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PARKINSON MALADIE DE

Articles

  • PARKINSON MALADIE DE

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    La maladie de Parkinson consiste en l’association plus ou moins complète d’un ensemble de signes cliniques : ralentissement à l’initiation et à l’exécution d’un mouvement, tremblement au repos qui cesse dès l’initiation du mouvement, rigidité progressive du corps menant à la perte complète de la ...

  • HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX

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    • 8 médias
    On décrit ainsi une entité nosologique, lamaladie de Parkinson, caractérisée par une rigidité (qui diffère de la spasticité hémiplégique), une hypokinésie, c'est-à-dire un appauvrissement des mouvements spontanés (faciès figé, mouvements rares et lents, absence de certains automatismes)...
  • MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES

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    Lamaladie de Parkinson est la deuxième cause de MND ; elle est due à la dégénérescence d'une population de neurones qui sont situés dans la substance noire mésencéphalique et qui produisent un neurotransmetteur, la dopamine. Elle touche plus de 2 p. 100 des sujets de plus de 65 ans, et on dénombre en...
  • MICROBIOME HUMAIN

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    ...maladies et de leur évolution. On ne connaît pas vraiment leur étiologie, mais des facteurs environnementaux sont régulièrement invoqués. Dans le cas de la maladie de Parkinson, depuis le début des années 2010, un faisceau de données corrèle fortement l’évolution de la maladie à une inflammation chronique...
  • NERVEUX (SYSTÈME) - Neurobiologie

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    Au niveau des noyaux gris centraux (thalamus, corps strié), certaines substances permettent d'améliorer les troubles de lamaladie de Parkinson, causés par des lésions du locus niger (fig. 5). La constatation que les substances antiparkinsoniennes sont des parasympatholytiques avait conduit à...
  • NEUROLOGIE

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    ...chronique et les dégénérescences hépato-lenticulaires sont des maladies familiales et seront décrites comme telles (cf. infra, Les maladies familiales) ; mais la maladie de Parkinson, par sa fréquence, par sa gravité, par l'importance des travaux qu'elle a suscités et par la découverte de l'importance de...
  • NEUROPLASTICITÉ

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    Le terme neuroplasticité désigne les facultés de réorganisation que l'on a mis en évidence dans le système nerveux. Elles sont dues à l'existence de cellules restées indifférenciées qui peuvent remplacer des neurones détruits accidentellement ou à la suite de dégradation métabolique ou infectieuse....

  • PARKINSON JAMES (1755-1824)

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    Médecin, mais aussi activiste politique et géologue, James Parkinson a décrit la « paralysie agitante » (shaking palsy) comme une entité nosographique en 1817. En 1876, le neurologue Jean-Martin Charcot la renommera « maladie de Parkinson », en hommage à celui qui la décrivit pour la première...

  • RÉSEAUX DE NEURONES (biologie)

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    ... s’est proposé de préciser les éléments déterminants du réseau de neurones impliqué dans le traitement par stimulation cérébrale profonde de la maladie de Parkinson, sur un modèle murin de la maladie. Les auteurs ont démontré sur l’animal que l’effet thérapeutique de la stimulation à haute fréquence...
  • SÉROTONINE

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    Des dosages post mortem ont montré que, dans les noyaux gris de la basechez les parkinsoniens, les concentrations en dopamine et en 5-HT sont faibles. La thérapeutique qui fait appel à la L-dopa suscite parfois l'apparition de dépression aiguë. L'inhibition de la synthèse de la sérotonine par ce...
  • TECHNIQUES DE STIMULATION CÉRÉBRALE

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    Dans la maladie de Parkinson, les zones principalement implantées sont le noyau sous-thalamique, le pallidum interne ou le noyau intermédiaire du thalamus. Dans la dépression, les électrodes stimulent le cortex cingulaire antérieur, alors que dans l’anorexie mentale, on vise le cortex cingulaire subcallosal....
  • VIEILLISSEMENT

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    La maladie de Parkinson survient entre cinquante-cinq ans et soixante-dix ans. Elle se manifeste par un tremblement de repos, une rigidité des membres et une dégradation des activités motrices (akinésie). Elle est causée par la détérioration et la disparition des neurones dopaminergiques (qui synthétisent...