TURQUIE
Nom officiel | République de Turquie |
Chef de l'État et du gouvernement | Recep Tayyip Erdogan - depuis le 28 août 2014 |
Capitale | Ankara |
Langue officielle | Turc |
Population |
85 325 965 habitants
(2023) |
Superficie |
785 350 km²
|
Naissance de la République turque
Née de l'effondrement de l'Empire ottoman et de la lutte pour l'indépendance et l'intégrité du sol national, la République turque doit surtout son existence à la volonté d'un homme, Mustafa Kemal (appelé plus tard Atatürk), acharné à faire de son pays un État viable et moderne, libéré de toute tutelle étrangère. Sa mort, en 1938, a interrompu trop tôt une œuvre ambitieuse que la Seconde Guerre mondiale a contribué à freiner et à transformer. Au régime du parti unique a succédé en 1945 le régime multipartite qui a permis au Parti démocrate de conquérir le pouvoir en 1950. Mais les excès, à la fois autoritaires et démagogiques, des dirigeants démocrates, ont conduit au coup d'État du 27 mai 1960, qui n'a finalement apporté que peu de changements, alors que nombre de Turcs en attendaient beaucoup. Depuis, la stagnation, l'immobilisme en matière politique et sociale ont eu pour conséquence, en même temps qu'un renouveau très sensible de la religion, l'apparition de mouvements de gauche dont l'action parfois violente a provoqué l'alliance des tenants d'un kémalisme, lointain et dépassé, et ceux d'un certain ordre préconisé par la bourgeoisie possédante.
De la lutte pour l'indépendance à la République
Au lendemain de l'armistice de Moudros (30 oct. 1918), qui consacre la défaite ottomane, les Alliés occupent certaines parties de l'Anatolie et de la Thrace, ainsi que Constantinople ; le traité de Sèvres consacre la désintégration de l'Empire ottoman et de la Turquie. Contre cette réduction du sol national à une partie du plateau anatolien s'élève Mustafa Kemal, brillant officier durant la guerre, qui se révèle vite un grand politique. Les Grecs ayant envahi l'Asie Mineure en 1920, Mustafa Kemal mène contre eux et leurs alliés anglais la guerre d'indépendance (1920-1922) ; les victoires remportées sur les Grecs permettent aux Turcs, par le traité de Lausanne (24 juill. 1923), de retrouver leurs frontières de Thrace et d'obtenir la libération totale de leur pays ; en outre, les populations grecques de Turquie (sauf à Constantinople) et turques de Grèce doivent être échangées ; les capitulations sont abrogées.
Déjà, avant même le déclenchement du conflit avec la Grèce, Mustafa Kemal avait condamné le gouvernement impérial et rejeté son autorité ; après les deux congrès tenus à Erzurum (Erzouroum) et à Sivas (juill.-sept. 1919), il avait réuni à Ankara, le 23 avril 1920, une Grande Assemblée nationale (GAN), qui décida de son caractère représentatif de la nation turque, de l'exercice des pouvoirs législatif et exécutif et qui délégua ses pouvoirs à un Conseil des ministres dont le président fut Mustafa Kemal : ce fut le premier gouvernement national, contre lequel le sultan et son grand vizir envoyèrent en vain des troupes. La victoire des nationalistes entraîna la disparition du gouvernement impérial en 1922.
Les élections à la deuxième Grande Assemblée nationale (juin-août 1923) marquèrent le triomphe total des partisans de Mustafa Kemal, organisés en Parti du peuple : le 29 octobre 1923 fut proclamé l'avènement de la République turque, dont Mustafa Kemal fut aussitôt élu président ; il désigna son principal lieutenant, Ismet Inönü, comme président du Conseil des ministres. La capitale du nouvel État fut fixée à Ankara. Enfin, le 3 mars 1924, fut votée l'abolition du califat. Il fallait maintenant construire une nouvelle Turquie.
L'organisation du régime républicain
Durant les quinze années qui séparent la proclamation de la république de la mort de Mustafa Kemal (10 nov. 1938), celui-ci s'est consacré avec une volonté farouche à la tâche de reconstruire le pays, soutenu par un peuple auquel il avait rendu son honneur et sa fierté. En créant un parti unique – le Parti républicain du peuple ( PRP) –, en muselant, parfois rudement, l'opposition, en écrasant les tentatives de séparatisme kurde ou la réaction religieuse, Mustafa Kemal s'est attaché à créer un État nouveau, cimenté par l'union nationale, et auquel il a insufflé un esprit moderne en s'inspirant des principes du sociologue Ziya Gökalp : « turquiser, moderniser, occidentaliser », principes qui sont devenus ceux du kémalisme.
La Constitution de la République turque, votée le 30 avril 1924, institua un régime parlementaire à chambre unique, élue pour quatre ans au suffrage direct (les femmes ont obtenu le droit de vote en 1934), détentrice des pouvoirs législatif et exécutif ; en fait, le pouvoir exécutif est aux mains du président de la République, élu tous les quatre ans par l'Assemblée et des ministres. Cette Assemblée, dans la pratique, est l'émanation du seul PRP (il y eut une brève expérience d'un Parti libéral en 1930), qui sert de cadre politique et social ; la doctrine du PRP, symbolisée par six flèches, s'exprime par les mots : républicain, démocrate, populiste, révolutionnaire, étatiste et laïque. Assemblée et parti sont aux ordres de Mustafa Kemal, entérinent et appliquent ses décisions ; les candidats aux élections sont tous membres du PRP et ont été désignés par les instances supérieures du parti : on est donc en fait en présence d'un système électoral à deux degrés. La culture nouvelle et la propagande politique sont en outre diffusées, après 1932, dans les « maisons du peuple », trop peu nombreuses dans les zones rurales. Cette monopolisation du pouvoir provoque des mécontentements, des oppositions qui sont durement matées et qui, après 1930, cessent d'apparaître au grand jour, notamment dans le domaine religieux.
Mustafa Kemal, qui rendait en partie responsable du déclin turc un islam dénaturé et rétrograde, fit adopter un certain nombre de lois et de mesures résolument antireligieuses : suppression des établissements d'enseignement religieux, des tribunaux musulmans, du mariage religieux en tant que mariage légal, interdiction des ordres, des confréries, du port du fez et de tout costume religieux, adoption de codes juridiques inspirés de codes occidentaux, du calendrier grégorien, de l'alphabet latin à la place de l'alphabet arabe, épuration de la langue de nombreux mots arabes et persans, et enfin obligation pour chacun de porter un nom de famille (c'est à cette occasion que la Grande Assemblée nationale lui attribua le nom d'Atatürk, ou « père des Turcs »).
De très importantes mesures furent prises pour transformer l'économie, jusqu'alors soumise aux directives de l'étranger. Les sociétés non turques furent peu à peu rachetées, l'exploitation des ressources minières et des matières premières, l'industrie, placées sous le contrôle de l'État par l'intermédiaire de banques nationales ; les chemins de fer furent nationalisés, les autres moyens de communication développés, l'agriculture encouragée, un embryon de réforme agraire fut mis en place, avec distribution de terres aux paysans et création d'une banque agricole destinée à favoriser la modernisation des campagnes et de l'agriculture ; mais, en ce domaine, les résultats ont été limités, par suite de la faiblesse des moyens financiers disponibles (l'accent étant mis sur l'industrialisation) et à cause de la résistance des grands propriétaires fonciers. L'indépendance en matière financière et monétaire fut assurée par la suppression des privilèges de la Banque ottomane et la création d'une banque d'État (Merkez Bankasi), qui fut aussi l'institut d'émission.
La politique extérieure de la Turquie, pendant la présidence d'Atatürk, a visé à établir de bons rapports avec les voisins immédiats (Grèce, Bulgarie, U.R.S.S., Iran) ainsi qu'avec la France (différends à propos du rachat des sociétés françaises, puis à propos du rattachement du sandjak d'Alexandrette, ou Hatay) et la Grande-Bretagne (question de Mossoul). Admise à la société des Nations en 1932, la Turquie a adhéré à l'entente balkanique (1934) et au pacte de Saadabad (1937). La Convention de Montreux, signée en 1936, lui a rendu le plein contrôle des Détroits. Peu avant sa mort, Atatürk négociait un rapprochement plus étroit avec la Grande-Bretagne et la France.
Du kémalisme au multipartisme
Les réformes entreprises par Atatürk jusqu'à sa mort en 1938 entraînèrent des transformations politiques, économiques et culturelles profondes. Sous la férule du Parti républicain du peuple (PRP), le régime républicain renforça sa légitimité fondée sur le suffrage universel et le principe de la souveraineté nationale, ce qui n'allait pas de soi dans un pays de tradition islamique où, de tout temps, l'autorité légitime ne pouvait appartenir qu'à Dieu, le prince l'exerçant en son nom. Les réformes culturelles, touchant à tous les aspects de la vie publique et privée, visaient à créer une nouvelle citoyenneté et une nouvelle identité nationale. Celles-ci constituèrent les bases de la société civile autonome qui allait se développer dans les années soixante-dix et quatre-vingt. Enfin, l'accumulation économique et l'industrialisation, engagées sous la direction de l'État dans les années trente, devaient constituer le socle sur lequel s'appuieraient plus tard une classe d'entrepreneurs et un secteur privé de plus en plus dynamiques.
Quelle qu'ait été l'ampleur des transformations, un long chemin restait cependant à parcourir avant que la Turquie ne devienne un pays développé. Grâce à la solidité des institutions républicaines, les phases de transition successives se déroulèrent dans le calme : Ismet Inönü prit la succession d'Atatürk à la présidence de la République en 1938 et, surtout, le passage au multipartisme à partir de 1946 intervint dans des conditions assez favorables.
Ismet Inönü a su maintenir la neutralité de la Turquie pendant la Seconde Guerre mondiale, se tenant plutôt du côté des Alliés, non sans quelques concessions à l'Axe. Bien que son refus d'entrer en guerre irritât Churchill et Roosevelt, les vainqueurs acceptèrent la Turquie dans leur camp en 1945, ce qui permit à cette dernière de participer à la fondation des Nations unies.
Dans le cadre du régime de parti unique, Ismet Inönü gouverna le pays avec le même autoritarisme que son prédécesseur. L'économie de guerre accentua le caractère policier du régime et provoqua des pénuries, dont souffrirent les populations et qui profitèrent aux affairistes. Tandis que, pour certains, des fortunes se créaient rapidement, d'autres, et notamment les minorités, étaient victimes d'une pression fiscale abusive. La bourgeoisie d'affaires turque, en gestation depuis les débuts de la République (et même dès le régime des Jeunes-Turcs de la décennie 1908-1918), renforça ses positions sociale et politique. Se sentant assez forte pour secouer la tutelle de la bureaucratie étatique et se servant du mécontentement populaire, elle encouragea la création de partis politiques d'opposition. À la pression interne sur le pouvoir s'ajouta celle des États-Unis, qui posèrent comme condition à l'entrée de la Turquie dans le camp occidental la démocratisation de son régime. Dès 1945 apparurent plusieurs formations d'opposition de tendances diverses (celles de gauche étant toutefois rapidement réprimées), dont la plus importante était le Parti démocrate (PD). Se déclarant contre la bureaucratie de l'État et pour une économie ouverte et libérale, soutenu par la bourgeoisie urbaine, les notables provinciaux et les populations rurales, le Parti démocrate constitua une menace pour le PRP au pouvoir, dès 1946, lors des premières élections législatives pluralistes organisées en Turquie mais entachées de pressions sur les électeurs et de fraude. Se montrant proche des préoccupations du peuple, promettant la liberté politique, économique et religieuse – ce qui lui valut une immense popularité auprès des paysans très attachés à l'islam –, le PD triompha quatre ans plus tard, aux élections de 1950. Ismet Inönü, chef absolu d'un régime autoritaire pendant douze ans, rendit, à cette occasion, un service historique à son pays : après avoir organisé des élections libres, il s'inclina devant le verdict des urnes, inaugurant ainsi un système politique pluraliste, que la Turquie essaye de préserver depuis quatre décennies.
De l'État kémaliste à la démocratie bourgeoise
Le Parti démocrate restera au pouvoir pendant exactement dix ans. Dirigé par le tandem formé du président de la République Celâl Bayar (ancien Premier ministre d'Atatürk) et du Premier ministre Adnan Menderes (grand propriétaire terrien de la région d'Izmir), le pouvoir démocrate constitue un tournant dans l'histoire politique turque. C'est pendant les années cinquante que la Turquie amorce la dernière phase de son passage vers la modernité, celle où la société civile, s'appuyant sur un secteur économique privé en expansion, s'émancipe de la tutelle de la bureaucratie étatique, où les structures intermédiaires entre l'individu et l'État commencent à s'affirmer et où la démocratisation du système politique progresse.
Pourtant, le règne démocrate, inauguré dans l'allégresse de tout un peuple qui croit que l'heure de la liberté est arrivée, se termine mal. Dans la première moitié des années 1950, le pouvoir bénéficie du boom économique mondial. L'aide économique et militaire américaine arrive en abondance, les investissements dans les infrastructures et l'agriculture induisent une prospérité certaine dans les zones rurales. Aux élections de 1954, le PD triomphe une fois de plus.
À l'extérieur, le PD intensifie la politique de rapprochement avec l'Occident, commencée par Ismet Inönü. En 1946, face aux revendications territoriales avancées par Staline, la Turquie se rapproche de l'Occident et accepte la protection des États-Unis, en adhérant à la doctrine Truman en 1947 et en accordant des bases militaires en Anatolie aux forces américaines. Le PD fait adhérer la Turquie au pacte de l' Atlantique nord et à l' OTAN en 1951, participe à la guerre de Corée et devient la pièce maîtresse du dispositif politico-militaire américain dans les Balkans et le Proche-Orient. Complètement alignée sur les États-Unis, la Turquie reste étrangère aux luttes de libération qui agitent l'Asie et l'Afrique dans les années 1950. À la conférence de Bandung de 1955, où naît le Mouvement des non-alignés, elle se fait le porte-parole des États-Unis et vote aux Nations unies avec les puissances colonisatrices. Elle payera très cher cette politique dans les années 1960 et 1970, et il lui faudra beaucoup d'efforts pour améliorer ses relations avec le Tiers Monde.
À partir de 1955, la situation se dégrade pour le pouvoir démocrate. Les difficultés économiques s'accumulent, la pénurie s'installe et le pouvoir devient de plus en plus autoritaire, restreignant les libertés et allant jusqu'à violer la Constitution pour intimider l'opposition et la presse. Le PD gagne difficilement les élections de 1957, au milieu des rumeurs de fraude électorale. De plus en plus autoritaire et s'aliénant les uns après les autres tous les groupes sociaux du pays à l'exception d'une partie de la paysannerie, il sera balayé par le coup d'État militaire de 1960. Les militaires pendront Adnan Menderes et deux de ses ministres, tandis que Celâl Bayar, lui aussi condamné à mort, sera gracié eu égard à son grand âge. Il mourra en 1986, à cent quatre ans, bien après son grand rival Ismet Inönü, décédé en 1973. Quant à Adnan Menderes, détesté par les intellectuels et les militaires, mais toujours très populaire auprès des populations rurales, il fait l'objet d'une réhabilitation : le nouvel aéroport d'Izmir, inauguré en 1987 par les hautes autorités du pays, porte son nom.
Sans excuser ses erreurs, ses manquements à la démocratie et sa mauvaise gestion, force est de constater que le PD a réussi à dynamiser l'économie turque et à relancer son développement en amenant une prospérité relative, mais jusqu'alors inconnue, dans les campagnes où vivaient l'immense majorité des Turcs.
Accédez à l'intégralité de nos articles
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Michel BOZDÉMIR : professeur émérite de langue et civilisation turques
- Ali KAZANCIGIL
: politologue, essayiste, directeur de la revue
Anatoli : de l'Adriatique à la Caspienne - Robert MANTRAN : membre de l'Institut, professeur émérite à l'université de Provence-Aix-Marseille-I
- Élise MASSICARD : directrice de recherche CNRS/CERI Sciences Po
- Jean-François PÉROUSE : enseignant-chercheur, université de Toulouse Jean Jaurès
- Encyclopædia Universalis : services rédactionnels de l'Encyclopædia Universalis
Classification
Médias
Autres références
-
TURQUIE, chronologie contemporaine
- Écrit par Universalis
-
ADANA
- Écrit par Xavier de PLANHOL
- 235 mots
- 1 média
Ville principale de la plaine de Cilicie (Turquie), Adana, chef-lieu du département homonyme, commande le passage du Seyhan, grand fleuve descendant du Taurus, au contact de la basse plaine alluviale et des collines de piémont. Cette situation fut mise en valeur par une agglomération urbaine dès l'époque...
-
ANATOLIE
- Écrit par Xavier de PLANHOL
- 360 mots
Signifiant en grec « l'Est, l'Orient », le mot Anatolie est utilisé depuis le xe siècle, comme synonyme d'Asie Mineure, après avoir désigné une province byzantine. Actuellement, pour les Turcs, Anadolu s'applique à toute la partie asiatique du pays, après avoir été rapporté...
-
ANKARA
- Écrit par Jean-François PÉROUSE
- 820 mots
- 2 médias
L'agglomération d'Ankara comptait à la fin de 2007 plus de 3,5 millions d'habitants, soit cent fois plus qu'au début des années 1920, quand elle est devenue la capitale politique (par une décision du 13 octobre 1923) de la Turquie. La situation géographique d'Ankara, moins excentrée qu'...
-
ARMÉNIE
- Écrit par Jean-Pierre ALEM , Françoise ARDILLIER-CARRAS , Christophe CHICLET , Sirarpie DER NERSESSIAN , Encyclopædia Universalis , Kegham FENERDJIAN , Marguerite LEUWERS-HALADJIAN et Kegham TOROSSIAN
- 23 772 mots
- 13 médias
Le 7 avril 1915, la ville de Van s'insurge et instaure un gouvernement provisoire arménien. La réaction est aussi immédiate que disproportionnée. Prétextant le rôle de « cinquième colonne » joué par les Arméniens, les dirigeants jeunes-turcs, Enver, Talaat et Djemal, décident de déporter l'ensemble... - Afficher les 80 références
Voir aussi
- ISLAM, histoire
- HYDROÉLECTRICITÉ
- MIGRANTS
- YILMAZ MESUT (1947-2020)
- SÉCURITÉ
- ISRAÉLO-ARABE CONFLIT
- ATLANTIQUE ALLIANCE
- PERSANE LITTÉRATURE
- TURQUE LITTÉRATURE
- ÇILLER TANSU (1946- )
- ISLAMISME
- PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan)
- PSN (Parti du salut national), Turquie
- TRAVAIL SAISONNIER
- PERSAN, langue
- JUDICIAIRE POUVOIR
- MIGRATIONS HISTOIRE DES
- NEUTRALITÉ
- DIPLOMATIE
- CLIMAT CONTINENTAL
- SEZER AHMET NECDET (1941- )
- COMMUNICATION VOIES DE
- CHYPRIOTE QUESTION
- MOBILITÉ GÉOGRAPHIQUE
- AKP (Parti de la justice et du développement), Turquie
- FEMME
- KEMAL YAHYA (1884-1958)
- ÇELEBI EVLIYA (1611-1685)
- NEDIM AHMET (1681-1730)
- CHEIK GALIB (1757-1799)
- SINASI IBRAHIM (1826-1871)
- TARHAN ABDÜLHAK HAMIT (1851-1937)
- SERVET-I FÜNUN, revue turque
- ORALE LITTÉRATURE
- DEDE KORKUT, épopée turque
- PĪR SULTAN ABDAL (XVIe s.)
- ASIK, poètes chanteurs turcs
- DADALOĞLU (XIXe s.)
- NAILĪ (mort en 1666)
- POLITIQUE AGRICOLE
- ARARAT MONT
- SISMIQUES ZONES
- TURC, langue
- PARTI DÉMOCRATE, Turquie
- CHP (Parti républicain du peuple), Turquie
- ASIE ANTÉRIEURE
- GÜRSEL CEMAL (1895-1966)
- TAURUS
- OPPOSITION POLITIQUE
- POPULAIRE CHANT
- TURQUES POPULATIONS
- GÜL ABDULLAH (1950- )
- TERTIAIRE SECTEUR
- POLITIQUE ÉCONOMIQUE
- SOCIAL-DÉMOCRATIE
- ABASIYANIK SAIT FAIK (1907-1954)
- ATILGAN YUSUF (1921-1989)
- ATAY OGUZ (1934-1977)
- ÖZLÜ DEMIR (1935- )
- ILERI SELIM (1949-2025)
- YÜCEL TASHIN (1933- )
- TOPTAS HASAN ALI (1958- )
- GRÈCE, histoire, de 1830 à nos jours
- IRAN RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE D'
- EXÉCUTIF POUVOIR
- AIDE ÉCONOMIQUE
- RÉPRESSION
- URBANISATION
- TEXTILES INDUSTRIES
- ROMAN SOCIAL
- SYRIE, histoire, de 1941 à nos jours
- ÖCALAN ABDULLAH (1949- )
- KURDISTAN
- EXODE RURAL
- ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE, histoire, de 1945 à nos jours
- DERVICHES
- AUTOMOBILE INDUSTRIE
- ANTALYA, Turquie
- FRONT NATIONAL, Turquie
- RELIEF VOLCANIQUE
- SECTEUR INDUSTRIEL
- SECTEUR AGRICOLE
- HAUT-KARABAGH ou HAUT-KARABAKH
- CROISSANCE DÉMOGRAPHIQUE
- SURENDETTEMENT
- PMP (Parti de la mère patrie) ou ANAP, Turquie
- MORSI MOHAMMED (1951-2019)
- HDP (Parti démocratique des peuples), Turquie
- RP (Parti de la prospérité) ou REFAH PARTISI, Turquie
- GÜLEN FETHULLAH (1941-2024)
- MHP (Parti du mouvement nationaliste), Turquie
- DAVUTOGLU AHMET (1959- )