NAPOLÉON III LOUIS-NAPOLÉON BONAPARTE (1808-1873) empereur des Français (1852-1870)
EMPIRE SECOND (1852-1870)
Napoléon III n'est-il pas un souverain méconnu ? L'importance du second Empire n'a-t-elle pas échappé aux historiens ?À première vue, la personnalité de Napoléon III souffre de la comparaison avec celle de son oncle. Mais plus que le fondateur de la dynastie, le premier Napoléon, il a compris les problèmes sociaux de son temps et favorisé le développement industriel de la France. Largement étendu, […] Lire la suite
ALPHAND ADOLPHE (1817-1891)
Dans le chapitre « Un ingénieur à la tête des « Promenades de Paris » » : […] Né en 1817 à Grenoble, d'un père colonel d'artillerie, Adolphe Alphand entre à l'École polytechnique en 1835, puis à l'École des ponts et chaussées en 1837. Après s'être vu confier des missions dans l'Isère et la Charente-Inférieure, il est envoyé en 1839 à Bordeaux comme ingénieur ordinaire du corps des Ponts et Chaussées. Il y réalise des travaux portuaires et ferroviaires, se familiarise avec […] Lire la suite
BISMARCK OTTO VON (1815-1898)
Dans le chapitre « Le ministre-président de Prusse » : […] Le 22 septembre 1862, Guillaume I er reçoit Bismarck au château de Babelsberg près de Potsdam. La situation intérieure de la Prusse était grave : en conflit avec le Landtag depuis 1858 sur la question des crédits militaires, le roi ne voyait d'autre issue que d'abdiquer. Bismarck combat cette résolution et s'engage à faire voter les lois sur l'armée : le roi cède, il nomme Bismarck ministre d'Éta […] Lire la suite
BONAPARTE LOUIS (1778-1846) roi de Hollande (1806-1810)
Aspirant d'artillerie en 1790, Louis Bonaparte prend part à la campagne d'Italie en 1796 comme aide de camp de son frère et se retrouve colonel de dragons au retour de l'Égypte. Dès ce moment, atteint peut-être d'une maladie sur la nature de laquelle on s'interroge, il donne des signes de fragilité psychique ; son hypocondrie et sa défiance maladive ne feront que s'accentuer. À la proclamation de […] Lire la suite
CAMPANA COLLECTION
Dans le chapitre « Une chute qui suscite des convoitises » : […] Tout cela coûtait cher, et la fortune personnelle du marquis lui apparut bientôt insuffisante : il n'hésita pas à puiser dans les sommes que ses fonctions lui faisaient manipuler. En 1857, ce fut la chute : Campana fut arrêté, soumis à un procès et condamné en 1858 à vingt ans de travaux forcés (il devait néanmoins être rapidement gracié, sur l'intervention de Napoléon III, avant de mourir, ruiné, […] Lire la suite
CAVOUR CAMILLO BENSO DE (1810-1861)
Dans le chapitre « L'alliance franco-piémontaise » : […] Cavour avait parfaitement compris les intentions de Napoléon III, avide de restaurer la grandeur et le prestige du premier Empire en acquérant de nouveau – selon une tradition née à la fin du xv e siècle avec l'expédition de Charles VIII – une prédominance décisive en Italie. Aussi l'empereur accepta-t-il les invitations de Cavour qui, entre-temps, avait consolidé sa position en gagnant à sa pol […] Lire la suite
LES CHÂTIMENTS, Victor Hugo - Fiche de lecture
« Écoute, je te dois, Sire, un remercîment/Sans toi je n'aurais pas fait ce livre inclément... » Écrivant ces vers des années plus tard, Victor Hugo (1802-1885) avouait, non sans ironie, sa dette envers Napoléon III. C'est en effet à Jersey puis à Guernesey , entre 1852 et 1870, qu'il compose ou achève quelques-unes de ses œuvres maîtresses : Les Contemplations (1856), La Légende des Siècles (18 […] Lire la suite
CONSTITUTIONS FRANÇAISES - (repères chronologiques)
Constitution de 1791 Adoptée le 3 septembre par l'Assemblée nationale constituante, deux années après la Déclaration de 1789 qui forme son Préambule, suspendue d'application le 10 août 1792, la première Constitution française ne dura pas un an. Essai de monarchie parlementaire, elle exacerbait en fait l'opposition entre exécutif et législatif : initiative des lois réservée à l'Assemblée unique (él […] Lire la suite
DEUXIÈME RÉPUBLIQUE
Dans le chapitre « Le gouvernement des républicains modérés » : […] Le général Cavaignac a composé son ministère de républicains « authentiques » (on disait « républicains de la veille »), tandis que Marrast préside la Constituante. Mais une réaction profonde suivit les journées de Juin, creusant un fossé entre les républicains et les masses populaires parisiennes au profit des éléments les plus conservateurs ; plus de trois mille insurgés furent emprisonnés ou tr […] Lire la suite
LE 18-BRUMAIRE DE LOUIS BONAPARTE, Karl Marx - Fiche de lecture
Dans le chapitre « Les contradictions de la IIe République » : […] Lors du coup d'État du 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799), le commandant des troupes de Paris, le général en chef Bonaparte, savamment entouré, obtient des députés du Directoire non expulsés par son armée la proclamation d'un texte qui, le 19 brumaire, le nomme consul provisoire avec Sieyès et Roger Ducos. Il deviendra très vite le Premier consul, plénipotentiaire, avant d'être sacré empereur […] Lire la suite
DU PREMIER EMPIRE À LA IIIe RÉPUBLIQUE - (repères chronologiques)
1815 Rétablissement de la monarchie. 1830 « Trois Glorieuses » (27-29 juillet) : chute de Charles X, avènement de Louis-Philippe. Février 1848 Chute de Louis-Philippe, proclamation de la II e République. 2 décembre 1851 Coup d'État de Louis-Napoléon Bonaparte. 2 décembre 1852 Proclamation du second Empire. Septembre 1870 Défaite de Sedan (le 2) ; proclamation de la III e République (le 4). […] Lire la suite
EUGÉNIE DE MONTIJO (1826-1920) impératrice des Français
Impératrice des Français (1853-1870), épouse de Napoléon III, née le 5 mai 1826 à Grenade, en Espagne, morte le 11 juillet 1920 à Madrid. Fille d'un noble espagnol qui combattit au côté des Français pendant la guerre menée par Napoléon I er en Espagne, Eugénie de Montijo (Eugenia María de Montijo de Guzmán, comtesse de Teba) se rend à Paris quand Louis-Napoléon devient président de la II e Rép […] Lire la suite
FRANCE (Histoire et institutions) - Le temps des révolutions
Dans le chapitre « Consolider la Révolution (1830-1848) » : […] La Révolution de juillet 1830 sembla rejouer celle de 1789. Se souvenant de la faiblesse de caractère de son frère Louis XVI, Charles X voulut frapper durement l'opposition libérale qui se manifestait à la Chambre des députés. Les Trois Glorieuses (27-29 juillet) qui en résultèrent opposèrent ainsi le roi sacré qui désirait l'absolutisme, d'un côté, et le peuple de Paris, son drapeau bleu-blanc-r […] Lire la suite
FRANCE, archéologie
Dans le chapitre « Un peu d'histoire » : […] Pendant longtemps – jusqu'au xix e siècle –, ce furent les monuments et les objets laissés sur notre sol par les Romains qui ont intéressé humanistes, historiens et... collectionneurs. L'idée que d'autres vestiges – aussi bien pré-romains que médiévaux – pouvaient avoir leur importance ne se fit jour, timidement, qu'à la Révolution, et encore sous des formes ambiguës, par exemple celle de la « ce […] Lire la suite
ITALIE - Histoire
Dans le chapitre « L'ère des modérés : Cavour et la formation du royaume d'Italie » : […] La bourgeoisie d'affaires se rallie à la solution piémontaise. Son idéal s'incarne en Camille Benso di Cavour, ministre en 1850, puis président du Conseil. Il s'agit de créer, sur la base d'intérêts économiques communs, une conscience nationale, de permettre au « pays légal » de gérer la chose publique dans une ligne de juste milieu, de rassurer l'Europe et de faire admettre l'Italie dans le conce […] Lire la suite
PAUME JEU DE
Le Jeu de Paume, à Paris, fut un musée d’art impressionniste, puis d’art moderne et contemporain, avant d’être consacré à la photographie. La salle du Jeu de Paume fut construite sous Napoléon III en 1862 dans le jardin des Tuileries, en symétrie avec le bâtiment voisin de l’Orangerie. On y pratiquait un sport de balle, ancêtre du tennis. Le tennis ayant supplanté le jeu de paume et le lieu se rév […] Lire la suite
MAUPAS CHARLEMAGNE ÉMILE DE (1818-1888)
Après des études de droit, Maupas est nommé par Guizot sous-préfet d'Uzès en 1845, puis de Beaune en 1847. Révoqué en 1848 par la II e République, il se fait réintégrer par le prince-président Louis Bonaparte dès 1849 et passe rapidement de la préfecture de l'Allier et de la Haute-Garonne en 1850 à la préfecture de police en 1851 grâce à son zèle réactionnaire et à ses convictions bonapartistes. […] Lire la suite
MINGHETTI MARCO (1818-1886)
L'un des artisans majeurs du Risorgimento aux côtés de Cavour, dont il fut le collaborateur et l'ami. Par sa formation et par ses idées, Minghetti offre bien des points communs avec l'homme d'État piémontais : goût pour les problèmes économiques et sociaux ; foi dans une régénération de la Péninsule par des réformes graduelles, soutenues par la modernisation industrielle et agricole ; culture euro […] Lire la suite
MORNY CHARLES AUGUSTE duc de (1811-1865)
Fils naturel de la reine Hortense et du comte de Flahaut, demi-frère du futur Napoléon III, Morny a une illustre origine, qui l'a sans doute moins servi que son intelligence et son cynisme. Sa carrière commence à se dessiner sous la monarchie de Juillet ; il est d'abord un brillant officier et participe à la conquête de l'Algérie. À partir de 1838, il se lance dans l'industrie et achète aux enviro […] Lire la suite
NATIONALITÉS PRINCIPE DES
Dans le chapitre « Napoléon III et les unités nationales » : […] Napoléon III fut le premier souverain à comprendre cette évolution et à faire du principe des nationalités une des bases de sa politique étrangère. Son hostilité aux traités de 1815 le poussait à envisager une révision des frontières européennes. Et l'évocation du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes fournissait une justification morale à son action. C'est pourquoi le principe des nationalité […] Lire la suite
NOTABLES
Dans le chapitre « Crise et restauration des notables (1848-1870) » : […] Si les notables ont paru perdre le pouvoir en février 1848 face aux ouvriers parisiens alliés aux capacités, ils ont réussi relativement vite à inverser la tendance en soutenant la candidature de Louis-Napoléon Bonaparte, triomphalement élu président le 10 décembre 1848 par une majorité rurale contre les candidats républicains rendus responsables de la crise économique et sociale et de l'alourdis […] Lire la suite
OLLIVIER ÉMILE (1825-1913)
Comme son adversaire Adolphe Thiers, Émile Ollivier est né à Marseille. Grandi dans un milieu républicain (son père a protégé Mazzini réfugié à Marseille), il est, tout jeune, commissaire de la République dans les Bouches-du-Rhône et le Var au lendemain de la révolution de février 1848. Il apaise les passions, désarme les préventions, mais les journées de juin 1848, qui agitent Marseille comme Par […] Lire la suite
ORSINI FELICE (1819-1858)
Après des études juridiques à Bologne, Orsini participe dans cette ville au soulèvement de 1843 contre la légation pontificale, ce qui lui vaut une condamnation au bagne. Grâcié en 1846 par Pie IX, il est élu député de la République romaine en 1849 et défend Rome contre les Français. Il conspire de nouveau en accord avec Mazzini jusqu'à son arrestation par les Autrichiens qui le condamnent à mort […] Lire la suite
PERSIGNY JEAN GILBERT VICTOR FIALIN duc de (1808-1872)
Comte, puis duc de Persigny. Victor Fialin s'engage à dix-sept ans dans l'armée et commence une carrière militaire, mais ses convictions républicaines le font mettre en congé en 1831. Converti au bonapartisme par la lecture du Mémorial de Sainte - Hélène , il devient le complice de Louis-Napoléon Bonaparte qu'il pousse à agir et aide dans ses divers complots. Il participe à la tentative de Strasbo […] Lire la suite
POLICE EN FRANCE DE 1814 À 1870
Dans le chapitre « Une insertion sociale croissante ? » : […] Avec le développement de la presse à 5 sous et des éditions à bon marché, la place de la police dans l’imaginaire social se renforce. Devant la peur croissante des malfaiteurs nocturnes, l’inspecteur de la Sûreté devient progressivement un héros littéraire, dont le commissaire Lecoq, inventé par Émile Gaboriau, constitue un prototype. De même, et avec l’aide de la censure impériale, la figure des […] Lire la suite
PUEBLA BATAILLE DE (5 mai 1862)
Épisode de l'expédition du Mexique, cette bataille mit aux prises l'armée du gouvernement libéral de Benito Juarez aux troupes françaises envoyées par Napoléon III, dont la mission était de créer un État sous influence française au Mexique. La commémoration de cette victoire mexicaine dans ce pays est l'occasion d'une fête nationale connue sous le nom de Cinco de Mayo (5 mai). L'itinéraire emprunt […] Lire la suite
RISORGIMENTO
Dans le chapitre « Cavour et la « décennie de préparation » » : […] Avec d'Azeglio, puis Cavour, président du Conseil le 4 novembre 1852, le Piémont se prépare à la reprise de la lutte. La politique des conjurations est révolue, avec la condamnation des « martyrs de Belfiore », à Mantoue, en 1852-1853. Le mazzinianisme, comme autrefois la Charbonnerie, passe au second plan comme moteur du Risorgimento en dépit d'ultimes tentatives, à Milan en 1853 et à Sapri en 1 […] Lire la suite
SEDAN BATAILLE DE (1er sept. 1870)
Défaite française majeure lors de la guerre de 1870, la bataille de Sedan entraîna la chute du second Empire . Elle opposa 120 000 soldats français sous les ordres du maréchal de Mac-Mahon à plus de 200 000 soldats allemands sous les ordres du général Helmuth von Moltke, autour de la place forte de Sedan, située au fond d'une cuvette traversée par la Meuse, non loin de la frontière belge. Plutôt q […] Lire la suite
SOLFERINO BATAILLE DE (24 juin 1859)
Solferino est la dernière bataille de la troisième guerre d'indépendance italienne. Elle se déroula en Lombardie, et mit aux prises une armée autrichienne et une armée franco-piémontaise. Elle eut pour conséquence l'annexion par le Piémont-Sardaigne de la plus grande partie de la Lombardie, contribuant ainsi à la construction de l'unité italienne. Après sa défaite à la bataille de Magenta le 4 ju […] Lire la suite
SPECTACULAIRE SECOND EMPIRE 1852-1870 (exposition)
Dans le chapitre « Fastes et célébrations » : […] Le second Empire a en effet mauvaise réputation : la défaite de 1870 contre la Prusse, qui ouvre les grands conflits du xx e siècle, y est sans doute pour beaucoup, de même que la dénonciation par Victor Hugo en exil du coup d’État de « Napoléon le Petit » dans Les Châtiments ou la description par Zola, dans Les Rougon - Macquart , d’une société corrompue par les divertissements, les vices et l […] Lire la suite
SYSTÈME INTERNATIONAL D'UNITÉS (SI)
Dans le chapitre « Du système métrique au Système international d’unités » : […] La mesure a un rôle essentiel. L’acte de mesurer est depuis toujours à la source de toute activité humaine. Elle sous-tend la démarche scientifique, mais a également une forte dimension sociale et sociétale depuis la plus haute Antiquité. Le rapport à la mesure est ainsi un excellent miroir des sociétés humaines qui, toutes, ont établi leurs propres systèmes de mesure. Mesurer, c’est comparer une […] Lire la suite
Bataille de Solferino-San Martino
Le roi Victor-Emmanuel II à la bataille de Solferino-San Martino (24 juin 1859), victoire des troupes franco-sardes sur les Autrichiens qui confirma l'indépendance italienne Huile sur toile, anonyme
Crédits : A. De Gregorio/ De Agostini/ Getty Images
Au milieu du XIXè siècle, il n'y a pas d'État italien La conscience de l'existence d'une culture italienne spécifique a bien donné naissance à un mouvement culturel important, le Risorgimento, qui traduit l'aspiration des Italiens à prendre en charge leur devenir politique Mais l'influence...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Expansion mondiale des Blancs Ère victorienne Unité de l'Allemagne et de l'ItalieLes empires coloniaux atteignent leur apogée à la charnière des XIXe et XXe siècles L'ensemble de l'Afrique ainsi qu'une grande partie de l'Asie sont alors sous la domination d'une Europe triomphante et soucieuse...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Barricade durant la Commune de Paris
Porte Maillot, à Paris, une barricade a été dressée par les partisans de la Commune, en 1871
Crédits : Hulton Archive/ Getty Images
Exposition internationale de 1862
Des visiteurs de l'Exposition internationale de Londres, en 1862, se reposent près de la fontaine de céramique surmontée d'une statue de saint Georges
Crédits : Hulton Getty
Des navires au mouillage dans une baie, près de Balaklava, au cours de la guerre de Crimée, en 1854 Photographe : Roger Fenton
Crédits : Roger Fenton/ Getty Images
Inauguration du canal de Suez, 1869
L'inauguration du canal de Suez par l'impératrice Eugénie, l'épouse de Napoléon III, en présence du khédive d'Égypte Ismaïl Pacha, de l'empereur François-Joseph d'Autriche et du prince héritier de Prusse, le 17 novembre 1869 à Port-Saïd
Crédits : Time Life Pictures/ Mansell/ The LIFE Picture Collection/ Getty Images
Léon Gambetta (1838-1882), l'un des fondateurs de la IIIe République
Crédits : Henry Guttmann/ Hulton Archive/ Getty Images
L'intérieur du palais des Tuileries incendié en mai 1871 pendant les derniers jours de la Commune de Paris, mouvement insurrectionnel du peuple parisien
Crédits : Hulton Archive/ Getty Images
L'Impératrice Eugénie et ses dames d'honneur, F.X. Winterhalter
Franz Xaver WINTERHALTER, L'Impératrice Eugénie et ses dames d'honneur, huile sur toile Musée national du château de Compiègne
Crédits : Erich Lessing/ AKG
Les grandes transformations de Paris sous le second Empire (1852-1870)
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Le journaliste politique français Pierre Joseph Proudhon (1809-1865) Son système de pensée lui fait rejeter le socialisme utopique et forger le concept de socialisme scientifique, fondé sur une science de la société méthodiquement découverte et rigoureusement appliquée
Crédits : Nadar/ Getty Images
Ruines de l'Hôtel de Ville de Paris
Les ruines de l'ancien Hôtel de Ville de Paris incendié en mai 1871, pendant les derniers jours de la Commune de Paris, mouvement insurrectionnel du peuple parisien
Crédits : Alphonse Liebert/ Hulton Archive/ Getty Images
Développement de l'infrastructure économique de la France sous le second Empire (1852-1870)
Crédits : Encyclopædia Universalis France

Inauguration du canal de Suez, 1869
Crédits : Time Life Pictures/ Mansell/ The LIFE Picture Collection/ Getty Images
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L'Impératrice Eugénie et ses dames d'honneur, F.X. Winterhalter
Crédits : Erich Lessing/ AKG
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