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TARANTINO QUENTIN (1963- )

Bibliographie

A. Barnes, Tarantino A to Zed, Batsford, Londres, 1996

A. Morsiani, Quentin Tarantino, Gremese, Rome, 2006

Y. Surcoud, Quentin Tarantino, Méréal, Paris, 1998.

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Pour citer cet article

Frédéric STRAUSS. TARANTINO QUENTIN (1963- ) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Média

Pulp Fiction, Q. Tarantino - crédits : The Kobal Collection/ Aurimages

Pulp Fiction, Q. Tarantino

Autres références

  • INGLOURIOUS BASTERDS (Q. Tarantino)

    • Écrit par René PRÉDAL
    • 1 041 mots

    Avec Inglourious Basterds (2009), Quentin Tarantino se confronte à l'Histoire par le biais de l'histoire du cinéma et réciproquement, en jouant à la fois de la reconstitution de la France occupée pendant la Seconde Guerre mondiale et de la représentation que le septième art (hollywoodien comme français)...

  • JACKIE BROWN (Q. Tarantino)

    • Écrit par Frédéric STRAUSS
    • 1 130 mots

    Depuis son premier film, Reservoir Dogs (1992), davantage encore depuis Pulp Fiction, palme d'or du festival de Cannes en 1994, Quentin Tarantino est le plus « médiatique » des cinéastes américains, et le plus cinéphile. Plus que de cinéphilie, il faut d'ailleurs parler ici d'une culture des images...

  • KILL BILL (Q. Tarantino)

    • Écrit par Frédéric STRAUSS
    • 965 mots

    S'agit-il de deux films, ou d'un seul film divisé en deux parties, respectivement intitulées Kill Bill 1 et Kill Bill 2 ? Tout est envisageable, car Quentin Tarantino ne se limite même pas à cette alternative : il a également conçu une sorte de « Kill Bill 3 », destiné à une exploitation...

  • PULP FICTION, film de Quentin Tarantino

    • Écrit par Laurent JULLIER
    • 908 mots
    • 1 média

    À l'instar des jeunes-turcs de la Nouvelle Vague française, l'Américain Quentin Tarantino a vu mûrir sa vocation de cinéaste à l'occasion d'une pratique de fan – plus précisément en tant que loueur de cassettes vidéo. Mais, contrairement aux premiers, Tarantino a fait plus...

  • AFRO-AMÉRICAIN CINÉMA

    • Écrit par Raphaël BASSAN
    • 6 876 mots
    • 3 médias
    ...diffusés dans tout le territoire ainsi qu’à l’étranger et connaissent un succès appréciable parmi la population émigrée des grandes capitales. L’évolution de la censure permet à des stars « black » comme Pamela Grier d’accéder au statut de sex-symbol. Quentin Tarantino s’en souviendra en confiant...
  • CINÉMA (Aspects généraux) - Histoire

    • Écrit par Marc CERISUELO, Jean COLLET, Claude-Jean PHILIPPE
    • 21 694 mots
    • 41 médias
    ... The Big Lebowski, 1998 ; O Brother, 2000), Michael Mann, né en 1943 (Heat, 1995 ; Collateral, 2004), Spike Lee, né en 1957 (Malcolm X, 1992), Quentin Tarantino, né en 1963 (ReservoirDogs, 1992 ; Pulp Fiction, 1994 ; Jackie Brown, 1997), et David Lynch, né en 1946 (Sailor et Lula, 1990 ;...
  • COMÉDIE AMÉRICAINE, cinéma

    • Écrit par Joël MAGNY
    • 5 126 mots
    • 18 médias
    Quentin Tarantino doit-il être rangé dans le genre de la comédie ou dans celui du thriller ? Le second apparemment : il connaît à fond la substance, l'écriture, les personnages, l'atmosphère des films noirs. Mais sa façon de filmer, souvent lente, les réactions de ses personnages, le style en perpétuel...
  • ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE (Arts et culture) - Le théâtre et le cinéma

    • Écrit par Geneviève FABRE, Liliane KERJAN, Joël MAGNY
    • 9 328 mots
    • 11 médias
    Quentin Tarantino s'est imposé avec des films devenus rapidement des « œuvres cultes » auprès d'une jeunesse aussi bien américaine qu'internationale. En 1991, Reservoir Dogs frappe d'abord par une rare violence. Elle n'est guère plus forte que celle de Basic Instinct...

Voir aussi