HORLOGERIE
Depuis des millénaires, l'homme s'est préoccupé de la mesure du temps qui règle ses activités. À l'origine, c'est l'observation directe du Soleil qui permit de connaître l'heure, soit par la longueur de l'ombre portée par un style vertical, le gnomon, soit par la direction de cette ombre, au moyen du cadran solaire, dont le style est parallèle à l'axe du monde. Ces appareils servaient à la détermination de l'heure locale.
Environ 3 000 ans avant J.-C., sont apparues en Égypte les clepsydres, ou horloges à eau ; plus tard, au quatorzième siècle de notre ère, les sabliers sont couramment utilisés. Ces appareils mesurent le temps par l'écoulement d'un fluide, eau ou sable. Ils ne permettent pas de déterminer l'heure mais servent à sa conservation durant un temps plus ou moins long. Il s'agit donc en fait des premiers garde-temps. La précision de tels instruments est toujours très faible, mais suffisante si le temps mesuré est court. Les sabliers ne sont plus guère utilisés de nos jours qu'à titre décoratif ou pour certains emplois ménagers.
On appelle communément horloge, un dispositif entièrement mécanique où l'écoulement continu du fluide est remplacé par le mouvement discontinu d'un rouage à roues et pignons dentés ; l'énergie est fournie par un poids et restituée par petites impulsions discrètes à un organe, l'échappement, agissant lui-même sur un régulateur, le pendule. Dans les montres et les horloges transportables, le poids moteur est remplacé par un ressort enroulé en spirale et le pendule par le système balancier-spiral.
Quand Galilée eut établi les lois du mouvement du pendule, il entrevit la possibilité d'en faire un régulateur mais c'est à Christiaan Huygens que revient l'honneur d'avoir créé en 1657 la première horloge à pendule pesant et, en 1675, la première montre à résonateur balancier-spiral.
Dès le xviie siècle, on a cherché à utiliser les horloges pour la détermination de la longitude en mer. En 1762, John Harrison gagna le prix du Parlement britannique, décerné au savant qui donnerait une solution à ce problème, avec sa « montre marine no 4 » dont le retard, lors de son premier voyage en Jamaïque, ne dépassa pas cinq secondes en deux mois, soit environ 1′ 15″ en longitude.
Dès l'apparition des horloges, des mécaniciens, qui n'étaient pas encore horlogers, puis les savants les plus éminents se sont attachés à les perfectionner en augmentant leur précision et surtout en rendant leur marche indépendante des influences extérieures.
Tout au long des siècles il a fallu, pour mettre en pratique les découvertes des physiciens, pour tirer parti des calculs des mathématiciens et utiliser les alliages des métallurgistes, toute l'habileté des mécaniciens, puis des horlogers. On peut mentionner parmi les plus célèbres John Harrison, John Arnold, Ferdinand Berthoud, Pierre Le Roy, Abraham-Louis Breguet et Antide Janvier.
Dans l'échelle des durées, l'horlogerie se borne à un domaine extrêmement étroit, en relation avec ce que l'homme perçoit directement. Les instruments horaires fabriqués par l'industrie de l'horlogerie courante (montres, horloges, pendules, dispositifs pour chronométrages et pour applications industrielles) étaient essentiellement mécaniques ou électromécaniques jusque vers 1920-1960, selon leur catégorie. Ce sont maintenant des systèmes électroniques.
Horlogerie mécanique
Différents organes des horloges et des montres
Les quatre éléments essentiels qui constituent dès son invention l'horloge mécanique sont l'organe moteur, le rouage, l' échappement et le régulateur. L'organe moteur était à l'origine uniquement un poids mais, dès le xve siècle, pour les horloges portatives, il fut remplacé par un ressort, lame d'acier enroulée en spirale, enfermé dans un tambour denté, le barillet ; le rouage, à roues et pignons dentés, a deux fonctions : distribution de l'énergie à l'échappement et affichage de l'heure par transmission du mouvement aux aiguilles ; l'échappement fournit l'énergie par impulsions discrètes au régulateur chargé d'assurer la constance de la marche.
Ces quatre éléments, représentés pour la montre dans la figure, sont toujours présents dans chaque pièce d'horlogerie mécanique, qui comporte en outre un cadran et des aiguilles.
Le régulateur était le point faible des premières horloges qui présentaient pourtant un grand perfectionnement par rapport aux dispositifs comptant le temps par l'écoulement d'un fluide. C'était au début le foliot , simple traverse portant deux régules pour ajuster la durée des oscillations. Il ne possédait pas de période propre, celle-ci dépendant de la force fournie par l'échappement ; il s'agissait donc d'oscillations de relaxation. Bien vite, on tenta de pallier partiellement ce défaut en limitant l'amplitude du mouvement du foliot par deux butées élastiques, fabriquées à l'origine avec des soies de porc.
Les savants les plus illustres, surtout au xviie siècle, se sont penchés sur ce problème et ont cherché à réaliser un régulateur ayant sa période propre, c'est-à-dire un résonateur. L'application par Huygens du pendule et du balancier-spiral aux instruments horaires en fit d'emblée des instruments de précision et ouvrit l'ère de la chronométrie (fig. 3).
Stabilisation de la période du résonateur
Les exigences de la précision augmentant sans cesse, on se rendit compte assez rapidement que la période des résonateurs dépendait d'un grand nombre de facteurs extérieurs qu'il fallut peu à peu maîtriser ; ces facteurs sont de deux sortes : ceux qui sont inhérents à la construction et spécialement ceux qui découlent du mode d'entretien du mouvement, c'est-à-dire de l'échappement, et les facteurs extérieurs (cf. infra).
Facteurs inhérents à la construction
On ne parlera ici que de l'échappement, organe chargé de fournir l'énergie nécessaire à entretenir le mouvement du résonateur, faute de quoi les oscillations de celui-ci iraient en s'amortissant jusqu'à l'arrêt. La théorie montre que la perturbation apportée par l'échappement à la période du résonateur est minimale lorsque l'impulsion est de courte durée et qu'elle a lieu au voisinage de la position d'équilibre, le résonateur oscillant librement le reste du temps.
L'échappement à verge et roue de rencontre, inventé il y a près de six siècles, est loin de remplir ces conditions ; son fonctionnement est indiqué sur la figure. Il se compose de deux palettes montées sur une verge, qui viennent alternativement en contact avec les dents de la roue d'échappement (roue de rencontre). Le foliot monté à l'extrémité de la verge est donc en contact constant avec l'échappement. Le fait de remplacer le foliot par un résonateur à période propre ne supprime aucun défaut de l'échappement ; les oscillations ne sont pas isochrones, c'est-à-dire qu'elles dépendent de l'amplitude. Cependant, vu sa simplicité, cet échappement a été utilisé jusque vers le milieu du xixe siècle dans les horloges d'appartement ; certaines d'entre elles, malgré plus de deux cents ans d'âge, assurent encore un service régulier (horloges comtoises, pendules neuchâteloises).
Plusieurs centaines de types d'échappement ont été imaginés depuis l'invention de l'échappement à verge et roue de rencontre ; ils tendaient tous à remédier au défaut d'isochronisme. Les deux systèmes les plus utilisés sont encore aujourd'hui : l'échappement à repos de George Graham pour les horloges à pendule et l'échappement libre à ancre pour les montres.
Dans l'échappement à repos l'impulsion est de courte durée et a lieu au voisinage de la position d'équilibre du pendule. Le frottement pendant l'arc supplémentaire est réduit au minimum par l'emploi de palettes en rubis. Dans l'échappement libre à ancre, la roue d'échappement agit sur le balancier par l'intermédiaire d'une pièce, l'ancre : sur l'ancre proprement dite, deux palettes en rubis s'engagent alternativement dans les dents de la roue d'échappement ; l'autre extrémité porte la fourchette dans laquelle pénètre la cheville, doigt en rubis porté par le balancier. Cet échappement remplit les conditions théoriques : impulsion de courte durée au voisinage de la position d'équilibre du balancier, celui-ci oscillant librement et sans contact avec l'échappement pendant l'arc d'oscillation supplémentaire.
Facteurs extérieurs
Les solutions trouvées pour réduire l'influence des facteurs extérieurs diffèrent selon qu'il s'agit du pendule ou du système balancier-spiral.
Le pendule
La période d'oscillation du pendule est donnée par la formule :
Cette formule montre d'abord que la période augmente avec l'amplitude, ce qui est un grave défaut de ce type de résonateur ; l'horloge retarde lorsque l'amplitude augmente et, à la limite, la période tend vers l'infini lorsque l'amplitude tend vers 180 degrés.
Comme en général l'amplitude est faible, on se contente des deux premiers termes de la parenthèse et l'on écrit, en confondant le sinus et l'arc exprimé en radians :
En outre, la formule générale montre que la période dépend de la latitude par l'intermédiaire de g : une horloge réglée à l'équateur avance de 226 secondes par jour au pôle ; la période dépend aussi de la pression barométrique, d'où la nécessité de faire une correction de poussée de l'air, et enfin de la température, à cause des dilatations. Ce dernier facteur est le plus important. La longueur du pendule augmente quand la température s'élève ; avec une tige en acier, une horloge retarde de 0,5 seconde par jour quand la température augmente de 1 0C. En 1715, G. Graham a réalisé la compensation avec un pendule dont la lentille creuse était remplie de mercure. Lorsque la température s'élève, la tige du pendule s'allonge, ce qui abaisse le centre de gravité, mais le mercure se dilate vers le haut et le fait remonter. L'acier se dilatant environ cinq fois moins que le mercure, en dosant judicieusement ce dernier on peut maintenir constante la longueur active a du pendule dans les limites des températures usuelles. C'est l'un des premiers exemples connus de mécanisme d' autorégulation.
Le pendule à gril bimétallique proposé par J. Harrison en 1753 est fondé sur la différence de dilatation entre deux métaux. La tige du pendule est formée de plusieurs tringles alternativement en acier et en laiton assemblées de telle façon que les unes se dilatent vers le bas, les autres vers le haut. Cette technique est analogue à la précédente mais le pendule est plus robuste et plus facilement transportable.
Il a fallu cependant attendre plus de deux siècles après l'invention du pendule pour que soit trouvée la solution définitive au problème de la compensation thermique grâce aux travaux de Charles-Édouard Guillaume, qui créa en 1897 l' invar, alliage de fer et de nickel à 36 p. 100 de nickel, dont le coefficient de dilatation linéaire est, à la température ambiante, près de dix fois plus petit que celui de l'acier. Le faible résidu de dilatation est compensé en faisant reposer la masse du pendule sur un court cylindre en laiton fixé au bas de la tige et se dilatant vers le haut. Cette solution fut adoptée pour toutes les horloges astronomiques à pendule jusqu'à leur remplacement par les horloges à quartz.
Pour les amplitudes très petites et en supposant la masse du pendule réduite à un point, la période est celle du pendule simple : T = 2π (l/g)1/2, où l est la longueur du pendule. La période est alors indépendante de la masse, ce qui est approximativement le cas pour le pendule composé ordinaire. On remarque également que la longueur du pendule battant la seconde (période de deux secondes) est d'environ un mètre.
Résonateur à balancier-spiral
La période du balancier est de la forme :
Cette condition n'est cependant que partiellement réalisée, d'une part parce que le module d'élasticité varie avec l'amplitude, c'est-à-dire que le couple n'est pas rigoureusement proportionnel à la déformation, d'autre part parce que l'échappement, pour les raisons indiquées à propos du pendule, perturbe la période du résonateur. Or, dans la montre où l'énergie est fournie par un ressort, dont la puissance décroît lorsqu'il se détend, ce défaut est particulièrement accusé.
Différents dispositifs ont été utilisés pour maintenir la force motrice, donc l'amplitude, constante. Le plus efficace est la fusée, déjà utilisée par Léonard de Vinci, et qui s'est maintenue jusqu'au xxe siècle dans les chronomètres de marine mécaniques.
La fusée est un corps de révolution de rayon variable entraîné par une chaînette enroulée sur le tambour du barillet qui contient le ressort. Ce dernier agit sur le petit rayon de la fusée lorsqu'il est complètement armé, puis sur des rayons croissant au fur et à mesure qu'il se détend. Le couple transmis est constant si le profil de la fusée est bien calculé.
Les principaux facteurs extérieurs agissant sur la période du résonateur balancier-spiral sont : la pesanteur, la température, la pression barométrique, le champ magnétique.
Lorsque l'axe du balancier est vertical (montre en position horizontale), l'accélération de la pesanteur est sans influence sur la marche. Par contre, lorsque l'axe est horizontal (montre verticale) et si le balancier n'est pas parfaitement équilibré, un couple provenant de la pesanteur s'ajoute au couple de rappel du spiral et crée un défaut d'isochronisme. Le balancier doit donc être très bien équilibré. Simultanément, la pesanteur agit sur le spiral dont il n'est pas possible de maintenir pendant tout le mouvement, sans artifice particulier (courbes terminales), le centre de gravité sur l'axe du balancier.
La température agit non seulement sur les dimensions du balancier et du spiral, mais surtout sur le module de Young E de ce dernier, entraînant un retard d'environ onze secondes par jour lorsque la température augmente de 1 0C.
Pour soustraire la marche des montres à cette influence, différents moyens ont été utilisés. On a cherché par exemple à compenser les variations de E par des variations, dans le même sens, de la longueur du spiral (Harrison, 1750 ; Berthoud, 1763) ou du moment d'inertie du balancier (Le Roy, 1751). Le balancier bimétallique dû à cet éminent chronométrier est encore utilisé dans les horloges décoratives.
Dans ce système la jante du balancier (serge) est une lame bimétallique coupée en deux endroits, proches des bras. À l'extérieur se trouve le métal le plus dilatable, le laiton ; à l'intérieur, le métal le moins dilatable, l'acier. Quand la température s'élève, les deux lames s'incurvent vers l'intérieur et le moment d'inertie du balancier diminue, compensant la variation dans le même sens du module d'élasticité. La compensation est ajustée par des vis fixées sur la jante et que l'on rapproche plus ou moins de l'extrémité libre des deux lames bimétalliques.
Malgré les perfectionnements apportés à la fabrication des balanciers bimétalliques, on ne peut éviter une erreur de compensation, pressentie peut-être par Ferdinand Berthoud (1770) et retrouvée par Dent vers 1830 : une montre munie d'un balancier compensateur bimétallique, réglée à deux températures extrêmes, 0 0C et 36 0C par exemple, avance à la température moyenne.
La différence entre la marche à la température moyenne et la moyenne des marches aux températures extrêmes a reçu le nom d'erreur secondaire. Elle vaut environ 2 secondes par jour. Cette erreur résulte du fait que la correction thermique de la marche apportée par le balancier est linéaire, alors que la correction due au spiral est quadratique. C. E. Guillaume, vers 1900, résolut le problème en associant au laiton du bilame du balancier un acier ferronickel à 44 p. 100 de nickel.
Mais la méthode la plus directe pour soustraire la marche des montres à l'influence de la température est de fabriquer le spiral dans un alliage à coefficient thermoélastique nul. Ce problème de métallurgie fine fut résolu par C. E. Guillaume en 1920, après de nombreux essais. L'alliage dénommé élinvar (élasticité invariable) est un ferronickel au chrome. Son pouvoir compensateur n'est pas rigoureusement nul, mais est ajusté de façon à corriger les seules variations des dimensions du balancier et du spiral. Cette solution très élégante fut utilisée dans presque toutes les montres mécaniques.
Montres spéciales
Parmi les perfectionnements intéressants dus au génie des constructeurs, il faut citer le remontage automatique des montres, qui date de la fin du xviiie siècle, mais qui n'eut son plein succès qu'au moment de la mise au point des montres-bracelets vers 1920. Dans ces montres, une masse oscillante est mise en mouvement par les déplacements du bras et remonte continuellement le ressort moteur, par l'intermédiaire d'un rouage supplémentaire.
Pour les sportifs, il existe les montres-chronographes qui, contrairement à leur appellation, n'inscrivent pas le temps, mais le représentent par la position d'une aiguille que l'utilisateur peut mettre en marche et arrêter sur commande. Souvent, les montres-chronographes sont à « rattrapante ». Dans ce cas, le chronographe porte deux aiguilles qui sont mises en marche simultanément ; une seule peut être arrêtée pour la lecture d'un temps intermédiaire, l'autre continuant à enregistrer le temps total. Lecture faite sur la première aiguille, une pression sur un poussoir la fait rattraper la deuxième aiguille qui « court » toujours. Ce dispositif est utilisé par exemple lorsqu'il y a plusieurs coureurs en ligne, lors d'un départ simultané.
En plus du rouage destiné à entraîner les aiguilles, les horloges de tous temps et les montres, surtout anciennes, se doublent d'un rouage de sonnerie. Comme l'a écrit Pierre Mesnage dans Histoire générale des techniques (1965) « ce mécanisme doit être considéré avec respect, non à cause de son antiquité mais parce que c'est le premier exemple de mécanismes à programme, exécutant une suite de mouvements, tels que chacun d'eux est commandé par le précédent et assure le suivant ; l'automatisme séquentiel est le développement de cette idée ».
Certaines montres à répétition sonnent les heures, les quarts et les minutes. Les horlogers ont laissé libre cours à leur imagination en leur adjoignant parfois un calendrier, souvent perpétuel, qui marque les mois, les jours en tenant compte des années bissextiles, les quantièmes, les phases de la Lune, etc. A.- L. Breguet, vers 1800, a porté au plus haut niveau la qualité et la beauté de ces pièces prestigieuses.
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Écrit par
- Claude ATTINGER : docteur ès sciences physiques de l'Université de Neuchâtel (Suisse), ancien sous-directeur du Laboratoire suisse de recherches horlogères à Neuchâtel, département de chronométrie
- André BEYNER : ingénieur horloger à l'université de Neuchâtel, directeur technique d'Ébauches S.A., ingénieur conseil en microtechnique
Classification
Médias
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- RÉGULATEUR
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- PESANTEUR
- PILES & ACCUMULATEURS
- ÉTALON, métrologie
- TEMPÉRATURE
- CLEPSYDRE
- ÉCHAPPEMENT, mécanisme
- ANCRE, mécanisme
- AUTORÉGULATION
- BALANCIER
- MONTRE
- HARRISON JOHN (1693-1776)
- GRAHAM GEORGE (1673-1751)
- FOLIOT
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