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MAROT CLÉMENT (1496-1544)

Articles

  • MAROT CLÉMENT (1496-1544)

    • Écrit par Pierre JOURDA
    • 1 505 mots
    • 1 média

    Marot poète léger.... Le gentil Marot... Marot amuseur de la cour... Le thème est usé, mais tenace. On le doit à Boileau. Or, le protégé de Marguerite de Navarre a été autre chose. Il a su rire, certes, et faire rire. Mais il a été aussi, et plus souvent qu'on ne le croit, un vrai poète : il...

  • L'ADOLESCENCE CLÉMENTINE, Clément Marot - Fiche de lecture

    • Écrit par Yvonne BELLENGER
    • 905 mots

    L'Adolescence clémentine paraît en 1532 et rassemble les textes de jeunesse du poète. Le recueil frappe par sa diversité. Dans son souci de jouer de toute la gamme du langage, Marot est l'héritier des grands rhétoriqueurs, mais c'est aussi un contemporain des humanistes, un poète de...

  • BLASON, littérature

    • Écrit par Nicole QUENTIN-MAURER
    • 532 mots

    Courant dès le xiie siècle, le terme de blason s'emploie à l'origine avec la signification de : discours, conversation, description, explication, propos. Vers la fin du xve siècle, c'est aussi une sorte de poésie, qui décrit minutieusement, sur le mode de l'éloge ou de la ...

  • FRANÇAISE LITTÉRATURE, XVIe s.

    • Écrit par Frank LESTRINGANT
    • 6 760 mots
    • 3 médias
    La poésie embrasse tout le siècle, une poésie extrêmement variée, qui va de la grande rhétorique au baroque, en passant par la Pléiade. Clément Marot (1496-1544) est plus proche de François Villon, d’un siècle antérieur, qu’il admire et édite, que de Ronsard (1524-1585) ou de du Bellay...
  • MARGUERITE DE NAVARRE (1492-1549)

    • Écrit par Pierre JOURDA
    • 1 450 mots

    Elle a porté quatre noms. Mais qu'on la nomme Marguerite de Valois, d'Angoulême, d'Alençon ou de Navarre, elle reste la reine de Navarre. Et qu'on ne la confonde pas avec une autre Marguerite, la femme d'Henri IV, la reine Margot de gaillarde mémoire ! Sa vie, toute de devoir, de dignité, de dévouement,...

  • ORAISON FUNÈBRE

    • Écrit par Claude THIRY
    • 1 292 mots

    La coutume de louer et donc de pleurer un mort remonte à l'Antiquité : Grecs et Latins possédaient déjà la double tradition lyrique (thrènes ; nénies, élégies) et oratoire (panégyrique collectif ; laudatio funebris individuelle, méprisée par Cicéron pour ses excès). Le...

  • RELIGIEUSE CHRÉTIENNE MUSIQUE

    • Écrit par Jacques PORTE, Edith WEBER
    • 6 022 mots
    • 3 médias
    Entre 1533 et 1543, Clément Marot a déjà fourni cinquante paraphrases (soit quarante-neuf psaumes et le Cantique de Siméon) ; il meurt en 1544, à Turin. Théodore de Bèze assure la relève ; en 1551, il en a terminé trente-quatre, ce qui, avec les paraphrases de son prédécesseur, porte le total à « octante-trois...
  • SCARRON PAUL (1610-1660)

    • Écrit par Antoine ADAM
    • 1 339 mots
    Cette idée d'une poésie qui charme et qui amuse reposait en France sur une grande tradition, celle de Marot. Après une longue période d'obscurcissement, on observe qu'en 1630 elle est en pleine vogue. C'est elle, et non pas Malherbe, qui règne à l' hôtel de Rambouillet. On y écrit des lettres et des...
  • SONNET

    • Écrit par Bernard CROQUETTE
    • 1 037 mots

    Poème à forme fixe de quatorze vers répartis en quatre strophes, le sonnet tient dans la littérature européenne, et notamment française, une place extrêmement importante. On sait qu'« un sonnet sans défaut vaut seul un long poème » (Boileau), et qu'il suffit d'un sonnet pour rendre...