Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

WELLES ORSON (1915-1985)

  • Article mis en ligne le
  • Modifié le
  • Écrit par

Bibliographie (mise en scène)

Citizen Kane, 1941 ; La Splendeur des Amberson, 1942 ; Le Criminel, 1945 ; La Dame de Shanghai, 1945 ; Macbeth, 1948 ; Othello, 1952 ; Monsieur Arkadin (Dossier secret), 1955 ; La Soif du mal, 1958 ; Le Procès, 1962 ; Falstaff, 1965 ; Une histoire immortelle, 1968 ; Vérités et Mensonges, 1974 ; Le Tournage d'Othello, 1981.

Bibliographie

O. Welles, Une grosse légume (V.I.P. [Very Important Person], 1952), trad. par M. Bessy, Paris, 1953 ; Monsieur Arkadin (Mr. Arkadin, 1955), trad. et adapt. par M. Bessy, Paris, 1955. Scénarios publiés dans L'Avant-scène cinéma : Citizen Kane, no 11, 1962 ; Le Procès, no 23, 1963 ; Histoire immortelle, no 291-292, 1982 ; La Soif du mal, no 346-347, 1986.J.-C. Allais, Orson Welles, Lyon, 1961

A. Bazin, Orson Welles, Préf. J. Cocteau, Paris, 1950 ; Préf. A. Labarthe, Paris, 1972

J.-P. Berthomé, Orson Welles au travail, Cahiers du cinéma, Paris, 2006

M. Bessy, Orson Welles, Paris, 1980

Les Cahiers du Cinéma, no hors série sur Orson Welles

P. Bogdanovich, Conversation with Orson Welles, Forth-Coming, 1971

P. Cowie, The Cinema of Orson Welles (avec importante bibliographie), Londres-New York, 1965

M. Estève dir., « Orson Welles, l'éthique et l'esthétique », in Études cinématographiques, nos 21 et 25, Paris, 1963

R. France, The Theater of Orson Welles, New Jersey, 1977

R. Gottesman, Focus ou Citizen Kane, Englewood Cliffs (N.J.), 1971

Y. Ishaghpour, Orson Welles cinéaste : une caméra visible, 3 vol., La Différence, Paris, 2001

J. McBride, Orson Welles

P. Mereghetti, Orson Welles, Cahiers du cinéma, Paris, 2007

P. Noble, Orson Welles le Magnifique (The Fabulous Orson Welles, 1956), trad. abrégée M.-C. Panzani, Paris, 1957.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

  • : docteur ès lettres, professeur à l'université de Paris-V-René-Descartes, critique de cinéma

Classification

Pour citer cet article

Jean COLLET. WELLES ORSON (1915-1985) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Article mis en ligne le et modifié le 21/03/2024

Médias

Citizen Kane, O. Welles - crédits : Keystone/ Hulton Getty

Citizen Kane, O. Welles

<it>La Dame de Shanghai</it>, d'O. Welles, 1945 - crédits : Robert Coburn Sr./ John Kobal Foundation/ Moviepix/ Getty Images

La Dame de Shanghai, d'O. Welles, 1945

Autres références

  • CITIZEN KANE, film de Orson Welles

    • Écrit par
    • 934 mots
    • 2 médias

    Premier long-métrage d'un wonder boy de vingt-cinq ans, Citizen Kane est un film atypique pour des raisons multiples. Bien que débutant dans le cinéma, Orson Welles (1915-1985) obtient de la RKO un contrat exceptionnel qui lui donne le contrôle du film, alors que, dans le système des studios...

  • CITIZEN KANE (O. Welles), en bref

    • Écrit par
    • 213 mots
    • 1 média

    Connu pour ses mises en scène peu conformistes de Shakespeare et pour l'immense panique provoquée par son adaptation radiophonique de La Guerre des mondes, de H. G. Wells, un jeune homme de vingt-cinq ans, Orson Welles (1915-1985), obtient de la R.K.O. un contrat exceptionnel, qui lui laisse...

  • CINÉMA (Aspects généraux) - Histoire

    • Écrit par , et
    • 21 694 mots
    • 41 médias
    Le coup de force de Citizen Kane (1941) sera aussi déterminant pour les vingt années à venir que celui, en son temps, de Naissance d'une nation. En 1915 s'affirmait l'unité américaine ; en 1941, cette unité se brise en la personne d'un Américain exemplaire. Le journaliste qui enquête sur la...
  • CINÉMA (Réalisation d'un film) - Mise en scène

    • Écrit par
    • 4 776 mots
    • 10 médias
    C'est avec Orson Welles et Citizen Kane que l'on situe généralement l'accession de la mise en scène à la modernité. L'utilisation systématique du plan-séquence et de la profondeur de champ transforme largement les données du cinéma hollywoodien : le montage perd son invisibilité et le spectateur retrouve...
  • CINÉMA (Réalisation d'un film) - Montage

    • Écrit par
    • 3 665 mots
    • 9 médias
    Contrairement à ce que l'on pouvait attendre, le montage ne disparut pas avec la nouvelle vague, fille de Bazin et de Rossellini. Orson Welles, dans son film manifeste, Citizen Kane (1941), utilisait déjà aussi bien le plan-séquence et la profondeur de champ mais aussi toutes les ressources anciennes...
  • CINÉMA (Réalisation d'un film) - Photographie de cinéma

    • Écrit par
    • 4 334 mots
    • 6 médias
    En 1941, avec son opérateur Gregg Toland, Orson Welles (Citizen Kane) revenait à la fois à un certain expressionnisme de la lumière, mais en transformait le sens totalitaire par le recours au plan-séquence et surtout à la profondeur de champ. Ce dernier procédé, le plus important, permettait, à l'aide...
  • Afficher les 11 références