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GRÂCE

Bibliographie

D. Bonhœffer, Le Prix de la grâce (Nachfolge, 1937), trad. R. Revet, Paris-Genève, 1963 ; Résistance et soumission (Widerstand und Ergebung, 1951), trad. L. Jeanneret, Paris-Genève, 1963

J. Cardonnel, Dieu est mort en Jésus-Christ, Bordeaux, 1967

G. Casalis, Protestantisme, Paris, 1976 ; Libération et religion, Foi et Vie, Paris, 1981

M. Luther, De la liberté du chrétien (Von der Freiheit eines Christenmenschen, 1520), trad. M. Gravier, Paris, 1969

H. I. Marrou, Saint Augustin et l'augustinisme, Paris, 1955

R. de Pury, Qu'est-ce que le protestantisme ?, Paris, 1961.

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Écrit par

  • : docteur d'État en théologie, administrateur du musée Calvin de Noyon

Classification

Pour citer cet article

Georges CASALIS. GRÂCE [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Autres références

  • ANGELUS SILESIUS JOHANNES SCHEFFLER dit (1624-1677)

    • Écrit par Eugène SUSINI
    • 2 059 mots
    ...on l'abaisse, je l'exalte. Il veut dire simplement, cela va de soi, que Dieu est Dieu par nature et que l'homme n'a part à la divinité de Dieu que par grâce. L'importance de la liberté éclate. Il n'y a chez Silesius aucune trace de prédestination, pas l'ombre d'un quelconque pessimisme....
  • AUGUSTIN saint (354-430)

    • Écrit par Michel MESLIN
    • 8 969 mots
    • 2 médias
    Ainsi, partant de l'expérience personnelle de sa propre conversion, Augustin développa une théologie de la grâce qui est essentiellement fondée sur l'idée que la grâce est une délectation céleste. Elle constitue l'appel à un tel bonheur qu'elle entraîne l'adhésion de la ...
  • AUGUSTINISME

    • Écrit par Michel MESLIN, Jeannine QUILLET
    • 5 572 mots
    ...parvenir à la sainteté. Jean Cassien fut leur porte-parole : formé à l'école du monachisme oriental, il affirmait que Dieu et l'homme, la grâce et le libre arbitre coopéraient pour sauver l'homme pécheur. À ses yeux, le problème important était de savoir quand, et sous quelle impulsion,...
  • BAÏUS MICHEL DE BAY dit (1513-1589)

    • Écrit par Raoul VANEIGEM
    • 703 mots

    Né à Meslin, dans le Hainaut, Michel de Bay, dit Baïus, doit sa célébrité à la polémique qu'il engagea sur la question de la grâce et de la prédestination. La controverse allait, après sa mort, connaître un éclatant rebondissement avec la querelle du jansénisme.

    Étudiant à l'université...

  • Afficher les 22 références

Voir aussi