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HYDRIQUE ÉQUILIBRE

Articles

  • AGROMÉTÉOROLOGIE

    • Écrit par Emmanuel CHOISNEL, Emmanuel CLOPPET
    • 6 627 mots
    • 7 médias
    ...entre la fin du mois de mars et le début du mois de mai, une part importante des fluctuations interannuelles des rendements est due à ce qu'on appelle le « déficit hydrique ». Celui-là peut être quantifié par différentes variables. Il correspond à une situation où la culture n'a pas pu trouver dans...
  • BACTÉRIES

    • Écrit par Jean-Michel ALONSO, Jacques BEJOT, Patrick FORTERRE
    • 11 052 mots
    • 3 médias
    ...pH, de concentration ionique, la vitalité des cultures bactériennes est étroitement dépendante de la teneur en eau du milieu de culture. Contrairement aux cellules eucaryotes, les bactéries ne possèdent pas de système permettant une régulation et une épargne de la concentration hydrique dans leur cytoplasme...
  • DÉSERTS

    • Écrit par Roger COQUE, François DURAND-DASTÈS, Huguette GENEST, Francis PETTER
    • 20 885 mots
    • 16 médias
    ...la rareté des précipitations, mais aussi à une forte évaporation, ayant pour conséquence une diminution de la quantité d'eau dans les tissus vivants. Si tout animal peut survivre un certain temps au manque de nourriture solide, la privation d'eau, sous une forme ou sous une autre, qui produit une perte...
  • DÉVELOPPEMENT, biologie

    • Écrit par Georges DUCREUX, Hervé LE GUYADER, Jean-Claude ROLAND
    • 19 221 mots
    • 14 médias
    ...enzymes (invertase, phosphatases...), éventuellement des alcaloïdes, des tanins, des pigments aromatiques (anthocyanes, flavones), des mucilages, etc. L'ensemble de ces composés attire les molécules d'eau par osmose et place la cellule en état de turgescence, nécessaire au maintien du port...
  • FORÊTS - Dépérissement des forêts

    • Écrit par Maurice BONNEAU, Guy LANDMANN
    • 5 662 mots
    Le manque d'eau pour les arbres est bien sûr plus marqué sur des sols peu profonds et chargés en cailloux qui ont une faible capacité à accumuler de l'eau en hiver pour la restituer aux arbres en été, mais il est également fortement modulé par le sylviculteur qui fait varier la concurrence entre arbres...
  • HORMONES

    • Écrit par Jacques DECOURT, Universalis, Yves-Alain FONTAINE, René LAFONT, Jacques YOUNG
    • 14 354 mots
    • 11 médias
    ...où elle conditionne dans la partie distale des tubes contournés la réabsorption de la majeure partie de l'eau filtrée par les glomérules, assurant ainsi l'équilibre hydrique de l'organisme. Les moindres modifications de la masse sanguine et de l'osmolarité mettent en jeu sa libération ou son inhibition....
  • HYPOTHALAMUS

    • Écrit par Paul LAGET
    • 5 706 mots
    • 5 médias
    ...rappellerons cependant qu'une des nécessités les plus critiques de l'homéostasie réside dans la conservation de l'iso-osmolarité entre ces deux compartiments. Tout déficit ou excès en eau ou en solutés auxquels les membranes cellulaires ne sont pas perméables entraînent très rapidement, s'ils ne sont immédiatement...
  • MOUSSES

    • Écrit par Catherine LENNE
    • 1 418 mots
    • 2 médias
    ...par nature desséchant. L’organisme terrestre est ainsi confronté au risque permanent de déshydratation de ses tissus par évaporation. Le maintien de son équilibre hydrique doit se faire en compensant les pertes de vapeur d’eau par une entrée d’eau liquide. Cependant, la disponibilité en eau est réduite...
  • NEUROVÉGÉTATIF SYSTÈME

    • Écrit par Paul DELL
    • 15 374 mots
    • 20 médias
    Lesmouvements d'eau dans l'organisme, le maintien d'une osmolarité normale, le contrôle des déperditions d'eau rénales par la réabsorption tubulaire dépendent essentiellement de l'hormone antidiurétique posthypophysaire (ADH). Une double intervention de l'hypothalamus – son rôle dans le contrôle...
  • NUTRITION ARTIFICIELLE

    • Écrit par Claude MATUCHANSKY
    • 5 540 mots
    • 5 médias
    Eau, électrolytes, micronutriments. L'apport hydrique quotidien tient compte de l'apport calorique global et des pertes notamment digestives. Parmi les minéraux, les besoins en phosphore, impliqués dans le métabolisme gluco-aminé, doivent être satisfaits, pour prévenir les risques d'hypophosphorémie...
  • OSMORÉGULATION

    • Écrit par Brahim LAHLOU
    • 3 304 mots
    • 3 médias
    L 'équilibre est isosmotique lorsqu'il y a égalité de pression osmotique entre le milieu inférieur et le milieu externe. Pratiquement, ce cas ne s'observe que pour des animaux marins. L'organisme ne tend ni à s'hydrater, ni à se déshydrater. La régulation osmotique porte essentiellement sur les...
  • RÉSERVES PHYSIOLOGIQUES - Réserves végétales

    • Écrit par Jacques MIÈGE
    • 8 617 mots
    • 13 médias
    Un type particulier de réserves se rencontre parmi les plantes adaptées aux régions arides et semi-arides qui accumulent d'abondantes quantités d' eau, qu'elles emploieront durant les périodes de sécheresse.
  • SÈVES

    • Écrit par René HELLER
    • 7 361 mots
    • 10 médias
    ...transpiration entraîne des pertes d'eau abondantes que l'absorption doit compenser ; des mécanismes régulateurs et des adaptations morphologiques ou physiologiques maintiennentl'équilibre hydrique, que des pratiques culturales permettent de conserver et d'améliorer dans des conditions climatiques ingrates.
  • SOIF

    • Écrit par Jacques LE MAGNEN
    • 4 150 mots
    • 6 médias
    ...stimulus, dit naturel, éveillant la sensation de soif et conduisant à la recherche et à la consommation d'eau est constitué, en première approximation, par la privation hydrique et par le déficit qu'elle introduit dans le bilan des entrées et des pertes d'eau de l'organisme. La quantité d'eau bue en un temps...
  • TURGESCENCE

    • Écrit par Jacques DAUTA
    • 377 mots

    En cytologie végétale, pression qui applique naturellement le cytoplasme contre la paroi cellulaire pecto-cellulosique, et qui, en vertu du principe de l'action et de la réaction, peut être considérée dans le sens inverse (pression de membrane ou de paroi, sur la masse cytoplasmique). L'origine...

  • VIE RALENTIE ou LATENTE

    • Écrit par René HELLER
    • 773 mots

    La vie latente — ou vie ralentie — est un état où toutes les activités sont réduites au minimum : la respiration et le dégagement de chaleur sont infimes, les échanges nutritifs sont nuls, il n'y a ni synthèses ni croissance ; pourtant l'organisme n'est pas mort, car si certaines conditions sont remplies,...

Média

Soifs d'origine hyperosmotique et hypovolémique - crédits : Encyclopædia Universalis France

Soifs d'origine hyperosmotique et hypovolémique