Théorie musicale
3636BASSE, musique
Selon qu'un son est engendré par un nombre plus ou moins grand de vibrations à la seconde, nous traduisons la sensation qu'il nous donne par les mots : aigu ou grave, haut ou bas. Ces images ne s'appliquent évidemment qu'à des notions toutes relatives. L'oreille peut reconnaître la hauteur absolue d'un son, mais la musique commence avec les rapports qui s'ét […] Lire la suite
CADENCE MUSICALE
Cadence (en italien cadenza) vient du verbe latin cadere (tomber). La cadence assure la ponctuation de la phrase musicale. Elle produit un effet suspensif ou conclusif. Plusieurs types d'enchaînements sont utilisés pour marquer un repos passager ou définitif :la cadence parfaite (V-I), conclusive, va de la dominante vers la tonique ;la cadence imparfaite (V- […] Lire la suite
CONTINUITÉ, musique
En musique, la notion de continuité s'appuie sur deux visions du temps qui peuvent apparaître contradictoires : dynamique dans la musique dite occidentale, statique en ce qui concerne les musiques orientales.Mais ce paradoxe n'est qu'apparent puisque la continuité est avant tout recherche d'unité, thématique et formelle. Que celle-ci fasse appel au […] Lire la suite
DIAPASON
Dans la théorie de l'ancienne musique grecque, diapason désignait l'intervalle d'octave. Non seulement cette acception a tout à fait disparu, mais le sens actuel de ce terme semble n'en être aucunement dérivé. Apparemment, on a tiré du mot grec ancien l'idée d'une norme permettant à tous les instruments de s'accorder à même hauteur pour p […] Lire la suite
DISCONTINUITÉ, musique
On trouve le concept de discontinuité musicale en action au sein de la polyphonie prétonale (chacune des lignes de la polyphonie étant pensée pour elle-même, en dehors de la « verticalité » de leurs rencontres). Cependant, cette discontinuité ne resurgira véritablement qu'avec la naissance de la musique sérielle, si l'on excepte […] Lire la suite
FRAGMENT, littérature et musique
Avant d'être une question d'ordre littéraire ou artistique, le fragment doit être reconnu comme fait ou comme fait de connaissance. D'un fragment d'os ou de dent on peut déduire toute une anatomie, d'un fragment de papyrus une civilisation. Des restes fragmentaires d'animaux disparus, Georges Cuvier a conclu à des organisations, des systèmes. À partir de la pierre de Rosette, Champollion a établi […] Lire la suite
INTERVALLE, musique
Un intervalle est la distance qui sépare deux sons différents.Le plus petit intervalle du système tempéré est le demi-ton : mi-fa, si-do, sol dièse-la, ré-mi bémol... Un demi-ton estchromatique s'il est formé de deux notes de même nom (do-do dièse, […] Lire la suite
LE ISTITUTIONI HARMONICHE, G. Zarlino
Le compositeur et théoricien italien Gioseffe Zarlino (1517-1590) a joué un rôle fondamental dans ce que l'on peut qualifier de première révolution musicale. Son traité le plus important, Le Istitutioni harmoniche, divise in quattro parti (« Les Institutions harmoniques, divisé en quatre parties »), publié à Venise en 1558, présente une synthèse des différentes théories musical […] Lire la suite
MÉLODIE
La mélodie est l'élément premier de la musique. Premier en ce qu'il en est la manifestation la plus spontanée et la plus naturelle, conjointement avec le rythme, dont on ne peut se passer et qui lui est en quelque sorte consubstantiel – encore qu'il puisse y avoir rythme sans mélodie, mais non mélodie sans rythme. Car c […] Lire la suite
MESURE, musique
Une œuvre musicale s'inscrit dans le temps, et la musique est un art temporel ; l'importance de la perception du temps en musique se comprend aisément si l'on fait une comparaison avec les arts plastiques. En regardant un tableau, on a la possibilité de voir dans l'instant l'ensemble de la toile, donc de prendre con […] Lire la suite
MODULATION, musique
On appelle modulation le passage durable d'une tonalité à une autre, et non pas forcément d'un mode à un autre, contrairement à ce que pourrait laisser croire la terminologie. Si ce passage se limite à très peu d'accords pour revenir à la tonalité initiale, on parle alors d'emprunt. S'il est plus court encore, on opte pour le terme de dominante secondaire, q […] Lire la suite
MOMENTFORM
Le concept musical de Momentform (ou Moment-Form que l'on peut approximativement traduire par « forme momentanée ») est dû à Karlheinz Stockhausen : il oppose à la forme traditionnelle – fondée sur le développement linéaire et dynamique d'éléments thématiques – une préoccupation structurelle postulant l'autonomie, au sein d'une composition, de courts segments temporels – les « […] Lire la suite
MUSICALES (TRADITIONS) - Le fonds musical européen
Les modèles d'échelle que nous trouvons dans la musique populaire européenne de tradition orale sont très nombreux. Les échelles de moins de cinq tons sont les plus fréquentes dans les comptines, alors que les échelles pentatoniques semblent, au contraire, caractériser le système musical de certaines zones ; on les retrouve dans la musique populaire […] Lire la suite
MUSICALES (TRADITIONS) - Musique de l'Inde
Les seules notions retenues ici sont celles dont la connaissance a paru indispensable à une approche de la musique indienne telle qu'elle est pratiquée à l'époque moderne.En prenant pour point de départ un degré tonique désigné par la syllabe sa, les théoriciens de la musique indienne ont procédé à un certain découpage de l'espace sonore : au sein de l'intervalle d'octave, divi […] Lire la suite
MUSICALES (TRADITIONS) - Musiques de l'Asie du Sud-Est
Les échelles théoriques fondamentales en usage dans les pays de l'Asie du Sud-Est ne peuvent être reconstituées par le cycle des quintes comme celles des pays d'Extrême-Orient, ni par l'adjonction des tétracordes comme celles des pays du monde turco-arabo-persan. Elles ont été obtenues par le principe d'égalisation. L'octave est divisée théoriquement en sept parties égales dans la tradition thai-k […] Lire la suite
MUSICALES (TRADITIONS) - Musiques d'inspiration chinoise
Plusieurs musiciens orientaux croient qu'il est de bon ton d'accorder leurs instruments d'après le diapason occidental et certains avouent avec gêne qu'en Extrême-Orient il n'existe pas de diapason. Ils confondent le diapason avec la notion de hauteur absolue.Jacques Chailley, dans son cours Formation et transformations du langage musical […] Lire la suite
OBJET SONORE
Dans le sens que Pierre Schaeffer a donné à ce vocable dès 1952 dans À la recherche d'une musique concrète, puis développé dans son ouvrage fondateur Traité des objets musicaux (1966), l'objet sonore constitue en quelque sorte une extension de la notion de note à […] Lire la suite
PHILIPPE DE VITRY (1291-1361)
Théoricien de la musique, poète et compositeur, le Français Philippe de Vitry naît le 31 octobre 1291, peut-être dans une localité nommée Vitry, en Champagne, peut-être à Paris. Il étudie à la Sorbonne et est ordonné diacre à un très jeune âge. Son premier emploi connu est la charge de notaire de Charles IV le Bel, qu'il […] Lire la suite
POLYRYTHMIE
La polyrythmie est constituée par la superposition de deux ou plusieurs rythmes différents ; les structures rythmiques qui la constituent se déroulent simultanément et indépendamment l'une et l'autre, chacune d'elles présentant soit une mesure différente de celle des parties voisines, soit des décalages d'accents, soit des schèmes rythmiques irréductibles entre eux, soit des tempi […] Lire la suite
RYTHME
« Ce mot rythme ne m'est pas clair, écrit Paul Valéry dans ses Cahiers. Je ne l'emploie jamais. Ne s'agissant pas de faire une définition de chose, il faudrait regarder quelques phénomènes les plus simples, de ceux qui font venir le mot rythme ; les regarder de près ; isoler et nommer quelques caractères généraux... » Chacun connaît, ou croit reconnaître, ce […] Lire la suite
RYTHME IRRATIONNEL
On qualifie de rythme irrationnel tout rythme dont les divisions diffèrent du nombre de temps de la mesure qui les accueille. Ainsi en est-il d'un quintolet de noires dans une mesure à 4/4 – cinq noires devant alors être jouées pendant le temps de quatre –, d'un quartolet de croches dans une mesure à 3/8 – quatre croches à jouer dans le temps de trois... Mais […] Lire la suite
RYTHME, musique
La ponctuation égale d'une goutte d'eau qui tombe ; les battements du cœur, avec l'alternance continue d'un temps fort et d'un temps faible, systole et diastole ; la respiration où se succèdent identiques à elles-mêmes une durée brève, l'inspiration, et une durée longue, l'expiration ; le martèlement régulier d'un train, avec sa monotonie hypnotique, et les heurts qui en rompent parfois la régular […] Lire la suite
RYTHMES RÉTROGRADABLES ET NON RÉTROGRADABLES
En matière de rythme, Olivier Messiaen (1908-1992) se distingue nettement de la tradition occidentale. « Le charme des impossibilités » est une expression célèbre qu'il utilise pour la première fois dans Technique de mon langage musical (1944), où il décrit ce qui constitue une des spécifici […] Lire la suite
TEMPÉRAMENT, musique
Avant la gamme diatonique (fa-sol-la-si-do-ré-mi-fa), il existait des échelles sonores comportant moins de sons, parmi lesquelles l'échelle pentatonique (fa-sol- […] Lire la suite
TEMPO
Le tempo, souvent désigné aussi par le terme de mouvement, joue un rôle essentiel dans la conception d'une œuvre musicale et dans son exécution : il fixe la durée absolue de l'unité de temps ; il ne modifie pas les rapports de valeur établis par le rythme ; mais selon qu'elle est exécutée rapidement ou lentement, une figure rythmique change entièrement de caractère, et son existence dans le temps […] Lire la suite
THÈME, musique
Un thème est un motif mélodique ou rythmique ou mélodico-rythmique, parfois harmonique, suffisamment typé pour être facilement reconnaissable, et suffisamment riche pour être développé, varié, transposé ou transformé. Ce terme fut précédé de bien d'autres vocables au cours de l'histoire : cantus (firmus), ténor ou teneur, phrase, idée musicale, sujet dans le […] Lire la suite
TIMBRE, musique
Indépendamment de la durée, les musiciens attribuent aux sons musicaux des qualités particulières : hauteur, intensité et timbre. Le timbre, c'est ce qui distingue entre eux des sons de même hauteur et de même intensité. Pour le décrire, on utilise une terminologie empruntée au vocabulaire des sensations visuelles, tactiles, gustatives, etc. : un son est « clair », « rond », « chaud », « aigre ».. […] Lire la suite
UNISSON, musique
Intervalle entre deux notes identiques, à la même hauteur, ou espacées d'une ou de plusieurs octaves et ne possédant pas nécessairement le même timbre. L'intervalle qui les « sépare » est égal à 1 : ténors et sopranos, par exemple, chantent à l'unisson une même note écrite à une octave de distance. […] Lire la suite
Cadences parfaites : exemples en ut majeur
Le mot cadence, du latin cadere, qui signifie tomber, est un enchaînement d'accords types dont l'audition donne l'impression d'un repos, d'une rupture, d'une ponctuation ou d'une chute dans le déroulement de la phrase musicale. Une cadence dite parfaite se compose...
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Cadences imparfaites : exemples en ut majeur
La cadence imparfaite se construit sur l'enchaînement de l'accord de dominante à l'accord de tonique, l'un des deux accords se trouvant à l'état de renversement. Généralement, l'emploi du premier renversement affaiblit beaucoup l'impression conclusive.
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La cadence rompue se construit sur l'enchaînement de l'accord de dominante à un accord autre que celui de tonique. Dans le second exemple, la sensation de rupture sera plus nette, car il s'agit d'une cadence rompue modulante. En effet, on passe de la tonalité d'ut...
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Demi-cadences : exemples en ut majeur
La demi-cadence est un repos sur l'accord de dominante.
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La cadence plagale se construit sur l'enchaînement de l'accord de sous-dominante à l'accord de tonique. Elle est très souvent employée à la fin des morceaux pour venir renforcer la conclusion déjà amenée par la cadence parfaite.
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Modes dorien, phrygien, lydien, mixolydien, hypodorien, hypophrygien, hypolydien.
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Accords en ut majeur et en la mineur. 1) Accord parfait majeur. 2) Accord parfait mineur. 3) Accord de quinte diminuée. 4) Accord de quinte augmentée.
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Accords en ut majeur et en la mineur. 1) Accord de septième de dominante. 2) Accord de septième mineure. 3) Accord de septième mineure et quinte diminuée. 4) Accord de septième majeure. 5) Accord de septième diminuée. 6) Accord de septième majeure et parfait...
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Accords de 5 sons en ut majeur et en la mineur. 1) Accord de neuvième majeure. 2) Accord de neuvième mineure. 3) Accord de neuvième majeure et septième mineure. 4) Accord de neuvième mineure et septième mineure. 5) Accord de neuvième mineure et quinte...
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Renversement de l'accord de 3 sons
Accord en ut majeur. 1) État fondamental: accord de quinte. 2) Premier renversement: accord de sixte. 3) Deuxième renversement: accord de quarte et sixte.
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Renversement de l'accord de septième de dominante
Accord en ut majeur. 1) État fondamental: accord de septième de dominante. 2) Premier renversement: accord de sixte et quinte diminuée. 3) Deuxième renversement: accord de sixte sensible. 4) Troisième renversement: accord de triton.
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Renversement de l'accord de neuvième de dominante
Accord en ut majeur. 1) État fondamental: Accord de neuvième majeure. 2) Premier renversement. 3) Deuxième renversement. 4) Troisième renversement. 5) Quatrième renversement impossible.
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1) Mode protus authente. 2) Mode deuterus authente. 3) Mode tritus authente. 4) Mode tetrardus authente.
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1) Mode protus plagal. 2) Mode deuterus plagal. 3) Mode tritus plagal. 4) Mode tetrardus plagal.
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La modulation aux tons voisins (1)
Modulations de ut à sol.
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La modulation aux tons voisins (2)
Modulations de ut à fa.
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La modulation aux tons voisins (3)
Modulations de ut à la.
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La modulation aux tons voisins (4)
Modulations de la à fa.
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Modulations aux tons éloignés (1)
On considère comme éloignées deux tonalités dont les armures diffèrent de plus d'une altération. 1) Modulation d'ut majeur à la bémol majeur. 2) Modulation d'ut majeur à la majeur.
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Modulations aux tons éloignés (2)
Modulations successives à des tons voisins pour arriver à une tonalité éloignée. On commence en la mineur pour arriver à mi bémol majeur.
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L'appoggiature simple ou longue
À la seconde mesure, le mi du soprano est précédé d'une note étrangère (fa) à l'accord. Le fa est l'appoggiature du mi. Le mi, qui est la note réelle, est la résolution de cette appoggiature.
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L'appoggiature supérieure doit appartenir à la tonalité. Cependant, en majeur, il est possible d'emprunter le sixième degré du mode mineur.
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L'appoggiature peut être inférieure ou supérieure de la note appoggiaturée. L'appoggiature se trouve à distance d'un ton ou d'un demi-ton de la note appoggiaturée.
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L'appoggiature inférieure est généralement accidentée, mais ne provoque pas nécessairement une modulation.
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La note de passage est une note étrangère placée conjointement entre deux notes différentes. Elle peut être ascendante ou descendante, diatonique ou chromatique.
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L'arrivée du mi est retardée au soprano. On dit alors que le fa de la deuxième mesure est le retard du mi.
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La broderie est une note étrangère à l'accord et qui succède conjointement à une note pour retourner ensuite à cette même note. La broderie peut être supérieure ou inférieure, à distance d'un ton ou d'un demi-ton.
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On appelle anticipation une note qui anticipe la résolution d'un accord. Dans cet exemple précis, le do de la première mesure est l'anticipation du do de la seconde mesure.
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Le mordant est un battement rapide entre deux notes conjointes. 1) Mordant avec note inférieure.
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3) Le mordant, battement rapide de deux notes conjointes peut être répété plusieurs fois.
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Les modes rythmiques de la musique polyphonique.
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Ici le début de chaque talea est indiqué par une lettre ; le début de chaque color par un chiffre romain
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Liszt : Accord final de «Nuages gris»
Accord final de «Nuages gris» de Franz Liszt.
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Série de douze sons (Schönberg, quatuor op. 37).
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Série (dodécaphonique) de quatre fois trois sons (Webern, «Concerto» op. 24).
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Premier thème cyclique ou « thème-statue ».
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Deuxième thème cyclique ou « thème-fleur ».
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Les 10 «that» du pandit Bhatkhande.
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Quelques «tala» utilisés dans la musique de l'Inde du Nord (pour chacun d'entre eux, la première ligne indique le nombre d'unité de temps ou «matra» et la division en «vibhaga», la deuxième ligne porte les accents: X (= 1) ou «sam», 2, 3... ou «tali», 0 ou «khali»).
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Échelle pentatonique avec deux degrés auxiliaires
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Extrait de théâtre populaire du Nord-Vietnam
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Katarai dans la musique de cour gagaku.
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Type fanfare de Nouvelle-Guinée
Musique de type « fanfare » à Ndani, Nouvelle-Guinée (J. Kunst).
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Voix de fausset aux îles Salomon
Utilisation de la voix de fausset (notes soulignées) à Nissan, îles Salomon (V. Hornbostel, cité par M. Schneider).
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Polyphonie dissonante des îles de l'Amirauté
Polyphonie dissonante à Manus, îles de l'Amirauté (M. Schneider).
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Polyphonie avec Bourdon aux îles Tonga
Forme polyphonique à deux parties avec bourdons à Uvéa, îles Tonga (E. Burrows).
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Mélodie à tessiture des Maoris de Nouvelle-Zélande
Mélodie à tessiture chantée par les Maoris de Nouvelle-Zélande (M. McLean et M. Orbell).
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Correspondance entre les neumes et la notation carrée.
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Notation musicale : prolations de Philippe de Vitry
Les quatre prolations de Philippe de Vitry.
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Correspondance entre notations blanche et ovale
Correspondance entre la notation blanche et la notation ovale.
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L'hexacorde et ses transpositions les plus courantes.
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Systèmes latin et anglo-saxons
Les notes en systèmes latin et anglo-saxon.
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Les sept clés (a) et les correspondances entre les clés (b).
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Les valeurs et les silences.
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Quelques exemples de notation des quarts de ton.
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Quelques exemples de notation contemporaine.
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Séquences aléatoires contrôlées
Quelques exemples de notation des séquences aléatoires contrôlées.
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Francesco Landini : colorature pour clavier
Francesco Landini (1325-1397) : une « colorature » pour le clavier d'après la polyphonie vocale
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Diego Ortiz : cadences conclusives
Quatre exemples de cadences conclusives, parmi beaucoup d'autres, proposées par Diego Ortiz dans son « Tratado de glosas » (Roma, 1553)
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Adrian Le Roy : pavane pour le luth
Pavane pour le luth : « Si je m'en voy » de Adrian Le Roy, 1568. Le thème exposé de façon simple (a) et le même thème « plus diminué » (b).
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Geoffroy-Dechaume : notes inégales
Dans : « Les Secrets de la musique ancienne » par A. Geoffroy-Dechaume. Éditions Fasquelle, 1964.
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Girolamo Diruta : modes ornementaux
Girolamo Diruta. « Il Transilvano », 1593
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Caccini, « Nuove Musiche », 1602
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Michael Praetorius : Syntagma Musicum
Michael Praetorius, « Syntagma Musicum », 1619
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Modes grecs et byzantino-grégoriens
Comparaison entre modes grecs et modes byzantino-grégoriens
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Train et heurts sporadiques
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Chute de pierres : notation traditionnelle
Chute de pierres, notation traditionnelle approximative
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Chute de pierres : notation graphique
Chute de pierres, notation graphique
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Valeurs irrationnelles
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Chant hongrois : deuxième version
2e version
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Chant hongrois : troisième version
3e version
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Fragment d'un prélude non mesuré de Louis Couperin
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André Boucourechliev : séquence d'« Archipels »
Une séquence d'« Archipels » d'André Boucourechliev
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Cellule rythmique : agrandissements
Cellule rythmique, agrandissement symétrique et agrandissement dissymétrique
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Inversions des sons et des silences
Interversion des sons et des silences
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