Biophysique
5209ARTICULATIONS
Les diarthroses représentent le type le plus complexe d'articulations, ce qui cadre bien avec leurs capacités fonctionnelles très élaborées. Elles possèdent en commun toute une série de structures comparables (extrémités osseuses, cartilages, membrane synoviale, ligaments, etc.), agencées, comme il a été dit plus haut, de façon fort diverse d'une articulation à l'autre, en fonction de leur mécaniq […] Lire la suite
AUDITION - Acoustique physiologique
Le fonctionnement de la cochlée a été conçu par von Bekesy comme comportant un phénomène mécanique entraînant un phénomène bioélectrique à l'origine du message sensoriel. Progressivement, les insuffisances de cette conception sont devenues de plus en plus évidentes et ont conduit à la conception d'un mécanisme amplificateur actif (électromécanique), couplé à la tranduction mécanoélectrique.L'hypot […] Lire la suite
BIOPHYSIQUE
La biophysique a pour but l'étude des structures dont l'ensemble hiérarchisé constitue la matière vivante ainsi que les phénomènes et mécanismes physiques par lesquels ces structures manifestent leur fonctionnalité. Sous ce nom de biophysique – qu'elles ont pris après la Seconde Guerre mondiale –, les recherches physiques en biologie contribuent, en étroite association avec la […] Lire la suite
CANAUX IONIQUES
L'activité de la Na/K ATPase, la pompe à sodium présente dans chacune de nos cellules, a pour effet de créer de part et d'autre de la membrane un déséquilibre de concentration en ions Na+ et K+. S'il existe des pores permettant le passage de ces ions à travers la membrane, ceux-ci auront donc tendance à diffuser jusqu'à ce que leurs concentrations soie […] Lire la suite
CIRCULATOIRES (SYSTÈMES) - Appareil circulatoire humain
Du point de vue physiologique, on divise l'appareil circulatoire en deux grands systèmes.Le système à haute pression qui comprend le ventricule gauche en systole et le système artériel. La pression y est d'origine dynamique, sa capacité est relativement faible, d'environ 700 ml, et il est peu extensible. Son rôle de distribution est rendu sélectif par la vasomotricité. Sa forte résistance hémodyna […] Lire la suite
CIRCULATOIRES (SYSTÈMES) - Les systèmes circulatoires des animaux
La compréhension de la circulation dans les vaisseaux s'appuie sur les principes généraux de l'hydrodynamique des fluides en mouvement dans les structures tubulaires. Si ces principes sont utiles, leur application est cependant limitée en raison des propriétés mécaniques particulières des parois vasculaires et des propriétés rhéologiques des liquides circulants.L'énergie dissipée par l'écoulement […] Lire la suite
ÉLECTROPHYSIOLOGIE
Le métabolisme, c'est-à-dire l'activité chimique incessante qui caractérise l'état vivant dans chaque tissu, dans chaque cellule, engendre des forces électromotrices (f.é.m.) parce qu'il existe dans chaque cellule des mécanismes physico-chimiques capables de séparer des ions de signes contraires et d'orienter des molécules polaires. L […] Lire la suite
NERVEUX (SYSTÈME) - L'influx nerveux
La propriété essentielle du neurone est d'être excitable. Les notions générales d'excitabilité et d'excitation ont déjà été exposées (cf. excitabilité), ainsi que les processus électrogénétiques qui sont les réponses spécifiques aux stimulations (cf. électrophysiologie, chap. 1 et 4). On rappellera seulement ici que le neurophysiologiste peut artific […] Lire la suite
ŒIL HUMAIN
L'étude des propriétés optiques de l'œil est compliquée et nécessite l'emploi des méthodes statistiques. On étudie un œil théorique, moyenne des sujets normaux, faite sur le vivant (à cause des déformations cadavériques).Les milieux franchis par la lumière, avant d'atteindre la rétine, sont, dans l'ordre, la cornée, l'humeur aqueuse, le cristallin et le vitré. Ainsi sont traver […] Lire la suite
OSMORÉGULATION
Chez les êtres unicellulaires, les échanges avec le milieu externe s'effectuent directement à travers la membrane cellulaire. Chez les organismes pluricellulaires évolués, Claude Bernard avait montré qu'un « milieu intérieur » constitué par les fluides internes (sang, lymphe, liquides interstitiels) et interposé entre les cellules et le milieu ambiant […] Lire la suite
OSMOSE & PRESSION OSMOTIQUE, biologie
Mouvement de solvant qui se produit entre deux solutions d'inégales concentrations au travers d'une membrane hémiperméable qui ne laisse passer que le solvant et non les solutés.L'osmose fut découverte par Dutrochet (1826) qui imagina un appareil (osmomètre) constitué d'un réservoir de verre, sorte de cylindre vertical dont la base est obturée par une membrane hémiperméable (vessie de porc) et don […] Lire la suite
OTOÉMISSIONS ACOUSTIQUES
Les otoémissions acoustiques sont des sons de faible intensité engendrés par l'oreille interne, puis transmis par la chaîne des osselets (étrier, enclume, marteau) au tympan et émis dans le conduit auditif externe, où ils peuvent être enregistrés par un microphone miniaturisé. Découvertes en 1978 par le Britannique D. T. Kemp, les otoémissions ont permis de mieux comprendre le fonctionnement du sy […] Lire la suite
PROPAGATION DE L'INFLUX NERVEUX : UN PHÉNOMÈNE IONIQUE
Alan Hodgkin et Andrew Huxley partagèrent avec John Eccles le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1963, pour l'élucidation des mécanismes électriques responsables de la propagation des signaux nerveux. Leur travail commun, utilisant l'axone géant de calmar comme système modèle, débuta en 1939. L'ampleur des changements de potentiel survenant lors de la stimulation de ces axones les amena à co […] Lire la suite
SANG - Écoulement
Trop souvent, des résultats bien établis en mécanique des fluides classique ont été appliqués à l'hémodynamique, sans même s'assurer de la validité des hypothèses de départ. Il faut, en effet, tenir compte de trois données particulières à l'écoulement du sang : d'abord la nature du fluide, qui est une suspension concentrée de cellules possédant […] Lire la suite
SONS - Audiométrie
Il est facile de constater que la sensation sonore dépend des caractéristiques physiques des sons et des bruits. Un son trop faible n'est pas perçu. Un son trop fort provoque une gêne, voire une douleur. Il existe donc des limites d'intensité du stimulus physique hors desquelles l'écoute est impossible. Il en est de même quant à la hauteur ou fréquence des s […] Lire la suite
SYNAPSES
L'excitabilité du neurone par un courant électrique dépolarisant, son aptitude à engendrer et à propager des signaux électriques, ou « potentiels d'action » (P.A.), sont les deux propriétés qui ont donné à l'électrophysiologie une place prépondérante en neurophysiologie, notamment pour approfondir le mécanisme de la transmission synaptique de l'excitat […] Lire la suite
VIE ANIMALE DANS L'AIR ET DANS L'EAU
La viscosité et la densité de l'air sont respectivement 60 et 800 fois moins élevées que celles de l'eau. Les conséquences sur les fonctions animales (travail respiratoire, circulation du sang) et sur les structures telles que le squelette sont évidemment très importantes.Respirer dans l'eau ou dans l'air représente un travail, donc une dépense d'énergie. Celle-ci est, par rapport à la dépense é […] Lire la suite
VISION - Optique oculaire et optométrie
L'œil est à peu près à symétrie de révolution, la direction du regard étant voisine de son axe ; une petite région de la rétine voisine de cet axe, la fovea centralis, est particulièrement apte à la perception des détails.Les deux points principaux de l'œil sont presque confondus en un même point situé à 2 millimètres en arrière de la […] Lire la suite
VISION - Photoréception rétinienne
En biologie, le terme de photorécepteur est parfois utilisé pour désigner tout dispositif susceptible de capter l'énergie lumineuse ; en ce sens, les chloroplastes des végétaux ou les chromatophores des bactéries sont des photorécepteurs. Dans une acception plus restreinte, on désigne comme photoréceptrices les structures dont la fonction est de détecter l […] Lire la suite
VOL ANIMAL
Qu'il soit animal, végétal ou produit par l'homme, tout « système volant » doit nécessairement répondre à un certain nombre de conditions, qui ne sont elles-mêmes que la conséquence, et l'expression, des lois physiques. La fonction du vol implique donc, pour sa réalisation, l'acquisition de structures très particulières, dont l'apparente variété répond, en fait, aux différentes solutions possibles […] Lire la suite
En a, coupe de la cochlée suivant l'axe (modiolus). En b, coupe transversale du tube cochléaire.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
En a, sur la cochlée déroulée, effet d'une vibration de fréquence élevée, représentée au moment où la plaque de l'étrier s'enfonce dans la fenêtre ovale. En b, figuration très amplifiée, pour une fréquence de stimulation de 200 Hz, de 4 positions successives (1, 2, 3, 4)...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Vibrations de la membrane basilaire et réponse nerveuse
En vert, réponse mécanique de la membrane basilaire : niveau de pression acoustique (en dB, par référence à 2.10-5 pascal) que l'on doit exercer sur le tympan pour produire, en un point de la base de la cochlée (chez le chat), une amplitude de vibration de la...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Liquides cochléaires et électrophysiologie
Concentrations de Na+ et de K+ (en mmoles par litre) dans les divers compartiments cochléaires et potentiels permanents mesurés par rapport au plasma de la strie vasculaire.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Potentiel de récepteur d'une cellule du canal cochléaire
Potentiel de récepteur intracellulaire d'une cellule ciliée interne du tour basal de la cochlée du cobaye. A-D : en réponse à un son de 300 Hz à différents niveaux d'intensité (indiqués sur les tracés). E : en réponse à un son de 3 000 Hz. F : relation entre la pression...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Les vaisseaux sanguins sont des tubes qui transportent le sang dans tout l'organisme. On distingue généralement les veines qui transportent le sang des organes vers le cœur et les artères, du cœur vers les organes. Là, un échange a lieu entre l'oxygène qui est transféré...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Coupe frontale de l'articulation du genou droit.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Seuils d'audition et intolérable chez l'homme
Courbes du seuil d'audition et du seuil intolérable du système auditif humain.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Sensibilité différentielle d'intensité
Sensibilité différentielle d'intensité du système auditif humain.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Sensibilité différentielle de fréquence
Sensibilité différentielle de fréquence du système auditif humain.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Courbes isosoniques normalisées.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Sensation sonore et durée de l'excitation
Variation de la sensation sonore avec la durée de l'excitation.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Relation entre les niveaux sones/phones (recommandation ISO R. 131. 1959).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Localisation des maxima de déplacement de la membrane basilaire pour des sons purs dont la fréquence est portée sur le schéma (cochlée humaine). D'après Stuhlman.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Le canal de transduction laisse passer des ions lorsque l'inclinaison des cellules accolées a détendu le ressort qui les relie. Ensuite, un glissement des structures canalaires sous l'action du ressort expliquerait l'adaptation en refermant l'orifice du canal (d'après Lenzi et Roberts).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
L'électrocochléogramme (ECG) est un potentiel d'action composite obtenu chez l'homme en réponse à une stimulation (St) brève (inférieure à 2 ms) de 6 kHz. L'ECG est la somme de trois composantes : le potentiel de sommation (S), le potentiel microphonique (M) et les potentiels...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Courbe d'abord établie pour une cellule du colliculus inférieur chez le chat. Les zones vertes représentent les zones d'excitation de la cellule en réponse à une stimulation de fréquence f et les autres zones caractérisent les zones d'inhibition modérée, partielle ou totale....
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Respiration chez un animal aquatique et chez l'homme
Variation comparée des tensions d'oxygène et de dioxyde de carbone au cours de la respiration, chez un animal à vie aquatique et chez l'homme, lors de la ventilation pulmonaire (en millimètres de mercure).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Volumes d'air respirés par la truite et par la tortue
L'air contenant beaucoup plus d'oxygène à l'état gazeux que l'eau à l'état dissous, le volume d'air respiré par la tortue est bien inférieur au volume d'eau respiré par la truite. Il s'ensuit que la concentration (ou la pression partielle) de gaz carbonique est beaucoup...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Système de soutien de différents animaux selon le poids
Pourcentage pondéral du système de soutien chez différents animaux en fonction de leur poids total. Pour les Vertébrés (lamproies, poissons osseux, oiseaux et mammifères), il s'agit du squelette dans le sens ordinaire. Pour les Invertébrés (escargots et araignées), il s'agit...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Protéines responsables des gradients ioniques transmembranaires
Ce schéma réunit la Na/K ATPase, qui crée un déséquilibre de concentration en ions Na+ et K+ de part et d'autre de la membrane, un transporteur, l'échangeur Na+/H+, qui utilise le gradient de sodium pour expulser les ions H+ du cytoplasme, et un canal potassique intervenant...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Canaux et transporteurs membranaires
Circuit électrique symbolisant la membrane cellulaire. L'action intégrée des canaux et transporteurs membranaires peut être analysée à partir de ce modèle.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Courants unitaires enregistrés en patch
Noter les différences entre les temps et les fréquences d'ouverture pour les trois types de canaux enregistrés sur la figure : exemple 1, canal à Po élevée passant beaucoup de temps à l'état ouvert ; exemple 2, canal à Po plus faible, passant beaucoup de temps à l'état...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Relations courant-potentiel, et relations potentiel-conductance
En a, relation courant-potentiel linéaire, pour un canal dont la conductance reste constante. Le point où la courbe coupe l'axe des ordonnées correspond au potentiel d'équilibre de l'ion, c'est-à-dire à la valeur de potentiel membranaire où aucun mouvement ionique n'est...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Conformations ouvertes et fermées. Des canaux membranaires
Événements d'ouverture-fermeture, en haut, et basculement du canal, en bas.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
En a, représentation schématique de l'insertion d'un segment transmembranaire dans une bicouche lipidique. Noter la structure hélicale, permettant un masquage des groupements C=O et N-H, et le contact des chaînes latérales hydrophobes, R avec les lipides membranaires. En...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
En a, représentation en coupe du canal KcsA. Seuls les deux monomères (à gauche et à droite) présents dans le plan de la figure sont représentés, chaque trait noir correspondant à une liaison entre deux atomes. Les atomes formant le pore ionique sont représentés par de...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Animaux sans appareil circulatoire différencié
Exemple d'animaux dépourvus d'appareil circulatoire différencié.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Schéma de l'appareil circulatoire humain.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Situation schématique des éléments du tissu nodal sur un cœur dont on aurait enlevé la paroi antérodroite, ouvrant ainsi les cavités droites.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Les différents stades de la révolution cardiaque normale et les variations successives des pressions en présence.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Pressions et volume ventriculaires gauches
Variations des pressions et du volume ventriculaires gauches comparées aux courbes de pression aortique et auriculaire gauches.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Vitesse du courant circulatoire
Vitesse du courant circulatoire.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Variations des pressions dans le système circulatoire.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Schéma d'un réseau capillaire avec son canal préférentiel.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Échanges d'eau entre plasma et liquides interstitiels
Sens des échanges d'eau entre le plasma et les liquides interstitiels, en fonction de la pression hydrostatique dans les capillaires.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Limites de la circulation pulmonaire
Limites théoriques et réelles de la circulation pulmonaire.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Régulation nerveuse de la circulation sanguine
Régulation nerveuse de la circulation sanguine
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Coupe transversale d'une torpille au niveau des lobes électriques, centres bulbaires de la commande nerveuse des organes électriques.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Conductance intermembranaire et cellules polarisés
À droite, circuits électriques simulant les accroissements de la conductance intramembranaire (sodique puis potassique) qui sont à la base du P.A. (l'accroissement transitoire de conductance est grossièrement imité par une manœuvre d'interrupteur qui fait passer résistances...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Conductance sodique et potassique
Courbes des variations de conductance sodique et potassique (en siemens S) qui déterminent la genèse et la forme du potentiel d'action. La portion notée e est due à une dépolarisation passive (électrotonus) provoquée par l'activité du segment voisin (d'après Hodgkin et...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Pour recueillir le potentiel d'action d'un nerf ou d'un axone isolé : dispositif d'électrodes stimulatrices
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Diagramme figurant une micro-électrode de verre pénétrant dans une cellule nerveuse (1→ 2) et démasquant ainsi le potentiel de repos (PR). Un potentiel d'action (PA), engendré par une stimulation S, apparaît après une conduction, soit antidromique (3), soit orthodromique...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Fibre de calmar : variation de potentiel
La variation de potentiel ▵V est imposée à l'axone (fibre géante de calmar) dans un sens qui devrait faire sortir le courant. Cependant celui-ci, I, commence par entrer (courbe du bas). Cet effet paradoxal disparaît lorsque le milieu extracellulaire est privé d'ions...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Deux séquences d'impulsions nerveuses provenant du même neurone de l'écorce cérébrale et ceptées extérieurement à la cellule. En haut, exemple d'activité spontanée. En bas, exemple d'une modulation de cadence, imputable à l'intervention d'une excitation sensorielle passagère...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Mollusque : impulsions nerveuses
Impulsions nerveuses provenant d'un neurone ganglionnaire de Mollusque (Aplysia) et captées à l'intérieur de la cellule.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Mammifère : impulsions nerveuses
Enregistrements intracellulaires d'impulsions nerveuses dans deus régions activées d'un cerveau de Mammifère : (a) : pacemaker du type « à relaxation » (D. Albe-Fessard, 1970) et (b) : pacemaker du type « à ondes lentes » (Lux et Klee, 1963).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Trois aspects caractéristiques dissociés de l'état électrique instantané d'une fibre nerveuse (représentée par un demi-cylindre) en train de propager l'influx : flux de courant, onde de potentiel, charges membranaires. Le trait tireté dans les figures du haut et du bas...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Expérience de Huxley et Stämpfli
L'axone isolé, dont on a figuré les manchons de myéline, ne conduit plus l'influx provoqué par le stimulateur S lorsque le pont conducteur amovible P est enlevé : aucun potentiel d'action n'est détecté par l'oscillographe relié à l'amplificateur A (expérience de Huxley...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Potentiels d'action globaux recueillis sur une racine dorsale de la moelle d'un chat à 5 cm du point de stimulation. A gauche : nerf d'origine musculaire, stimulation faible, seules les fibres du groupe I ont été excitées. A droite : nerf complexe, stimulation forte, dissociation...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Caractères optiques de l'œil normal (en haut) et propagation des rayons lumineux (en bas).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Schéma de l'E.R.G. en lumière rouge orangé d'un œil adapté à l'obscurité depuis environ 12 minutes.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Amplitude du récepteur et intensité stimulatrice
Évolution de l'amplitude du potentiel de récepteur y = VIV
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Réponse unitaire avec potentiel générateur et potentiels d'action (œil de Limulus)
Réponse unitaire avec potentiel générateur et potentiels d'action (œil de Limulus). L'intensité relative de la stimulation lumineuse est indiquée pour chaque trace (d'après Fuortes, 1959).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Fréquence des potentiels d'action et intensité de la stimulation
Relation entre la fréquence (f) des potentiels d'action et le logarithme de l'intensité relative de la stimulation lumineuse (d'après : Hartline et Graham, 1932).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Potentiels de plaque motrice (P.P.M.) recueillis sur une seule fibre musculaire pendant la stimulation de son rameau nerveux : avant (a) et au cours d'une curarisation progressive (b et c) qui bloque l'action excitatrice de l'acétylcholine (d'après S. Kuffler, 1942).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Potentiels lents (P.R.D.) captés sur un filet de racine dorsale de moelle. Ils reflètent les activités synaptiques centrales produites par un, puis plusieurs (sommation) influx élémentaires naturels provenant d'une légère piqûre de la peau d'une grenouille (cliché original...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Potentiels postsynaptiques intracellulaires
Potentiels postsynaptiques intracellulaires d'un neurone moteur, précédés (flèches) par les P.A. afférents captés, très déformés, par l'électrode intracellulaire. En haut : à gauche, effet dépolarisant ; à droite, effet hyperpolarisant. En bas : à gauche, la stimulation,...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Schéma de deux types de neurones empalés par une micro-électrode (m). Ils illustrent les types courants de contacts dans les organisations polysynaptiques. A gauche, soma d'un motoneurone de la moelle revêtu de boutons synaptiques, terminaisons de liaisons directes (1)...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Cas divers d'astigmatisme oculaire.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Variations du diamètre pupillaire ω pour l'œil moyen, en fonction de la luminance L du champ observé, un seul œil ouvert (a) ; les deux yeux ouverts (b).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Luminance : seuil de contraste
Seuil de contraste C en fonction de la luminance L (coordonnées logarithmiques), lors de l'observation d'un disque d'angle apparent a (indiqué sur chaque courbe).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Limites de résolution et luminance
Limites de résolution s sur mires de Foucault en fonction de la luminance L pour trois valeurs du contraste C (coordonnées logarithmiques).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Limites de résolution et diamètre de la pupille
Limites de résolution s sur mires de Foucault, en fonction du diamètre utile de la pupille ω pour deux valeurs de la luminance et trois valeurs du contraste C (d'après A. Arnulf).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Contraste : sensibilité de l'œil
Courbe de sensibilité au contraste de l'œil pour différentes luminances (d'après Van Meeteren et Vos).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Exemple d'adaptation à la vision nocturne : seuil de luminance L (plus petite lumière visible) en fonction du temps
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Vision binoculaire (angle de convergence f et dédoublements d'images).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Exemple de dédoublement du remotum (astigmatisme mixte).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Rhodopsine : courbe d'absorption spectrale
Courbe d'absorption spectrale (densité) de la rhodopsine (d'après Wald).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Cellule photoréceptrice de Balanus
Potentiel de récepteur d'une cellule photoréceptrice de Balanus : a, stimulation lumineuse faible (50 lux) ; b, stimulation plus intense (20 000 lux).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Potentiels de récepteur du cône de Tortue obtenus en réponse à quatre stimulations lumineuses (position du flash indiquée par la flèche), dont les intensités relatives sont indiquées sur les tracés. En ordonnées, la valeur du potentiel de membrane (d'après Baylor et Fuortes).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Bâtonnet de Crapaud : réponse d'un segment externe
Réponses du segment externe d'un bâtonnet (de Crapaud) à une série de 40 flashes consécutifs (indiqués par les points) de très faible intensité et de longueur d'onde 500 nm. Intervalle entre les flashes : 8 s. La polarité a été inversée pour faciliter la lecture (d'après...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Réponse d'un bâtonnet et d'un cône à un flash lumineux
Réponse d'un bâtonnet (B) et d'un cône (C) de Macaque à un flash lumineux (donné au temps 0). La polarité a été inversée pour faciliter la lecture. Abscisses : temps en secondes ; ordonnées : courant en picoampères (redessiné d'après Nunn et Baylor
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Les trois types de cônes chez la Carpe. Réponses à des flashes d'égal flux quantique dont la longueur d'onde varie, de 20 en 20 nm, de 400 à 740 nm ; B, bleu ; V, vert ; R, rouge (d'après Tomita).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Rétine humaine : courbes de densité spectrale
Courbes de densité spectrale des quatre photorécepteurs de la rétine humaine. Carrés : cônes « bleus » ; triangles : cônes « verts » ; cercles : cônes « rouges » ; cercles pleins : bâtonnets. Avec l'échelle d'abscisses utilisée (?1/4), les quatre courbes...
Crédits : Encyclopædia Universalis France

Vibrations de la membrane basilaire et réponse nerveuse
Crédits : Encyclopædia Universalis France
graphique

Potentiel de récepteur d'une cellule du canal cochléaire
Crédits : Encyclopædia Universalis France
graphique

Respiration chez un animal aquatique et chez l'homme
Crédits : Encyclopædia Universalis France
dessin

Volumes d'air respirés par la truite et par la tortue
Crédits : Encyclopædia Universalis France
graphique

Système de soutien de différents animaux selon le poids
Crédits : Encyclopædia Universalis France
graphique

Protéines responsables des gradients ioniques transmembranaires
Crédits : Encyclopædia Universalis France
dessin

Relations courant-potentiel, et relations potentiel-conductance
Crédits : Encyclopædia Universalis France
graphique

Conformations ouvertes et fermées. Des canaux membranaires
Crédits : Encyclopædia Universalis France
dessin

Échanges d'eau entre plasma et liquides interstitiels
Crédits : Encyclopædia Universalis France
dessin

Réponse unitaire avec potentiel générateur et potentiels d'action (œil de Limulus)
Crédits : Encyclopædia Universalis France
graphique

Fréquence des potentiels d'action et intensité de la stimulation
Crédits : Encyclopædia Universalis France
graphique

Bâtonnet de Crapaud : réponse d'un segment externe
Crédits : Encyclopædia Universalis France
graphique