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GLUCK CHRISTOPH WILLIBALD VON (repères chronologiques)

2 juillet 1714 Christoph Willibald von Gluck naît à Erasbach, près de Berching, dans le Haut-Palatinat.

1754 Gluck devient directeur du Burgtheater de Vienne.

Gluck, Orfeo ed Euridice, «Chiamo il mio ben così» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Gluck, Orfeo ed Euridice, «Chiamo il mio ben così»

5 octobre 1762 Orfeo ed Euridice (version italienne), azione teatrale en trois actes sur un livret de Ranieri de' Calzabigi, est créé au Burgtheater de Vienne.

26 décembre 1767 Alceste (version italienne), tragedia per musica en trois actes sur un livret de Ranieri de' Calzabigi, est créé au Burgtheater de Vienne.

3 novembre 1770 Paride ed Elena, dramma per musica en cinq actes sur un livret de Ranieri de' Calzabigi, est créé au Burgtheater de Vienne.

19 avril 1774 Iphigénie en Aulide, tragédie en trois actes sur un livret, en français, de Marie François Louis Gand Leblanc, bailli du Roullet, d'après la pièce homonyme de Jean Racine, est créé à l'Académie royale de musique de Paris.

Gluck, Iphigénie en Aulide, ouverture - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Gluck, Iphigénie en Aulide, ouverture

Gluck, Iphigénie en Aulide, «O Diana, Dea spietata» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Gluck, Iphigénie en Aulide, «O Diana, Dea spietata»

Gluck, Orphée et Eurydice, «Danse des Esprits bienheureux» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Gluck, Orphée et Eurydice, «Danse des Esprits bienheureux»

2 août 1774 Orphée et Eurydice (version française), « tragédie-opéra » en trois actes sur un livret de Pierre-Louis Moline, est créé à l'Académie royale de musique de Paris.

Gluck, Alceste (version française), «Divinités du Styx» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Gluck, Alceste (version française), «Divinités du Styx»

23 avril 1776 Alceste (version française), « tragédie-opéra » en trois actes sur un livret de Marie François Louis Gand Leblanc, bailli du Roullet, est créé à l'Académie royale de musique de Paris.

23 septembre 1777 Armide, « drame héroïque » en cinq actes sur un livret, en français, de Philippe Quinault d'après La Jérusalem délivrée du Tasse (livret déjà mis en musique par Lully en 1686), est créé à l'Académie royale de musique de Paris.

Gluck, Iphigénie en Tauride, «Unis dès la plus tendre enfance» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Gluck, Iphigénie en Tauride, «Unis dès la plus tendre enfance»

18 mai 1779 Iphigénie en Tauride, « tragédie » en quatre actes sur un livret, en français, de Nicolas-François Guillard d'après la pièce homonyme de Guymond de la Touche, est créé à l'Académie royale de musique de Paris.

15 novembre 1787 Gluck meurt à Vienne.

1846-1847 Richard Wagner marque son admiration pour la réforme de Gluck en proposant sa révision d'Iphigénie en Aulide, qu'il dirige le 24 février 1847 au Königlich Sächsisches Hoftheater de Dresde.

— Christian MERLIN

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Écrit par

  • : agrégé de l'Université, docteur ès lettres, maître de conférences à l'université de Lille-III-Charles-de-Gaulle, critique musical

Classification

Pour citer cet article

Christian MERLIN. GLUCK CHRISTOPH WILLIBALD VON - (repères chronologiques) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Médias

Gluck, Orfeo ed Euridice, «Chiamo il mio ben così» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Gluck, Orfeo ed Euridice, «Chiamo il mio ben così»

Gluck, Iphigénie en Aulide, ouverture - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Gluck, Iphigénie en Aulide, ouverture

Gluck, Iphigénie en Aulide, «O Diana, Dea spietata» - crédits : CEFIDOM / Encyclopædia Universalis France

Gluck, Iphigénie en Aulide, «O Diana, Dea spietata»

Autres références

  • ALCESTE (C. W. von Gluck), en bref

    • Écrit par Christian MERLIN
    • 226 mots

    Dès Orfeo ed Euridice en 1762, Christoph Willibald von Gluck affiche son ambition : réformer l'opéra. Sclérosé à ses yeux par un siècle d'opera seria italien dévolu à la virtuosité vocale et aux délices du bel canto, au détriment de la vérité dramatique, le genre a besoin d'être...

  • ORFEO ED EURIDICE (C. W. von Gluck)

    • Écrit par Denis MORRIER
    • 1 352 mots

    Cet Orphée fameux est une œuvre fondatrice qu'il est difficile d'appréhender sous un angle unique : Christoph Willibald von Gluck (1714-1787) en laissa deux versions distinctes : Orfeo ed Euridice, « azione teatrale », et Orphée et Eurydice, « drame héroïque » ; ces deux versions...

  • ALTO

    • Écrit par Juliette GARRIGUES
    • 982 mots
    • 8 médias
    ...abandonné à des violonistes manqués. À l'orchestre, par sa position entre le violon et le violoncelle, il a longtemps tenu un rôle de « remplissage ». Christoph Willibald von Gluck sera le premier compositeur à donner à l'alto un rôle original, dans le récit d'Oreste d'Iphigénie en...
  • ANGIOLINI GASPARO (1731-1803)

    • Écrit par Universalis
    • 357 mots

    Chorégraphe, librettiste, compositeur et théoricien italien, Gasparo Angiolini fut l'un des premiers à mêler danse, musique et intrigue dans des ballets dramatiques.

    Né le 9 février 1731, à Florence, Gasparo Angiolini (de son vrai nom Domenico Maria Angelo Gasparini) devient en 1757 maître...

  • BERLIOZ HECTOR (1803-1869)

    • Écrit par Cécile REYNAUD
    • 4 247 mots
    • 3 médias
    ...bibliothèque du Conservatoire de musique (« École royale de musique » sous la Restauration), il peut étudier les partitions de ces opéras, notamment celles de Gluck, auquel Berlioz voue une admiration sans faille, comme le montrent ses efforts pour faire renaître Orphée en 1859 et Alceste en 1861 et 1866. Quand...
  • BOUFFONS QUERELLE DES

    • Écrit par Jacques GHEUSI
    • 1 976 mots
    Le grand vainqueur de la querelle des Bouffons fut, vingt ans après, Gluck. Le premier sur le plan dramatique, sans renier l'apport de Rameau, il apporta à la musique française, avec ses chefs-d'œuvre, les deux Iphigénie, Orphée, Alceste et Armide, ce qu'avaient réclamé les partisans d'un...
  • Afficher les 11 références

Voir aussi