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BAUDELAIRE CHARLES (1821-1867)

Bibliographie

Éditions

Œuvres complètes, C. Pichois éd., 2 vol., Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1975-1976

Correspondance, 2 vol., ibid., 1973, nouv. éd., 1999.

L'édition originale des Fleurs du mal, chez Poulet-Malassis et De Broise, Paris, a été reproduite avec une Préface d'Yves Charnet, La Table Ronde, Paris, 1996.

Édition commentée des Fleurs du mal, la « lecture intégrale » de M. Richter, 2 vol., Slatkine, Genève, 2001

Édition diplomatique des Fleurs du mal, par C. Pichois et J.-P. Avice, Champion, Paris, 2005.

Collections de poche

Les Fleurs du mal, J. E. Jackson éd., Classiques en poche, L.G.F., 1999

Le Spleen de Paris, R. Kopp éd., Folio, Gallimard, 2006

Fusées, Mon Cœur mis à nu, La Belgique déshabillée, A. Guyaux éd., ibid., 1996

Des extraits de la Correspondance, C. Pichois et J. Thélot éd., Folio classique, Gallimard, 2000.

Biographies

E. & J. Crepet, Baudelaire, Messein, Paris, 1906

C. Pichois & J. Ziegler, Baudelaire, Julliard, Paris, 1987

C. Pichois & J. P. Avice, Dictionnaire Baudelaire, éd. du Lérot, Tusson, 2002.

Essais

W. Benjamin, Charles Baudelaire. Ein Lyriker im Zeitalter des Hochkapitalismus, Suhrkamp, Francfort, 1955, trad., Payot, Paris, 1979

G. Blin, Baudelaire, Gallimard, 1930 ; Le Sadisme de Baudelaire, José Corti, 1948

Y. Bonnefoy, « Baudelaire contre Rubens », in Le Nuage rouge, Mercure de France, Paris, 1977 ; « Les Fleurs du mal », in L'Improbable suivi d'Un rêve fait à Mantoue, ibid., 1980

B. Fondane, Baudelaire et l'expérience du gouffre (texte de 1942), Seghers, Paris, 1947, rééd. Complexe, Bruxelles, 1994

J. E. Jackson, La Mort Baudelaire, essais sur « Les Fleurs du Mal », La Baconnière, Neuchâtel, 1982 ; Baudelaire, L.G.F., 2001 ; Baudelaire sans fin, José Corti, 2005

R. Kopp, Baudelaire, le soleil noir de la modernité, Gallimard, 2004

M. Milner, Baudelaire, enfer ou ciel, qu'importe !, Plon, Paris, 1967

J. Prevost, Baudelaire, essai sur l'inspiration et la création poétiques, Mercure de France, 1953

J.-P. Sartre, Baudelaire, Gallimard, 1947.

Études critiques

L. J. Austin, L'Univers poétique de Baudelaire, Mercure de France, 1956

P. Brunel, « Les Fleurs du mal », entre fleurir et défleurir, éditions du Temps, Paris, 1998 ; Baudelaire et le « puits des magies », José Corti, 2003 ; Baudelaire antique et moderne, Presses de l'Université de Paris Sorbonne, 2007

P. Labarthe, Baudelaire et la tradition de l'allégorie, Droz, Genève, 1999

P. Mathias, La Beauté dans « Les Fleurs du mal », Presses Universitaires de Grenoble, 1977

J. Pommier, La Mystique de Baudelaire, Les Belles Lettres, Paris, 1932 ; Dans les chemins de Baudelaire, José Corti, 1945

M. A. Ruff, L'Esprit du Mal et l'esthétique baudelairienne, Armand Colin, Paris, 1955

J. Starobinski, La Mélancolie en miroir. Trois lectures de Baudelaire, Julliard, 1989

J. Thelot, Baudelaire. Violence et poésie, Gallimard, 1993.

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Écrit par

  • : professeur émérite de littérature comparée à l'université de Paris-Sorbonne, membre de l'Académie des sciences morales et politiques

Classification

Pour citer cet article

Pierre BRUNEL. BAUDELAIRE CHARLES (1821-1867) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Médias

Edgar Allan Poe - crédits : C.T. Talman/ Library of Congress, Washington, D.C.

Edgar Allan Poe

Charles Baudelaire , Nadar - crédits : Nadar/ Hulton Archive/ Getty Images

Charles Baudelaire , Nadar

Autres références

  • LES FLEURS DU MAL (C. Baudelaire) - Fiche de lecture

    • Écrit par Jean-Didier WAGNEUR
    • 960 mots
    • 1 média

    Le 25 juin 1857, lorsque Les Fleurs du mal sont publiées chez Poulet-Malassis, Charles Baudelaire (1821-1867) n'est alors connu que comme critique d'art (Salons de 1845 et 1846) et traducteur d'Edgar Poe (Histoires extraordinaires, 1856). Ses poèmes n'ont fait l'objet que de rares publications...

  • DICTIONNAIRE BAUDELAIRE (C. Pichois et J.-P. Avice)

    • Écrit par Jean-Didier WAGNEUR
    • 1 028 mots

    Le nom de Claude Pichois est inséparable de ceux de Baudelaire, Nerval et Colette, auxquels il a consacré des éditions et des biographies qui font date. Avec ce Dictionnaire Baudelaire (Du Lérot, 2003), cosigné par Jean-Paul Avice, conservateur à la bibliothèque historique de la Ville de Paris, avec...

  • LE SPLEEN DE PARIS, Charles Baudelaire - Fiche de lecture

    • Écrit par Jean-Didier WAGNEUR
    • 1 043 mots
    • 1 média

    « Quel est celui de nous qui n'a pas, dans ses jours d'ambition, rêvé le miracle d'une prose poétique, musicale sans rythme et sans rime, assez souple et assez heurtée pour s'adapter aux mouvements lyriques de l'âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience ? » Cette phrase,...

  • MON CŒUR MIS À NU, Charles Baudelaire - Fiche de lecture

    • Écrit par Guy BELZANE
    • 1 170 mots
    • 1 média

    C'est en 1887, dans les Œuvres posthumes, que furent publiés pour la première fois, sous l'appellation de Journaux intimes, les trois ensembles de notes rédigées par Baudelaire entre 1855 et 1865 pour Fusées et Hygiène que Jacques Crépet rattache au premier recueil, et 1859-1866 pour...

  • SALONS, Charles Baudelaire - Fiche de lecture

    • Écrit par Barthélémy JOBERT
    • 1 079 mots
    • 1 média

    Les trois Salonspubliés par Charles Baudelaire (1821-1867) en 1845, 1846 et 1859, (on peut leur ajouter le Salon caricatural auquel il collabora en 1846, en donnant le Prologue et en participant aux légendes des gravures satiriques des œuvres exposées) ne forment qu'une partie de son œuvre critique....

  • ABSTRAIT ART

    • Écrit par Denys RIOUT
    • 6 716 mots
    • 2 médias
    ...vous vous trouvez placé à une distance trop grande de la peinture pour savoir ce qu'elle représente, dit-il, « vous êtes pris par cet accord magique ». Baudelaire prolonge la pensée du peintre : « Une figure bien dessinée vous pénètre d'un plaisir tout à fait étranger au sujet. Voluptueuse ou terrible,...
  • ALLÉGORIE, notion d'

    • Écrit par François TRÉMOLIÈRES
    • 1 454 mots
    En France, le terme n'a pas connu le même discrédit qu'en Allemagne. Charles Baudelaire écrit, dans ses Paradis artificiels (1860) : « L'allégorie, ce genre si spirituel, que les peintres maladroits nous ont accoutumé à mépriser, mais qui est vraiment l'une des formes primitives et les plus...
  • AMOUR

    • Écrit par Georges BRUNEL, Baldine SAINT GIRONS
    • 10 182 mots
    • 5 médias
    Nul n'a peut-être mieux exploré que Baudelaire le double abîme où sombrait l'amour : d'un côté, le coït simple et heureux ; de l'autre, l'amour pudibond, tendre et sensible. Désavouant sa propre sensualité, le poète couvre de sarcasmes la brute, qui « seule bande bien », parce qu'elle trouve dans la...
  • ANCIENS ET MODERNES

    • Écrit par Milovan STANIC, François TRÉMOLIÈRES
    • 5 024 mots
    • 4 médias
    Dans plusieurs de ses essais critiques,Baudelaire, se référant explicitement à la persistance de la Querelle, a tenté de donner une nouvelle définition de la modernité qui ne trahirait pas la beauté des œuvres antiques. Il cherche une voie commune à sa conviction « que l'absence du juste et du vrai...
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Voir aussi