Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

NIẒĀMĪ ou NEZAMÉ DE GANDJE (1140 env.-env. 1202)

Bibliographie

Œuvres de Niẓāmī de GandjeChoix des vers tirés de la Khamsa de Nizami, M.-T. Houtsma éd., Leyde, 1921 ; The Haft Paikar, trad. angl. C. E. Wilson, 2 vol., Londres, 1924 ; Haft Peiker. Ein romantisches Epos des Nizāmī Genǧe'i, H. Ritter et J. Rypka éd., Prague-Paris-Leipzig, 1934 ; Makhzan ol asrār, trad. angl. C. H. Dārāb, Londres, 1945 ; Makhzan al-asrār, éd. crit. A. O. Zade, Bakou, 1960 ; Laila i Madjnun. Kritičeskij tekst, éd. coll., Moscou, 1965 ; Le Roman de Chosroès et Chîrîn, trad. H. Massé, Paris, 1970. Études W. Bacher, Nizamis Leben und Werke, Leipzig, 1872

E.G. Brown, A Literary History of Persia, vol. II, Cambridge, 1938

V. Dastgardi, Kulyyât-è Nizâmî, Téhéran, 1955

S. Naficy, Ahwâl o âçâr, gaçâ'id va ghazalyyât-è Nizâmî-è Gandjavi, Téhéran, 1959

I. Stchoukine, Les Peintures des manuscrits de la « Khamseh » de Nizami, P. Geuthner, Paris, 1977.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

  • : docteur d'État ès lettres, professeur de littérature comparée aux universités de Téhéran, traducteur-expert auprès de la cour d'appel de Paris

Classification

Pour citer cet article

Mohammad Hassan REZVANIAN. NIẒĀMĪ ou NEZAMÉ DE GANDJE (1140 env.-env. 1202) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Autres références

  • LAYLI ET MADJNŪN, Nizami de Gandje - Fiche de lecture

    • Écrit par Marina GAILLARD
    • 940 mots

    Laylī et Madjnūnest le troisième des cinq poèmes du poète persan Nizāmī (1141 env.-env. 1209) dont l'ensemble, réuni postérieurement à la mort de l'auteur, est connu sous le nom de Pandj gandj (Les Cinq Trésors) ou Khamsé (« cinq »). Il s'agit d'un masnavi, forme...

  • MADJNŪN (VIIe-VIIIe s.)

    • Écrit par Sayed Attia ABUL NAGA
    • 416 mots

    Personnage semi-légendaire, surnommé le Madjnūn parce qu'il devient « fou » d'amour, Qays b. Mulawwaḥ appartient à la tribu de Banū ‘Amīr. Il est le type du poète ‘uḏrî qui meurt à cause de son amour malheureux, d'où sa célébrité dans le monde islamique. Son histoire est simple : il aime une...

  • NOUVELLE

    • Écrit par ETIEMBLE, Antonia FONYI
    • 5 148 mots
    ...sont insérées dans une fiction (la peste de Florence, par exemple) qui justifie leur rassemblement. Soit ; mais dès la fin du xiie siècle, en Perse, Nịzamī de Gandje (1140 env.-1202 env.) écrit son Haft Païkar (Les Sept Idoles), recueil de sept histoires, encadrées comme celles de Boccace : sept...

Voir aussi