal androgène parmi ceux […] Lire la suite
CHOLÉCYSTOKININE-PANCRÉOZYMINE
Découverte en deux temps, d'abord pour son action sur la contraction de la vésicule biliaire et rattachée à la cholécystokinine par Ivy et Golberg en 1928, puis pour son action sur la sécrétion enzymatique pancréatique, attribuée à la pancréozymine par Harper en 1943, cette hormone n'a vu reconnaître son unité structurale qu'en 1971 par Mutt. La cholécystokinine-pancréozymine est sécrétée par les […] Lire la suite
CROISSANCE, biologie
La croissance staturale humaine résulte avant tout du développement du squelette jusqu'à l'âge adulte. Elle dépend donc essentiellement de l'activité des cartilages de conjugaison, constitués de cellules en constant renouvellement, qui préparent à leur contact la formation de tissu osseux permettant l'allongement des pièces squelettiques. La disparition de ces cartilages remplacés par du tissu oss […] Lire la suite
DÉCOUVERTE DE LA CORTISONE
La recherche sur les glandes surrénales fut stimulée par des observations cliniques faites sur des malades atteints d'insuffisance surrénalienne. De 1933 à 1936, trois groupes de chercheurs, dont celui d'Edward C. Kendall, qui avait déjà isolé la thyroxine, et celui de […] Lire la suite
DÉCOUVERTE DE L'INSULINE
L'histoire de l'insuline remonte à la mise en évidence expérimentale du rôle du pancréas dans la genèse du diabète sucré chez le chien, par Oskar Minkowski et Josef von Mering, en 1889. Stimulés en outre par les résultats encourageants de l'administration d'extraits de thyroïd […] Lire la suite
ENTÉROGASTRONES
Hormones peptidiques gastro-intestinales, les entérogastrones sont produites par certains constituants du système APUD, et apparentées à la sécrétine et au glucagon.Sécrété dans le duodénum et le jéjunum par les cellules K, le GIP (gastric inhibitory peptide) appartient à la famille de la sécrétin […] Lire la suite
ESTROGÈNES ou ŒSTROGÈNES
L'appellation de ces substances dérive du terme œstrus (ou estrus) qui désigne, chez les mammifères femelles, la période où l'ovulation et la réceptivité vis-à-vis du mâle coïncident. Les estrogènes naturels sont des hormones stéroïdes à dix-huit atomes de carbone ; il s'ag […] Lire la suite
GASTRINE
Hormone digestive la mieux connue, découverte en 1964 par R. A. Gregory, la gastrine est sécrétée par les cellules G. Authentifiées par leurs caractères ultrastructuraux, celles-ci prédominent dans l'antre gastrique, mais sont également présentes dans le duodénum, les premières anses intestinales et le pancréas.La gastrine est un peptide […] Lire la suite
GHRÉLINE
La ghréline est une hormone naturelle isolée de l'estomac de certains mammifères, dont l'homme, par l'équipe japonaise de Kosima (Nature, no 402, pp. 656-660, 1999).Lorsqu'on l'injecte par voie intraveineuse ou dans le ventricule cérébral, ce peptide relâche l'hormone de croissance, growth hormone, ou GH (d'où le GH […] Lire la suite
GLYCÉMIE
Alors que le système régulateur physico-chimique est doué d'une certaine inertie, le système endocrinien permet un ajustement précis et rapide de la glycémie. Les modalités en sont résumées dans la figure 2.L'insuline est la seule hormone hypoglycémiante ; elle joue un rôle clef dans la régulation de la glycémie. Sa déficience […] Lire la suite
HORMONES
On désigne sous le nom d'hormones (du grec hormaô, je mets en mouvement, j'excite) des substances de nature organique, élaborées par certaines glandes (ou certains tissus), déversées dans le sang et ayant pour unique effet d'exercer une action spécifique sur des parties éloignées du même organisme qui jouent le rôle d'effecteurs (ou récepteurs […] Lire la suite
HORMONES SEXUELLES - (repères chronologiques)
1889 Charles Édouard Brown-Séquard démontre les effets masculinisants des extraits testiculaires.1905 Des extraits ovariens produisent l'œstrus (ou chaleurs, période pendant laquelle une femelle recherche l’accouplement) chez des animaux castrés.1923 Découverte d […] Lire la suite
HORMONES THYROÏDIENNES - (repères chronologiques)
1656 Thomas Wharton nomme la glande « thyroïde » par analogie avec un bouclier grec ancien.1792 François-Emmanuel Fodéré publie Essai sur le goitre et le crétinage, première enquête épidémiologique sur le lien entre eau et goitre.1820 Jean-François […] Lire la suite
HYPOPHYSE ou GLANDE PITUITAIRE
L'hypophyse tire son nom de sa situation à la partie inférieure du cerveau. C'est une glande endocrine formée de deux parties distinctes et d'origine embryonnaire différente : le lobe postérieur et le lobe antérieur. Ce dernier est constitué de sept sortes de cellules que l'on peut caractériser par leurs réactions aux divers colorants et les techniques d'immuno-histochimie ultra-structurales. C'es […] Lire la suite
HYPOTHALAMUS
Malgré ses dimensions restreintes (quelques centimètres cubes chez l'homme), l'hypothalamus s'est peu à peu révélé comme le centre majeur des régulations homéostasiques. En tant que tel, il jouera donc un rôle fondamental dans tous les grands comportements des vertébrés, les plus rudimentaires comme les plus perfectionnés. Dire que l'hypothalamus régule la […] Lire la suite
LEPTINE
De multiples travaux tendent à relier diverses formes d'obésité chez l'homme avec des mutations génétiques. La piste la plus sérieuse est celle de la leptine. Le gène ob, qui code pour cette protéine, est exprimé seulement dans le tissu adi […] Lire la suite
MÉLATONINE
La mélatonine (N-acétyl-5-méthoxy-tryptamine) est une hormone sécrétée principalement par la glande pinéale ou épiphyse et également produite, mais en beaucoup plus faible quantité, par la rétine.Durant les trente dernières années, l'intérêt pour la glande pinéale a été relancé à la suite de l'isolement et de la caractérisation de la mélatonine, par Lerner […] Lire la suite
MÉNOPAUSE
La ménopause est un processus touchant les femmes entre quarante-huit et cinquante-cinq ans ; les ovaires cessent, de manière plus ou moins progressive, de produire des hormones féminines : estradiol et progestérone. Tout d'abord, les ovaires perdent la possibilité d'ovuler régulièrement et, en conséquence, ne fabriquent plus la progestérone, également appelée l'hormone lutéale, sécrétée par le co […] Lire la suite
MOTILINE
La motiline est une hormone que libèrent les cellules EC2 du duodénum et du jéjunum, après alcalinisation de la muqueuse duodénale chez le chien (mais acidification chez l'homme). Favorisant l'activité motrice gastrique et intestinale, cette hormone aurait un rôle régulateur de la vidange gastrique. Elle est susceptible d'intervenir dans la pathogénie du reflux œsophagien. […] Lire la suite
NEUROTENSINE
La neurotensine, composée de treize acides aminés, est localisée dans les neurones du cerveau et dans les cellules intestinales sécrétantes N. Elle est à la fois transmetteur peptidergique et hormone circulante. Elle entraîne une hyperglycémie avec des modifications de l'insulinosécrétion et des effets vasculaires périphériques avec hypotension. Elle serait responsable du syndr […] Lire la suite
NOTION D'HORMONE
À la fin du xixe siècle apparut l'idée que certaines structures anatomiques friables et très vascularisées sécrétaient des substances d'une grande importance pour l'organisme, qu'on appela « sécrétions internes », reprenant une expression inventée par Claude Bernard. Après qu'on eut montré que, dans certa […] Lire la suite
PARATHYROÏDES
Les constatations convergentes faites chez l'homme et chez l'animal, la confrontation des syndromes d'hyposécrétion et d'hypersécrétion des parathyroïdes permettent d'affirmer que la fonction principale de ces glandes endocrines est de participer à la régulation du métabolisme phosphocalcique. Leur rôle essentiel est la régulation de la […] Lire la suite
PROGESTATIFS
Sous le terme de progestatifs on regroupe l'hormone naturelle, la progestérone, et toutes les molécules artificielles capables d'induire à des degrés divers des réponses biologiques. La progestérone est l'un des intermédiaires possibles de la biosynthèse des hormones stéroïdes des mammifères : c' […] Lire la suite
PROLANS ou GONADOTROPHINES CHORIONIQUES
Substances gonadotropes découvertes en 1927 chez la souris par Aschheim et Zondek, et qui se retrouvent en quantités considérables chez les mammifères supérieurs, dans le sang et dans les urines, au décours de la grossesse. Leur origine est placentaire, mais elles sont très proches des gonadotrophines hypophysaires, tant par leur nature que par leurs acti […] Lire la suite
SEXUALISATION, biologie
Le rôle des estrogènes est étudié dans l'article appareil génital : ils sont responsables de la morphogenèse « neutre » à savoir féminine. Nous ne l'envisagerons pas ici. Les androgènes ont longtemps été considérés comme des hormones exclusivement virilisantes, c'est-à-dire responsables de la différenciation et du développement de […] Lire la suite
SOMATOSTATINE
Hormone initialement extraite de l'hypothalamus, la somatostatine a été retrouvée dans les cellules D tout au long du tractus digestif (surtout dans l'antre et le fundus gastrique) et dans le pancréas. Ce tétradécapeptide inhiberait, entre autres, toutes les sécrétions hormonales digestives, n […] Lire la suite
STÉROÏDES
Chez les mammifères, les hormones stéroïdes proviennent de la transformation que le cholestérol subit dans des glandes endocrines. Les quantités de ce stérol dont disposent ces glandes ont différentes origines. En effet, bien qu'elles puissent en biosynthétiser par elles-mêmes de petites quantités, elles utilisent principalement le cholestérol hépatique qui leur parvient sous forme d' […] Lire la suite
SURRÉNALES
Les glandes surrénales furent découvertes en 1543 par B. Eustachi, mais leur rôle n'apparut qu'en 1855 lorsque T. Addison décrivit la maladie bronzée et la rattacha à une destruction de ces glandes. C. E. Brown-Séquard (1856) démontra expérimentalement qu'elles étaient indispensables à la vie. En 1895, Oliver et Schäfer révélaient l'influence hypertensive des extraits surrénaux […] Lire la suite
THYROÏDE
La glande thyroïde, la plus volumineuse des glandes à sécrétion interne, dérive d'une ébauche endodermique située à la partie antérieure du plancher pharyngien, au niveau de la base de la langue. Au cours de sa migration vers le cou pendant le développement embryonnaire, elle laisse parfois, le long du tractus thyréoglosse, des résidus qui peuvent donner naissance à des thyroïdes accessoires ou à […] Lire la suite
THYROXINE ou TÉTRAIODOTHYRONINE (T4)
Lathyroxine est la principale hormone produite par la glande thyroïde. Son dosage permet la détection de l'hypothyroïdie et de l'hyperthyroïdie.C'estEdward C. Kendall, un biochimiste américain qui, de 1910 à 1914, a réussi à isoler chimiquement la thyroxine et à en décrire les signes cliniques, l'absence ou l'insuffisance quantitative de cette hormone étant […] Lire la suite
L'hypothalamus, partie ventrale du diencéphale, et l'hypophyse, petit glande suspendue à la base du crâne niché dans un écrin osseux, sont deux structures qui ne représentent que 1 % du poids du cerveau mais qui exercent une grande influence sur la physiologie de l'ensemble...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Sinus urogénital de l'embryon humain
C'est une formation tubulaire axiale qui reçoit trois paires de canaux dont la fonction initiale était excrétrice. La masculinisation rattache la gonade (testicule) au canal de Wolff (W). La féminisation implique la disparition de ce dernier et l'affectation du canal de...
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Chaîne des réactions donnant naissance à la protéine AMH (hormone antimüllerienne). Le gène SRY (en rouge) agit sur le gène AMH par l'intermédiaire de la « cascade » TDF → SOX9.
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Récepteurs adrénergiques : Classification
Classification des récepteurs adrénergiques.
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Action de drogues sur les récepteurs adrénergiques
Spectre d'action de drogues qui agissent sur les différents récepteurs adrénergiques.
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Caractéristiques de la croissance au cours du cycle cellulaire
Caractéristiques de la croissance au cours du cycle cellulaire. L'évaluation quantitative de la teneur en protéines du cytoplasme et du taux d'ADN contenu dans le noyau d'une cellule en cycle de division permet de subdiviser ce phénomène en quatre étapes : G
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Influence des hormones sur le taux de croissance de l'enfant normal.
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Quelques anomalies génétiques ou acquises du système hormone de croissance (GH)-somatomédine C susceptibles de provoquer un retard de croissance.
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Interactions endocriniennes au cours de la croissance pubertaire.
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Schéma hypothétique du mode d'action (a) des hormones « fonctionnelles » (intervention de l'AMP cyclique) ; (b) des hormones morphogènes (cas de l'œstradiol et des androgènes, intervention des récepteurs).
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Récepteurs nucléaires et leurs ligands
Famille des récepteurs nucléaires et de leurs ligands. En haut, à gauche, la figure montre les six domaines fonctionnels de ces protéines, en allant de la partie NH
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Liaisons à l'ADN des récepteurs nuclaires
Région de liaison à l'ADN des récepteurs nucléaires. Les lettres indiquent les acides aminés. Les quatre cystéines, indiquées par la lettre C, interviennent dans la formation des « doigts de zinc ». Des acides aminés « conservés » sont chargés positivement dans le second...
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Représentation schématique d'un récepteur stéroïde lié à la HSP 90 (DBD : « DNA binding domain », ou domaine de liaison du récepteur à l'ADN ; LBD : « ligand binding domain » ou domaine de liaison au ligand ; HSP 90 : « heat shock protein » de poids...
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Interaction récepteur stéroïdien-ADN
Interaction schématique d'un récepteur stéroïdien et de l'ADN. À gauche, un récepteur consensus avec trois domaines : NH
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Transcription d'un gène dans la chromatine
Initiation de la transcription d'un gène dans la chromatine. Le récepteur activé R interagit avec le nucléosome, qui est modifié ; des facteurs de transcription TF peuvent alors agir sur des séquences d'ADN jusque-là inaccessibles, permettant l'initiation de la transcription...
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Structures d'hormones neurohypophysaires animales
Structures des principales hormones neurohypophysaires des Poissons, des Amphibiens et des Mammifères (d'après Acher, 1981).
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Évolution d'hormones neurohypophysaires
Deux schémas hypothétiques pour l'évolution des hormones neurohypophysaires (en haut, d'après R. Acher, 1969, cf. Acher, 1981 ; en bas, inspiré de Heller, 1969, cf. Fontaine, 1975).
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Phylogénie des sous-unités ß des hormones hypophysaires
Schéma hypothétique de la phylogénie des sous-unités ß des hormones glycoprotéiques hypophysaires. Un carré rouge indique une duplication génique, une flèche bleue le moment supposé d'apparition ou d'individualisation d'une fonction. L'encadré, en bas à droite, représente...
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A : coupe sagittale passant par la région céphalique, d'un embryon de six semaines, montrant la poche de Rathke, diverticule dorsal de la cavité buccale et l'infundibulum, épaississement du plancher du diencéphale. B et C : coupes sagittales passant par l'hypophyse en cours...
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Irrigation hypothalamo-hypophysaire
Représentation schématique de l'irrigation hypothalamo-hypophysaire et de ses relations par l'intermédiaire des systèmes vasculaires portes long et court avec les éléments neurosécréteurs hypothalamiques.
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Soifs d'origine hyperosmotique et hypovolémique
Diagramme des principaux systèmes et de leurs interréactions dans les contrôles des soifs d'origine hyperosmotique et hypovolémique.
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Biosynthèse des hormones stéroïdes
Biosynthèse des hormones stéroïdes dans les glandes corticosurrénales. Le trait ondulé indique que le groupement fonctionnel peut être a ou ß.
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Régulation de la sécrétion du cortisol chez un sujet normal.
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Catabolisme du cortisol (AG : acide glucuronique).
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Catabolisme de l'aldostérone.
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Catabolisme des androgènes (AG : acide glucuronique, AS : acide sulfurique).
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Métabolisme des catécholamines (MAO : monoamine oxydase, COMT : catéchol-O-méthyltransférase).
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Di-iodothyrosine et hormones thyroïdiennes
Structure de la di-iodothyrosine et des hormones thyroïdiennes
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Fixation thyroïdienne de l'iode 131
Fixation thyroïdienne de l'iode 131 (
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Test à l'iode 131 : maladie de Basedow
Test à l'iode 131 (
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Origine et fonction des principales hormones. Toute une série de glandes du corps humain sécrètent des hormones versées directement dans le torrent sanguin. Ce sont les glandes endocrines qui sont chargées de réguler le métabolisme de l'organisme. L'activité...
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