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DONG QICHANG[TONG K'I-TCH'ANG](1555-1636)

Bibliographie

N. I. Wu, « Tung Ch'i-ch'ang : Apathy in Government and Fervor in Art », in Confucian Personalities, éd. A. F. Wright & D. Twitchett, Stanford, 1962 

Wu Yinming, « Dong Qichang yanjiu », in Xin Ya shuyuan xueshu niankan, vol. I, 1959.

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Écrit par

  • : reader, Department of Chinese, Australian National University

Classification

Pour citer cet article

Pierre RYCKMANS. DONG QICHANG [TONG K'I-TCH'ANG] (1555-1636) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Autres références

  • CHINOISE CIVILISATION - Les arts

    • Écrit par Corinne DEBAINE-FRANCFORT, Daisy LION-GOLDSCHMIDT, Michel NURIDSANY, Madeleine PAUL-DAVID, Michèle PIRAZZOLI-t'SERSTEVENS, Pierre RYCKMANS, Alain THOTE
    • 54 368 mots
    • 37 médias
    À la fin de l'époque Ming, un autre grand lettré, Dong Qichang (1555-1636), a exercé, par son œuvre et ses théories esthétiques et critiques, une domination incontestée sur la peinture des lettrés : toute l'orthodoxie picturale de l'époque Qing s'est fondée sur ses principes d'académisme éclectique....
  • DAI JIN [TAI TSIN] (1388-1462) & WU WEI [WOU WEI] (1459-1508)

    • Écrit par Pierre RYCKMANS
    • 1 294 mots
    ...devait plus voir en lui que le premier des « peintres de métier », tandis que Shen Zhou était promu le plus grand des peintres lettrés. Puis survinrent Dong Qichang et sa coterie, qui devaient ruiner définitivement la position de l'école du Zhejiang, attribuant aux seuls lettrés la qualité d'artistes....
  • WANG LES QUATRE (XVIIe s.)

    • Écrit par Françoise DENÈS
    • 4 469 mots
    • 1 média

    Au début de l'époque Qing, l'essor de la peinture chinoise se poursuit dans les provinces du Sud, là où l'attachement à la culture Ming était resté très vivant plus d'une génération après l'installation des Mandchous à Pékin. À côté d'artistes isolés, recherchant une voie personnelle, un grand nombre...

  • WANG MENG (1308 env.-1385)

    • Écrit par Caroline GYSS
    • 1 496 mots

    Quatre grands peintres du xive siècle ont été choisis par les auteurs de la postérité comme les meilleurs représentants de la profonde mutation artistique survenue sous les Yuan, et réunis sous le vocable de « Quatre grands maîtres Yuan ». Ce choix est le fruit d'une longue élaboration qui, au cours...

Voir aussi