Neurobiologie, physiologie animale
5287ACÉTYLCHOLINE
L'acétylcholine (ACh) est l'ester acétique de la choline, corps basique azoté dérivé de l'ammonium quaternaire.Formule de l'acétylcholine : β-acétoxyéthyl-triméthyl-ammonium.L'ACh a été préparée par voie synthétique en 1867 et peut être obtenue aisément en chauffant de la choline avec l'anhydride acétique. Elle se conserve longtemps en milieu acide (pH 3,9) mais son hydrolyse est très rapide en mi […] Lire la suite
AUDITION - Acoustique physiologique
Ces fibres sont les axones des neurones de type I, dont les corps cellulaires constituent l'essentiel du ganglion spiral de Corti. Les axones des neurones de type II, non myélinisés, ont un diamètre tel que, même avec des microélectrodes très fines, il est très difficile d'étudier leur activité. Ce n'est pas le cas des neurones de type I dont le diamètre de l'axone varie de 3 à 5 microns et l'on a […] Lire la suite
BLUE BRAIN PROJECT
Le cerveau présente un champ de recherche vaste et un domaine où l'expérimentation est particulièrement difficile pour des raisons évidentes, mais aussi parce que sa complexité et sa structure délicate rendent le fonctionnement quasi inaccessible aux mesures. Une simulation numérique du cerveau humain serait donc un outil efficace pour permettre à la […] Lire la suite
CERVELET
Le cervelet, ou petit cerveau, est un organe situé en parallèle sur les grandes voies sensorielles et motrices. Son atteinte ne se traduit ni par une paralysie, ni par une anesthésie, mais par un ensemble de signes qui attestent de perturbations importantes dans le maintien de l'équilibre et de la posture et dans l'exécution et la coordination des mouveme […] Lire la suite
CHARLES SHERRINGTON : CONCEPT D'INTÉGRATION NERVEUSE
La parution en 1906 d'un important ouvrage de sir Charles Scott Sherrington fait date en neurophysiologie. Dans Integrative Action of the Nervous System, il interprète l'unification du comportement d'un organisme comme l'expression ultime d'un processus d'intégration nerveuse. Sous sa forme la plus élémentaire, celui-ci […] Lire la suite
CORTEX CÉRÉBRAL
Dans l'encéphale des Vertébrés, la présence de substance grise superficielle reflète la présence de neurones dits corticaux. Au cours de la neurogenèse, ils viennent peupler la surface nerveuse par un processus migratoire après lequel interviendra leur différenciation.Chez l'animal adulte, la zone […] Lire la suite
DÉPOLARISATION
Phénomène créé par l'ouverture, sous l'effet du voltage ou sous l'effet d'un neuromédiateur, des canaux ioniques servant au passage du sodium dans les membranes cellulaires, ce qui décharge la surface extérieure de celles-ci, positivement chargée au repos. Le déclenchement de cette décharge, induit par un stimulus d'intensité suffisante (sa valeur minimale, […] Lire la suite
DOULEUR
Dès l'aube de l'humanité, sous toutes les latitudes, on retrouve des traces qui témoignent que l'homme n'a cessé de s'interroger sur la douleur, de lui donner un sens et de chercher à la combattre. À l'aube du IIIe millénaire, on doit constater que la douleur demeure très imparfaitement comprise et maîtrisée dans de nombreuses situations cliniques. Il n'est pas surprenant dè […] Lire la suite
ÉQUILIBRATION
Afin d'assurer l'efficacité de l'exécution des mouvements mis en jeu au cours de la locomotion, de l'orientation et de la préhension, les animaux font usage d'un ensemble de mécanismes sensorimoteurs qui permettent le maintien de l'équilibre du corps en dépit des causes qui tendent à le perturber : les accélérations d'origine interne et […] Lire la suite
EXCITABILITÉ
L'excitation c'est, littéralement, l'action d'exciter, de faire sortir du repos, de stimuler ou d'animer davantage, mais c'est aussi le résultat de cette action. Cette fâcheuse ambiguïté qui fait désigner par le même terme tantôt la cause, tantôt l'effet, s'aggrave encore par le fait que le mot « excitation » s'applique parfois plus particulièrement au processus de transition qui va de la cause à […] Lire la suite
EXPÉRIENCES DE LOEWI : LA NEUROSÉCRÉTION
Le rôle de certains nerfs dans la régulation du rythme cardiaque avait été reconnu dès la seconde moitié du xixe siècle. Mais comment l'excitation des fibres nerveuses se transmettait-elle au cœur ? Le pharmacologue allemand Otto Loewi (1873-1961) aborde expérimentalement la question en 1921. Ayant observé qu […] Lire la suite
FIBRES MUSCULAIRE & NERVEUSE
Malgré leurs surprenantes dimensions (quelques centimètres de longueur pour une fibre musculaire et plusieurs décimètres pour une fibre nerveuse), ces structures filamenteuses, étroites et allongées, ont une constitution cellulaire. Elles renferment un cytoplasme riche en organites (ribosomes, réticulum endoplasmique, mitochondries) délimité par une membrane cytoplasmique. Dans les deux cas, le mé […] Lire la suite
GAMMA-AMINOBUTYRIQUE ACIDE (GABA)
En 1950, J. Awapara et ses collaborateurs, E. Roberts et S. Frankel, ont réussi à isoler du système nerveux central le GABA, un acide aminéIls identifièrent aussi l'enzyme de synthèse : l'acide glutamique décarboxylase (AGD), enzyme particulièrement abondante au niveau des terminaisons nerveuses présynaptiques. Peu à peu, on démêlait l'ensemble du métabolisme […] Lire la suite
GANGLION NERVEUX
C'est une structure jonctionnelle placée en travers d'un tronc nerveux. Le petit renflement qui constitue le « ganglion » renferme une masse de substance grise assurant un relais entre fibres nerveuses. Cette substance grise contient, comme il se doit, des corps cellulaires neuroniques, donnant naissance aux fibres nerveuses situées en aval du ganglion ; elles conduisent des in […] Lire la suite
GUSTATION
L'explorationélectrophysiologique des décharges nerveuses dans la corde du tympan ou le glossopharyngien a permis, mieux que la confrontation des propriétés chimiques des corps actifs et des réponses comportementales, de rechercher le mécanisme nerveux de la différenciation des corps sapides en quatre saveurs.Avant cette exploration électrophysiologique, on avait imaginé que chaque saveur était en […] Lire la suite
HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX
Bien des siècles avant l'Antiquité classique, on admettait déjà un étroit rapport entre les hémisphères cérébraux et les fonctions mentales supérieures : sensation consciente, motricité volontaire, mémoire, etc. Les anciens auteurs ont abondamment spéculé sur la région des hémisphères où pouvaient résider ces faculté […] Lire la suite
HYPOTHALAMUS
Malgré ses dimensions restreintes (quelques centimètres cubes chez l'homme), l'hypothalamus s'est peu à peu révélé comme le centre majeur des régulations homéostasiques. En tant que tel, il jouera donc un rôle fondamental dans tous les grands comportements des vertébrés, les plus rudimentaires comme les plus perfectionnés. Dire que l'hypothalamus régule la […] Lire la suite
LIMBIQUE SYSTÈME
C'est par étapes que s'est développée une notion telle que celle d'un « système limbique », et ce n'est que de façon progressive qu'elle s’est précisée dans une acception très généralement admise. Aussi n'est-il pas sans intérêt d'en tracer un bref historique.Le qualificatif « limbique » apparaît en 1878, lorsque Broca décrit sous le nom de « grand lobe limbique » le bord (limbus […] Lire la suite
MOELLE ÉPINIÈRE
Lamoelle épinière est une structure nerveuse axiale qui caractérise de façon fondamentale et constante le système nerveux central des Vertébrés. Chez tous, elle constitue le grand centre des réflexes sensitivo-moteurs de la vie végétative comme de la vie de relation. Renfermant le premier relais des messages origina […] Lire la suite
MOTRICITÉ
L'activité motrice d'un organisme suppose un ensemble de mécanismes qui lui permettent de mouvoir un ou plusieurs de ses segments et ainsi, éventuellement, de se détacher par rapport au substrat, ce qui, à quelques rares exceptions près, est une caractéristique des animaux. Certes, on décrit des mouvements dans le règne végétal, mais il s'agit de phénomènes limités dont il ne sera pas question ici […] Lire la suite
MOUNTCASTLE VERNON BENJAMIN (1918-2015)
Vernon Benjamin Mountcastle est un neurophysiologiste américain qui a mené des recherches pionnières sur l’organisation fonctionnelle du cortex cérébral du cerveau des mammifères. Sa découverte fondamentale, réalisée au début des années 1950, a été celle de l’organisation en colonnes du cortex cérébral. En é […] Lire la suite
NERVEUX (SYSTÈME) - Agencement des réseaux et circuits neuronaux
Au plus bas de l'échelle animale (Spongiaires, Cœlentérés), le système nerveux, lorsqu'il existe, a une structure réticulée : il s'agit d'éléments cellulaires dont les prolongements, peu différenciés, s'anastomosent de façon lâche et irrégulière, constituant ainsi un réseau à localisation superficielle dans lequel l'influx nerveux circule sans suivre d'orientation privilégiée.Dans tous les autres […] Lire la suite
NERVEUX (SYSTÈME) - Le neurone
Le neurone étant la cellule élémentaire du système nerveux, l'étude de l'un est intimement liée à celle de l'autre. Les propriétés du neurone ont donc été, au moins pour partie, sélectionnées au long de l'histoire du monde animal par des contraintes évolutives s'exerçant sur les organismes entiers. Réciproquement, les possibilités fonctionnelles du système nerveux ont toujours été contraintes par […] Lire la suite
NERVEUX (SYSTÈME) - Le tissu nerveux
Detoutes les cellules formant chez les Vertébrés l'ébauche neurectoblastique du système nerveux (cf. développement [biologie]), une partie seulement donne des cellules nerveuses proprement dites, ou neurones. Les autres donneront les cellules de la névroglie, satellites des neurones. Il est év […] Lire la suite
NERVEUX (SYSTÈME) - L'influx nerveux
La vie du neurone adulte, comme celle de toute cellule, dépend d'un métabolisme d'entretien. Celui-ci, grand consommateur d'oxygène et de glucose, est à la base du maintien de concentrations constantes d'ions K+ et Na+ à l'intérieur du neurone, grâce à un mécanisme de transports actifs luttant contre la diffusion passive de ces ions […] Lire la suite
NERVEUX (SYSTÈME) - Neurobiologie
Alors que l'on définissait un neurone exclusivement par ses caractéristiques morphologiques et électrophysiologiques, on peut maintenant y ajouter un caractère essentiel : la nature du neurorégulateur qu'il synthétise et qu'il libère. Le formidable développement de la biochimie et de la pharmacologie du système […] Lire la suite
NERVEUX (SYSTÈME) - Neurogenèse et évolution
L'évolution phylogénétique du système nerveux des métazoaires, évolution si remarquable par la croissante complexité d'organisation et de fonctionnement qui la caractérise, offre au naturaliste un champ d'étude à l'intérêt fascinant. Cependant, malgré l'emploi de techniques d'examen et d'expérimentation raffinées, faisant appel aux méthodes physico-chimiques, voire informatiques et statistiques, l […] Lire la suite
NEURONES DU SOMMEIL
Bien qu'il soit établi depuis de nombreuses années que la région préoptique de l'hypothalamus antérieur joue un rôle majeur dans l'apparition du sommeil, les neurones impliqués dans ces processus n'avaient jamais pu être clairement identifiés. Une réponse à ce problème vient d'être apportée grâce à un travail réal […] Lire la suite
NEUROPLASTICITÉ
Le terme neuroplasticité désigne les facultés de réorganisation que l'on a mis en évidence dans le système nerveux. Elles sont dues à l'existence de cellules restées indifférenciées qui peuvent remplacer des neurones détruits accidentellement ou à la suite de dégradation métabolique ou infectieuse.L'existence de ces phénomènes de rénovation a permis de proposer, dans le traitement de certaines neu […] Lire la suite
NEUROSÉCRÉTION
Le concept de neurosécrétion est accepté aujourd'hui par tous les biologistes. Il s'agit, comme l'a souligné en 1966 W. Bargmann, « de la production et de l'excrétion d'hormones par des cellules nerveuses qui ont aussi les caractères cytologiques de cellules sécrétoires ».On savait depuis longtemps que, stimulées, les fibres nerveuses sympathiques libéraien […] Lire la suite
NEUROVÉGÉTATIF SYSTÈME
Lesystème neurovégétatif de l'homme, appelé également système « autonome, viscéral ou involontaire », se définit par son rôle et par son organisation anatomo-physiologique. Ses prolongements périphériques sont distribués à tous les organes et tissus situés à l'intérieur du corps ; il innerve les viscères (cœur, vaisseaux, tube digestif, etc.), leurs muscles […] Lire la suite
OPIOÏDES
La démarche intellectuelle et la méthodologie qui ont abouti à la découverte des récepteurs morphiniques d'une part, et, par voie de conséquence, à celle des peptides opiacés ou opioïdes, d'autre part, représentent un modèle exemplaire des recherches effectuées en neuropharmacologie moléculaire.Entre 1971 et 1973, plusieurs équipes de chercheurs découvraient la présence dans le cerveau de récepteu […] Lire la suite
ORGANISATION DISCONTINUE DU TISSU NERVEUX
Les éléments qui composent le tissu nerveux sont-ils en continuité ou seulement en contiguïté ? La question oppose, à la fin du xixe siècle, les « réticulistes », partisans d'un tissu nerveux constitué de cellules anastomosées par leurs dendrites et leurs axones en de véritables réseaux continus, et les « neuronistes », pour qui chaque cellule nerveus […] Lire la suite
POISSONS
Lesystème nerveux des Poissons est construit sur le plan commun à tous les Vertébrés. La moelle épinière, à la fois centre des réflexes élémentaires (substance grise centrale entourant le canal épendymaire) et voie de conduction sensorielle et motrice (substance blanche périphérique), est en relation avec la périphérie par les nerfs rach […] Lire la suite
PROPAGATION DE L'INFLUX NERVEUX : UN PHÉNOMÈNE IONIQUE
Alan Hodgkin et Andrew Huxley partagèrent avec John Eccles le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1963, pour l'élucidation des mécanismes électriques responsables de la propagation des signaux nerveux. Leur travail commun, utilisant l'axone géant de calmar comme système modèle, débuta en 1939. L'ampleur des changements de potentiel survenant lors de la stimulation de ces axones les amena à co […] Lire la suite
PROPRIOCEPTIF
Terme surtout employé en neurophysiologie pour qualifier un certain type de sensibilité. Cette dernière prend naissance au niveau de récepteurs localisés dans les organes profonds de la vie de relation (muscles, ligaments, os) tels que les fuseaux neuromusculaires (avec leur rôle dans l'entretien du tonus musculaire), les organes musculo-tendineux de Gol […] Lire la suite
RÉFLEXES
Le terme de réflexe, sous sa forme latine de motus reflexus, a été introduit dans la langue scientifique du xviie siècle par W. T. Willis (1621-1675). Cet auteur voulait signifier ainsi qu'une partie des informations sensorielles transportées par les « esprits animaux » pouvaient refluer (refluere) vers les […] Lire la suite
RÉFLEXES CONDITIONNÉS
En étudiant les facteurs du déclenchement des sécrétions digestives, le physiologiste russe Ivan Petrovitch Pavlov (1849-1936) a montré que, en plus des réflexes simples (dits absolus et qualifiés plus tard d'innés) et des actions sensorielles (vue, odeur de l'aliment) induites par le repas, des stimula […] Lire la suite
SENSIBILITÉ
Tout organisme vivant, unicellulaire ou pluricellulaire, est engagé dans une succession d'interactions avec son milieu. Ces interactions sont de deux types : d'une part, des échanges qui concernent l'énergie sous des formes diverses (chimique, électromagnétique, thermique, mécanique...) et dont on peut faire le bilan thermodynamique, et, d'autre par […] Lire la suite
SÉROTONINE
La distribution de la sérotonine dans l'ensemble du monde vivant, depuis les bactéries jusqu'à l'homme, au sein de lignées cellulaires extrêmement différenciées, suggère que cette substance joue un rôle fondamental dans le métabolisme cellulaire. En physiologie humaine, la sérotonine est impliquée dans des foncti […] Lire la suite
SOMESTHÉSIE
Le terme de « sensibilité somesthésique générale » désigne les sensations conscientes éveillées par la stimulation des tissus du corps, sensations qui ne sont ni visuelles, ni auditives, ni gustatives, ni olfactives. Elles sont provoquées par l'excitation de terminaisons nerveuses réceptrices de types variés, localisées dans le revêtement cutané et divers tissus plus profondément situés : conjonc […] Lire la suite
SOMMEIL
Le cerveau humain, comme celui de tous les Vertébrés supérieurs, subit l'alternance de trois états : éveil, sommeil, rêve. Au cours de l'éveil, le cerveau reçoit les informations du milieu extérieur ou intérieur, les intègre et les compare aux informations reçues antérieure […] Lire la suite
SYNAPSES
Chaque neurone du système nerveux entre en contact avec un ou, le plus souvent, avec plusieurs autres neurones ; on appelle synapse chacun des éléments, généralement nombreux, de l'ensemble des contacts ainsi réalisés. Le terme fut forgé en 1897 par un helléniste, à la demande du grand physiologiste anglais Sherrington, pour donner un nom (dont la traduction française pourrait […] Lire la suite
TONUS MUSCULAIRE
Lorsque, chez un Vertébré vigile ou faiblement anesthésié, on observe un muscle squelettique dans sa situation anatomique normale, en préservant l'intégrité de ses connexions nerveuses et tendineuses, on constate que sa consistance n'est pas flacide, molle, mais ferme et élastique, et qu'il ne se laisse pas étirer sans qu'apparaisse une résistance. Ces caractères disparaissent totalement s'il est […] Lire la suite
TOUT OU RIEN LOI DU
Ce phénomène propre aux fibres nerveuses et aux fibres musculaires striées prises isolément est lié aux caractéristiques des membranes excitables dont ces cellules sont entourées. Lorsqu'un stimulus dépasse une valeur minimale appelée seuil d'excitation, la membrane subit une dépolarisation locale entraînant le […] Lire la suite
TRONC CÉRÉBRAL
Déjerine a dénommé tronc cérébral la portion de l'axe cérébro-spinal constituée par le bulbe rachidien, le pont et le mésencéphale, c'est-à-dire un ensemble de centres nerveux correspondant aux trois vésicules caudales de l'encéphale embryonnaire, moins la partie dorsale de la calotte mésencéphalique qui constitue le cervelet ; celui-ci, par ses cara […] Lire la suite
VISION - Neurophysiologie visuelle
La vision est certainement la modalité sensorielle dominante chez l'homme. La compréhension des bases physiologiques de cette fonction a donné lieu à de nombreuses études réalisées principalement chez les vertébrés supérieurs et plus particulièrement chez le singe, dont l'organisation du système visuel se rapproche le plus de celle de l'homme. Cet article […] Lire la suite
VISION - Vision et évolution animale
Les photorécepteurs sont toujours en contact avec un neurone sensoriel visuel qui lui-même transmet son excitation, par l'intermédiaire de son axone, aux neurones du cerveau de l'animal. Ces derniers communiquent ensuite leur message à des neurones d'activation des muscles, aboutissant ainsi à une réaction comportementale lorsque les photorécepteurs sont stimulés.Pour comprendre l'origine de la di […] Lire la suite
Schéma des principales voies auditives ascendantes. Les jonctions et bifurcations concernent les voies et non obligatoirement les fibres. On a représenté, grossis, en coupe transversale, avec leur organisation tonotopique, l'olive latérale supérieure, le colliculus inférieur...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Topographie et structure du cortex auditif. Face latérale de l'encéphale du chat, avec le quadrilatère auditif limité à sa partie supérieure par la scissure suprasylvienne. A, aire auditive antérieure ; AI, aire auditive primaire ; P, aire auditive postérieure ; VP, aire...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Topographie et structure du cortex auditif chez le chat. Schéma de l'aire auditive primaire (AI) avec les lignes isofréquentielles et les bandes binaurales : EE, bandes où les cellules sont excitées par les deux oreilles ; EI, bandes où les cellules sont excitées par une...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Le déplacement d'une ombre au-dessus de l'escargot correspond, sur la rétine de son œil, à une baisse d'activation des récepteurs visuels qui modifie l'activité des neurones sensoriels situés dans le cerveau. Par l'intermédiaire de neurones de liaison, ce changement d'activité...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Vision : guidage visuel chez la mouche
Guidage visuel du vol chez la mouche. Les informations visuelles issues des 3 000 facettes de l'œil ne servent pas, pour cet animal, à reconstituer une image panoramique. Elles sont traitées par un ensemble de neurones qui fonctionnent comme des détecteurs de mouvements....
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Vision et sonar chez le dauphin
Les informations provenant des yeux et du système sonar du dauphin sont comparées au niveau des aires associatives temporales et analysées en fonction du contexte et des situations mémorisées. C'est au niveau du cortex préfrontal qu'elles sont évaluées en termes de motivation...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Vision des couleurs chez les Primates
Les informations visuelles de la rétine sont traitées par des voies spécialisées dont un canal spécifique qui définit les couleurs des différents éléments de l'environnement. Ces informations «couleurs» sont ensuite confrontées aux autres canaux (contrastes et formes, mouvements...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Sommeil-rêve-éveil : réseaux exécutifs de l'éveil.
Localisation, sur une coupe de l'encéphale du rat (d'après Valatx 1995) des deux voies du système réticulaire activateur ascendant (S.R.A.A.). A : voie réticulo-hypothalamo-corticale. B : voie réticulo-thalamo-corticale.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Sommeil-rêve-éveil : endormissement et sommeil lent (d'après Valatx, 1995).
En a, étape sérotoninergique : inhibition (figurée par le symbole ┤) des réseaux de l'éveil. Le noyau dorsal du raphé (7) est actif pendant l'éveil. Il se projette sur (10) et les noyaux suprachiasmatiques (en noir). La libération de 5 HT et adénosine à ce niveau...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Sommeil-rêve-éveil : endormissement et sommeil lent (d'après Valatx, 1995).
En a, activation corticale : noyaux cholinergiques mésopontins : Ach (1), agissant sur les récepteurs nicotiniques des noyaux intralaminaires (4) et les récepteurs muscariniques du noyau réticulaire (4a) du thalamus ; noyau magnocellulaire bulbaire (2) se projetant sur...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Le programme d'action (PA) met en jeu les effecteurs E par le sélecteur S, selon une configuration déterminée. L'information en retour concernant le mouvement est fournie par le récepteur R. L'éxécution du programme s'effectue soit en boucle fermée «feed-back» avec comparaison...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Le maintien de la posture est appelé tonus musculaire. Il est assuré par le réflexe myotatique, réajustement constant de l'état de contraction des muscles extenseurs et fléchisseurs. Cette contraction réflexe du muscle s'oppose à son étirement passif dû à la pesanteur et...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Types morphologiques de neurones (d'après Cajal).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Métabolisme des catécholamines
Métabolisme de la dopamine, de la noradrénaline et de l'adrénaline, dérivées de la phényléthylamine.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Schéma d'une coupe transversale de rétine de primate (épaisseur 0,5 mm environ). Les différents types de neurones (cônes, bâtonnets, cellules bipolaires, horizontales, amacrines, ganglionnaires) sont répartis dans des couches cellulaires et synaptiques. Le haut de la figure...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Sommeil-rêve-éveil : stimulation de l'éveil
Neurones à Hcrt de l'hypothalamus postérieur chez le rat, mis en évidence par immunohistochimie. À gauche, plan large : Arc est le noyau arqué et DMH le noyau dorso-médian de l'hypothalamus, auprès du troisième ventricule cérébral 3V. Celui-ci définit le plan de symétrie...
Crédits : CNRS, Université Claude Bernard Lyon I
Un neurone du cervelet : le panache dendritique développe son arborescence au-dessus du corps cellulaire conique d'où prend naissance, à l'opposé, un axone fin et peu ramifié.
Crédits : David Becker/ Getty Images
Exemples de quelques psychotropes à risques d'abus, leur équivalent dans notre cerveau et leurs cibles (entre parenthèses).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Sommeil : processus de l'éveil de 6 systèmes
Modalités de la participation aux processus de l'éveil des systèmes: noradrénergiques (NA: «locus coeruleus»), dopaminergiques (DA: système nigrostriatal), histaminergiques (H), cholinergiques (ACH: mesopontin), sérotonergique (5.HT: raphé dorsalis) et de la formation réticulée...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Fixation sur la cholinestérase
Mode de fixation de l'acétylcholine sur la cholinestérase (d'après Nachmansohn, 1952).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Anticholinestérasiques et pyridine
Formule générale des anticholinestérasiques organo-phosphorés.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Localisation des maxima de déplacement de la membrane basilaire pour des sons purs dont la fréquence est portée sur le schéma (cochlée humaine). D'après Stuhlman.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Le canal de transduction laisse passer des ions lorsque l'inclinaison des cellules accolées a détendu le ressort qui les relie. Ensuite, un glissement des structures canalaires sous l'action du ressort expliquerait l'adaptation en refermant l'orifice du canal (d'après Lenzi et Roberts).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
L'électrocochléogramme (ECG) est un potentiel d'action composite obtenu chez l'homme en réponse à une stimulation (St) brève (inférieure à 2 ms) de 6 kHz. L'ECG est la somme de trois composantes : le potentiel de sommation (S), le potentiel microphonique (M) et les potentiels...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Courbe d'abord établie pour une cellule du colliculus inférieur chez le chat. Les zones vertes représentent les zones d'excitation de la cellule en réponse à une stimulation de fréquence f et les autres zones caractérisent les zones d'inhibition modérée, partielle ou totale....
Crédits : Encyclopædia Universalis France
L'apparition du noyau cérébelleux
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Coupe antéropostérieure d'un cervelet de chat. Noter la profondeur des sillons séparant lamelles et lobules (coloration de Nissl).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Topographie anatomique chez un mammifère
Topographie anatomique du cervelet de mammifère (vue dorsale). La nomenclature utilisée chez l'homme figure dans la moitié gauche du schéma.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Projections des afférences sur le cortex cérébelleux.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Connexions entre cortex et noyau
Connexions entre le cortex cérébelleux et les noyaux cérébelleux
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Synapses sur une cellule de Purkinje (d'après Larramendi) et la fibre grimpante (d'après Cajal).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Cortex et connexions cytologiques
Structure schématique du cortex cérébelleux et connexions cytologiques
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Boucle cérébello-cortico-cérébelleuse
Boucle cérébello-cortico-cérébelleuse (d'après Sasaki).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Nouvelle action tonique facilitatrice.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Préparation et exécution du mouvement volontaire
Mécanisme de la préparation et de l'exécution du mouvement selon Allen et Tsukahara.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Décalage dans l'activité du noyau dentelé et du noyau interposé (d'après Thach).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Réflexe vestibulo-oculaire.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Représentation schématique des voies ascendantes qui relient la moelle au thalamus puis au cortex. En bas, une coupe de moelle est représentée, les afférences atteignant les cellules de la corne dorsale à partir des deux subdivisions des racines (A, fibres non myélinisées ;...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Cortex cérébral : cytoarchitectonie
Aspects réels de la cytoarchitectonie des différentes aires corticales.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Cortex cérébral : organisation générale
Schéma simplifié de l'organisation générale du cortex cérébral.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Projection de la sensibilité tactile sur la circonvolution pariétale ascendante (coupe frontale d'un hémisphère).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Aires motrices : voie pyramidale
La voie pyramidale.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Principaux circuits extrapyramidaux.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Coupe longitudinale demi-schématique du diencéphale de rat, destinée à montrer l'emplacement des principaux noyaux et structures hypothalamiques.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Connexions de l'hypothalamus chez le chat
Représentation schématique des principales connexions de l'hypothalamus chez le chat.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Irrigation hypothalamo-hypophysaire
Représentation schématique de l'irrigation hypothalamo-hypophysaire et de ses relations par l'intermédiaire des systèmes vasculaires portes long et court avec les éléments neurosécréteurs hypothalamiques.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Soifs d'origine hyperosmotique et hypovolémique
Diagramme des principaux systèmes et de leurs interréactions dans les contrôles des soifs d'origine hyperosmotique et hypovolémique.
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Schéma figurant l'évolution hypothétique du système nerveux des invertébrés et vertébrés, d'après la théorie de l'orthogone. En
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Méduse : réseau nerveux ectodermique
Éléments du réseau nerveux ectodermique chez un cœlentéré (méduse). Les neurones le composant possèdent deux (neurones bipolaires) ou plusieurs (neurones multipolaires) prolongements identiques. On ne peut distinguer les dendrites des axones.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Neurone unipolaire « vrai » d'invertébré. On voit que les prolongements dendritiques y naissent de l'axone et non du soma.
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Métazoaires : arbre généalogique
Arbre généalogique de l'ensemble des métazoaires. Les filiations supposées ou hypothétiques sont figurées en tireté, auquel est adjoint un point d'interrogation.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Vertébrés : vésicules cérébrales embryonnaires
Schéma des trois, puis des cinq vésicules cérébrales embryonnaires d'où provient l'ensemble des structures du système nerveux central de tous les vertébrés.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Représentation schématique du S.N.C. (vue en coupe longitudinale) d'un vertébré inframammalien (a) et d'un mammifère (b).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Hémisphères cérébraux et névraxes d'espèces de vertébrés appartenant aux différentes classes de l'embranchement et montrant le développement progressif et considérable des hémisphères cérébraux.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Motoneurone, redessiné d'après Deiters, qui l'avait isolé par microdissection dans la moelle épinière de bœuf (1865)
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Schéma général d'un neurone (motoneurone) : P, péricaryon ; N, noyau ; D, dendrites ; Ax, axone, avec sa gaine de myéline divisée en segments ; Col., collatérale ; S.I., segment initial de l'axone ; E.R., étranglement de Ranvier ; T, arborisation terminale ; My, gaine de...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Gros nerf : coupe transversale
Schéma de la coupe transversale d'un gros nerf
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Stades successifs (a, b, c) de la formation d'une gaine de myéline, selon Robertson.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Pour recueillir le potentiel d'action d'un nerf ou d'un axone isolé : dispositif d'électrodes stimulatrices
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Diagramme figurant une micro-électrode de verre pénétrant dans une cellule nerveuse (1→ 2) et démasquant ainsi le potentiel de repos (PR). Un potentiel d'action (PA), engendré par une stimulation S, apparaît après une conduction, soit antidromique (3), soit orthodromique...
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Fibre de calmar : variation de potentiel
La variation de potentiel ▵V est imposée à l'axone (fibre géante de calmar) dans un sens qui devrait faire sortir le courant. Cependant celui-ci, I, commence par entrer (courbe du bas). Cet effet paradoxal disparaît lorsque le milieu extracellulaire est privé d'ions...
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Deux séquences d'impulsions nerveuses provenant du même neurone de l'écorce cérébrale et ceptées extérieurement à la cellule. En haut, exemple d'activité spontanée. En bas, exemple d'une modulation de cadence, imputable à l'intervention d'une excitation sensorielle passagère...
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Mollusque : impulsions nerveuses
Impulsions nerveuses provenant d'un neurone ganglionnaire de Mollusque (Aplysia) et captées à l'intérieur de la cellule.
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Mammifère : impulsions nerveuses
Enregistrements intracellulaires d'impulsions nerveuses dans deus régions activées d'un cerveau de Mammifère : (a) : pacemaker du type « à relaxation » (D. Albe-Fessard, 1970) et (b) : pacemaker du type « à ondes lentes » (Lux et Klee, 1963).
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Trois aspects caractéristiques dissociés de l'état électrique instantané d'une fibre nerveuse (représentée par un demi-cylindre) en train de propager l'influx : flux de courant, onde de potentiel, charges membranaires. Le trait tireté dans les figures du haut et du bas...
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Expérience de Huxley et Stämpfli
L'axone isolé, dont on a figuré les manchons de myéline, ne conduit plus l'influx provoqué par le stimulateur S lorsque le pont conducteur amovible P est enlevé : aucun potentiel d'action n'est détecté par l'oscillographe relié à l'amplificateur A (expérience de Huxley...
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Potentiels d'action globaux recueillis sur une racine dorsale de la moelle d'un chat à 5 cm du point de stimulation. A gauche : nerf d'origine musculaire, stimulation faible, seules les fibres du groupe I ont été excitées. A droite : nerf complexe, stimulation forte, dissociation...
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Caractéristiques différentielles des trois grands types de fibres.
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Schéma des principales opérations fonctionnelles du neurone
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Système nerveux : composition chimique
Composition chimique du système nerveux exprimée en pourcentage (d'après J. N. Kanfer, in «The Encyclopedia of Biochemistry», 1967).
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Les protéines-kinases du cerveau.
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Systèmes activateur, inhibiteur et facilitateur
Systèmes participant à la veille, au tonus musculaire et aux émotions.
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Contrôle du tonus musculaire
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Métabolisme de la 5-hydroxytryptamine
Métabolisme de la 5-hydroxytryptamine
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Lieu d'action des émétisants centraux
Lieu d'action des émétisants centraux
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Zones rhinencéphaliques humaines
Diagramme des principales zones rhinencéphaliques humaines, coupe sagittale (d'après B. Rybak, in « Cours de zoophysiologie », tome II, 1962, Paris)
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Principales connexions striées. Le circuit sous-cortical strié comporte des neurones thalamo-caudés (de Th vers NC), caudo-putaminaux (de NC vers Pu). Le putamen (Pu) est intimement relié au pallidum (Pa). C'est du pallidum que partent les principales voies efférentes vers...
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Métabolisme de la noradrénaline
Métabolisme de la noradrénaline
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Schéma de l'innervation sympathique. Les neurones pré- et postganglionnaires s'articulent soit dans un ganglion de la chaîne sympathique (A), soit dans un ganglion de plexus (B) (d'après G. Morin).
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Effecteurs orthosympathiques et parasympathiques
Organisation des effecteurs orthosympathiques et parasympathiques. En bleu, le système orthosympathique avec l'origine spinale des fibres préganglionnaires et l'origine des fibres postganglionnaires, soit au niveau des ganglions de la chaîne paravertébrale (à gauche sur...
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Schéma de l'expérience de Loewi. En haut, système de perfusion des cœurs : R, cœur receveur ; D, cœur donneur, dont le nerf vague peut être stimulé électriquement. Les contractions des deux cœurs sont enregistrées, respectivement, en R′ et D′. Lors de la stimulation vagale...
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Réponses des organes effecteurs à des messages végétatifs
Nature des réponses des organes effecteurs à des messages végétatifs.
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Réponses des organes effecteurs à des messages végétatifs
Nature des réponses des organes effecteurs à des messages végétatifs.
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Voies parasympathiques et orthosympathiques
Organisation des voies effectrices parasympathiques et orthosympathiques (d'après E. Gardner, « Fundamentals in Neurology », Philadelphie, 1964)
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La transmission adrénergique. Schéma d'une terminaison adrénergique et de son effecteur avec les lieux de synthèse et de destruction de la noradrénaline. Les chiffres encerclés indiquent les points d'intervention de divers agents neuropharmacologiques ; ces mêmes chiffres...
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Mécanismes de transmission cholinergique
Modèle proposé pour les mécanismes de transmission cholinergique au niveau des ganglions orthosympathiques. Ce schéma comporte l'indication des lieux d'action de l'
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Chat : centres presseurs et dépresseurs
Localisation des centres presseurs (foncé) et dépresseurs (clair) dans le tronc cérébral du chat. Les coupes frontales A, B, C correspondent, respectivement, aux niveaux I, II et III du schéma D (d'après Alexander, in « Journ. Neurophysiol. », 1946).
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Mise en place de l'hypothalamus en projection sur le plan sagittal médian (d'après Sawyer, in Field, Magoun et Hall, 1960)
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Hypothalamus : connexions avec l'encéphale
Schéma résumant les connexions de l'hypothalamus avec les structures de l'encéphale (d'après G. Raisman, « British Medical Bulletin », 1966)
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Hypothalamus : connexions avec l'aire limbique
Schéma des connexions bidirectionnelles de l'hypothalamus avec l'aire limbique mésencéphalique et les structures limbiques du cerveau antérieur (d'après C. Galambos, « Handbook of Physiology »)
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Facteurs de libération hypophysiotrope
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Relations hypothalamo-hypophysaires
Schéma des relations hypothalamo-hypophysaires. Noter, à partir des noyaux hypothalamiques, les projections soit directes pour l'hypophyse postérieure (lobe nerveux), ou utilisant le maillon de la circulation porte (réseau capillaire primaire, vaisseaux portes, réseau capillaire...
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Système hypothalamo-hypophyso-endocrinien
Le système hypothalamo-hypophyso-endocrinien. Cette figure indique la place de l'hypothalamus dans cet ensemble organisé en boucle : l'organe de commande, l'hypothalamus, est recontrôlé par les hormones dont il a déclenché la sécrétion (d'après J. Szentagothai, B. Flerko,...
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Voies centrales dans les régulations circulatoires
Trajet des voies centrales impliquées dans les régulations circulatoires (cardiaque et musculaire) de la réaction de défense et d'alarme. Noter l'origine corticale (Co), hypothalamique (H) et tegmentale mésencéphalique (Teg) de ces voies et le fait qu'elles n'empruntent...
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Système neurovégétatif : organisation
Schéma de l'organisation du système neurovégétatif lors de son implication dans une régulation de grande fonction (par exemple les régulations cardio-vasculaires). Noter les différents étages du système nerveux central impliqués dans la régulation et les interrelations...
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Dans toutes les molécules apparentées à la morphine, la distance d et l'angle a sont du même ordre. Lorsque le pont CH
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Séquence de la méthionine-enképhaline
Séquence de la méthionine-enképhaline (met-E). Dans la leucine-enképhaline (leu-E), la méthionine est remplacée par la leucine.
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Téléostéen : mécanismes nerveux et hormonaux
Diagramme des mécanismes nerveux et hormonaux mis en jeu dans le contrôle des mélanophores d'un Téléostéen (d'après Scharrer).
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Évolution possible de l'accroissement de complexité du système nerveux primitif, du myoépithélium au réseau nerveux. a : Myoépithélium (transmission électrique de cellule à cellule). b : Le même, avec différenciation d'un récepteur et d'un effecteur spécialisés. c : La...
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Objectivisme et fonctionnalisme
Classification des sensibilités en fonction des deux critères: objectiviste et fonctionnaliste.
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Dispositifs transducteurs-codeurs
Les trois types de dispositifs transducteurs-codeurs.
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Exemples de récepteurs de type ciliaire (d'après Thurm, 1968).
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Étapes de l'excitation sensorielle
Les différentes étapes de l'excitation sensorielle. T, site transducteur ; G, site générateur de potentiels d'action, dans le cas le plus simple (cf. fig. 4 I).
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Sommeil-rêve-éveil selon le degré de maturité nerveuse
Importance relative chez l'animal des états de vigilance (d'après D. Jouvet-Mounier, 1968).
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Potentiels de plaque motrice (P.P.M.) recueillis sur une seule fibre musculaire pendant la stimulation de son rameau nerveux : avant (a) et au cours d'une curarisation progressive (b et c) qui bloque l'action excitatrice de l'acétylcholine (d'après S. Kuffler, 1942).
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Potentiels lents (P.R.D.) captés sur un filet de racine dorsale de moelle. Ils reflètent les activités synaptiques centrales produites par un, puis plusieurs (sommation) influx élémentaires naturels provenant d'une légère piqûre de la peau d'une grenouille (cliché original...
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Potentiels postsynaptiques intracellulaires
Potentiels postsynaptiques intracellulaires d'un neurone moteur, précédés (flèches) par les P.A. afférents captés, très déformés, par l'électrode intracellulaire. En haut : à gauche, effet dépolarisant ; à droite, effet hyperpolarisant. En bas : à gauche, la stimulation,...
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Schéma de deux types de neurones empalés par une micro-électrode (m). Ils illustrent les types courants de contacts dans les organisations polysynaptiques. A gauche, soma d'un motoneurone de la moelle revêtu de boutons synaptiques, terminaisons de liaisons directes (1)...
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Représentation semi-schématique d'un fuseau neuromusculaire
Représentation semi-schématique d'un fuseau neuromusculaire. On notera en particulier la portion équatoriale du fuseau, dépourvue de striation, riche en noyaux et recevant la terminaison d'une fibre sensitive myélinisée de gros diamètre (fibre l
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Schéma de la boucle ɣ, élément essentiel du contrôle du tonus musculaire. Les motoneurones ɣ, dont l'activité est sans cesse soumise à l'action des centres nerveux supramédullaires, amènent la contraction de la partie striée des fibres du fuseau. Ainsi se trouvent stimulées...
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Sommeil-rêve-éveil : endormissement et sommeil lent (d'après Valatx, 1995).
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dessin

Sommeil-rêve-éveil : endormissement et sommeil lent (d'après Valatx, 1995).
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Sommeil-rêve-éveil : stimulation de l'éveil
Crédits : CNRS, Université Claude Bernard Lyon I
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Réponses des organes effecteurs à des messages végétatifs
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tableau

Réponses des organes effecteurs à des messages végétatifs
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tableau

Sommeil-rêve-éveil selon le degré de maturité nerveuse
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graphique