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HAYDN JOSEPH (repères chronologiques)

31 mars 1732 Franz Joseph Haydn naît à Rohrau-sur-la-Leitha, en Basse-Autriche.

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 49 «La Passion» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 49 «La Passion»

1768 Symphonie no 49, en fa mineur, « La Passion ».

1772 Symphonie no 45, en fa dièse mineur, « Les Adieux » ; Symphonie no 47, en sol majeur.

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 45 «Les Adieux» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 45 «Les Adieux»

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 47 «Palindrome» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 47 «Palindrome»

26 juillet 1773 L'infedeltà delusa, burletta per musica en deux actes sur un livret de Marco Coltellini, sans doute révisé par le chanteur Carl Friberth, est créé à Eszterháza.

Juillet 1777 ? Il Mondo della luna, dramma giocoso en trois actes sur un livret de Carlo Goldoni pour Baldassare Galuppi (1750), est créé à Eszterháza (sa première représentation connue date du 3 août 1777).

25 avril 1779 La Vera Costanza, dramma giocoso en trois actes sur un livret adapté de celui de Francesco Puttini pour Pasquale Anfossi (1776), est créé à Eszterháza.

6 décembre 1782 Orlando Paladino, dramma eroicomico en trois actes sur un livret de Nunziato Porta d'après le Roland furieux de L'Arioste, est créé à Eszterháza.

Haydn, Deuxième Concerto pour violoncelle - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Deuxième Concerto pour violoncelle

1783 Deuxième Concerto pour violoncelle, en majeur.

1785-1786 Six symphonies parisiennes, nos 82 à 87, sur une commande de Claude-François-Marie Rigoley, comte d'Ogny, pour le Concert de la Loge Olympique (loge maçonnique parisienne), parmi lesquelles « L'Ours » (no 82, en ut majeur, 1786), « La Poule » (no 83, en sol mineur, 1785) et « La Reine de France » (no 85, en si bémol majeur, 1785 ?).

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 82 «L'Ours» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 82 «L'Ours»

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 83 «La Poule» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 83 «La Poule»

Haydn, Les Sept Dernières Paroles du Christ en Croix - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Les Sept Dernières Paroles du Christ en Croix

1787 Les Sept dernières paroles du Christ en croix, version originale, pour orchestre de chambre (Musica instrumentale sopra le 7 ultime parole del nostro Redentore in croce, ossiano 7 sonate con un'introduzione ed al fine un terremoto), et version pour quatuor à cordes (Musica instrumentale sopra le 7 ultime parole del nostro Redentore in croce ... ridotte in quartetti) ; révisé en oratorio en 1795 : Die Sieben letzten Worte unseres Erlösers am Kreuze.

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 92 «Oxford» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 92 «Oxford»

1789 Symphonie no 92, en sol majeur, « Oxford ».

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 94 «La Surprise» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 94 «La Surprise»

1791-1795 Douze symphonies londoniennes, nos 93 à 104, parmi lesquelles « La Surprise » (no 94, en sol majeur, 1791), « Le Miracle » (no 96, en majeur, 1791), « Militaire » (no 100, en sol majeur, 1793-1794), « L'Horloge » (no 101, en majeur, 1793-1794), « Roulement de timbales » (no 103, en mi bémol majeur, 1795) et « Londres » (no 104, en majeur, 1795).

Haydn, Symphonie no 96 «Le Miracle»

Haydn, Symphonie no 96 «Le Miracle»

Haydn, Symphonie no 100 «Militaire»

Haydn, Symphonie no 100 «Militaire»

Haydn, Symphonie no 101 «L'Horloge»

Haydn, Symphonie no 101 «L'Horloge»

Haydn, Symphonie no 103 «Roulement de timbales»

Haydn, Symphonie no 103 «Roulement de timbales»

Haydn, Symphonie no 104 «Londres»

Haydn, Symphonie no 104 «Londres»

Haydn, Quatuor à cordes «Erdödy» opus 76, n<sup>o</sup> 2, «Les Quintes» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Quatuor à cordes «Erdödy» opus 76, no 2, «Les Quintes»

1797 Six quatuors à cordes « Erdödy », opus 76, dédiés au comte Joseph Erdödy, parmi lesquels « Les Quintes » (no 76, en mineur), « L'Empereur » (no 77, en ut majeur, dont le deuxième mouvement est bâti sur le thème de Gott erhalte Franz den Kaiser, hymne impérial autrichien achevé par Haydn en janvier 1797) et « Lever de soleil » (no 78, en si bémol majeur).

Haydn, Quatuor à cordes «Erdödy» opus 76, n<sup>o</sup> 3, «L'Empereur» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Quatuor à cordes «Erdödy» opus 76, no 3, «L'Empereur»

Haydn, Quatuor à cordes «Erdödy» opus 76, n<sup>o</sup> 4, «Lever de Soleil» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Quatuor à cordes «Erdödy» opus 76, no 4, «Lever de Soleil»

29 avril 1798 Première audition, privée, de La Création (Die Schöpfung), dans le palais du prince Schwarzenberg, à Vienne, sous la direction du compositeur. Le livret de cet oratorio, inspiré de la Bible et du Paradis perdu de Milton, avait été écrit par un certain Lidley (ou Linley) pour Haendel, qui ne l'a jamais mis en musique ; le baron Gottfried van Swieten le remaniera et le traduira en allemand.

Haydn, La Création: chœur initial - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, La Création: chœur initial

Haydn, La Création: duo final d'Adam et Ève - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, La Création: duo final d'Adam et Ève

1799 Deux quatuors à cordes « Lobkowitz », opus 77, dédiés au prince Joseph Franz Lobkowitz : no 81, en sol majeur, no 82, en fa majeur.

Haydn, Quatuor à cordes «Lobkowitz» opus 77, n<sup>o</sup> 1 - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Quatuor à cordes «Lobkowitz» opus 77, no 1

Haydn, Quatuor à cordes «Lobkowitz» opus 77, n<sup>o</sup> 2 - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Quatuor à cordes «Lobkowitz» opus 77, no 2

24 avril 1801 L'oratorio Les Saisons (Die Jahreszeiten), sur un livret de Gottfried van Swieten d'après un poème de l'Anglais James Thomson, est créé, en privé, dans le palais du prince Schwarzenberg, à Vienne, sous la direction du compositeur. Sa première audition publique intervient le 29 mai, au Burgtheater de Vienne, également sous la direction de Haydn.

Haydn, Les Saisons: Le Printemps - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Les Saisons: Le Printemps

Haydn, Les Saisons: L'Hiver - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Les Saisons: L'Hiver

31 mai 1809 Joseph Haydn meurt à Vienne.

— Alain PÂRIS

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Écrit par

  • : chef d'orchestre, musicologue, producteur à Radio-France

Classification

Pour citer cet article

Alain PÂRIS. HAYDN JOSEPH - (repères chronologiques) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Médias

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 49 «La Passion» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 49 «La Passion»

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 45 «Les Adieux» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 45 «Les Adieux»

Haydn, Symphonie n<sup>o</sup> 47 «Palindrome» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Haydn, Symphonie no 47 «Palindrome»

Autres références

  • LA CRÉATION (J. Haydn)

    • Écrit par Alain PÂRIS
    • 298 mots
    • 1 média

    Transcendant le classicisme, dont il est, avec Mozart, un des deux pôles, Joseph Haydn constitue le principal trait d'union entre la fin de l'ère baroque et les débuts du romantisme. À une époque où le genre de l'oratorio décline, il s'inscrit dans l'héritage de Haendel avec ...

  • CLASSICISME, musique

    • Écrit par Sophie COMET
    • 1 155 mots

    Le terme « classicisme » est un véritable creuset sémantique : d'un point de vue esthétique, il représente une perfection achevée élevée au rang de modèle ; d'un point de vue littéraire et plastique, il correspond à l'Antiquité gréco-latine en tant que fondement de la civilisation et de l'éducation,...

  • CLASSIQUE MUSIQUE DITE

    • Écrit par Marc VIGNAL
    • 923 mots
    • 4 médias

    L'expression « musique classique » recouvre, selon les cas, des réalités fort diverses. La musique « classique » peut s'opposer à la musique dite populaire, légère ou de variété, et comprend alors toute la musique savante (ou sérieuse) européenne, des prédécesseurs de Pérotin aux...

  • CONCERT

    • Écrit par Jacques CHAILLEY, Universalis
    • 2 852 mots
    ...(plus ou moins) pour écouter ; l'un des moments favoris pour ce genre de concert était le repas, et l'on peut présumer par exemple que bien des pages de Haydn et de ses émules, aujourd'hui écoutées avec respect, ont été composées pour servir de bruit de fond au cliquetis des fourchettes du prince Esterházy...
  • FUGUE

    • Écrit par Universalis, PIERRE-PETIT
    • 3 476 mots
    • 2 médias
    Après Bach et Haendel (Lessons pour clavecin), la fugue, qui a trouvé son équilibre classique, rencontre enJoseph Haydn et Wolfgang Amadeus Mozart des artisans attentifs. Trois quatuors de Haydn et le Requiemde Mozart sont là pour prouver que ce genre réputé intellectuel est capable de renfermer...
  • Afficher les 17 références

Voir aussi