ÉTENDUE, philosophie
Articles associés
-
DESCRIPTION ET EXPLICATION
- Écrit par Jean LARGEAULT
- 8 262 mots
- 1 média
On regardait autrefois l' espace comme le nombre pris sous le rapport de l'étendue. La géométrie, disait-on, s'applique à des relations de position qui, traduites en termes numériques à l'aide d'un dictionnaire de coordonnées, deviennent quantitatives. L'explication spatiale aurait donc un caractère... -
DURÉE
- Écrit par Alain DELAUNAY
- 843 mots
-
ÉPISTÉMOLOGIE
- Écrit par Gilles Gaston GRANGER
- 11 539 mots
- 4 médias
...pendant quelque temps après lui, au centre d'une philosophie de la science. C'est d'abord l'idée d'une rationalité de l' étendue. Nous avons de l'étendue des idées claires et distinctes, qu'il est possible d'enchaîner pas à pas en conservant toujours l'évidence, et d'embrasser... -
ÉTHIQUE, Baruch Spinoza - Fiche de lecture
- Écrit par Francis WYBRANDS
- 704 mots
- 1 média
...qui n'admet aucune extériorité et n'est extérieure à rien. C'est en elle qu'il faut chercher les modes, eux-mêmes éternels et infinis, qui l'expriment. Ses attributs, qui sont « ce que l'entendement perçoit d'une substance comme constituant son essence » sont, pour nous, au nombre de deux : l'étendue... -
IDÉALISME
- Écrit par Jean LARGEAULT
- 8 390 mots
Le point de départ de ces penseurs n'est pas un problème de théorie de la connaissance ; c'est une question d' ontologie, celle des rapports de l'étendue et de la perception (plus spécifiquement, pour Malebranche, l'union corps-esprit). Malebranche commence par constater, après Descartes, que nous... -
MATIÈRE
- Écrit par Jacques GUILLERME, Hélène VÉRIN
- 9 413 mots
- 1 média
-
PANTHÉISME
- Écrit par Robert MISRAHI
- 6 713 mots
...hiérarchisé des concepts qui en définissent l'essence. Une chose suppose un corps singulier contingent, puis une quantité de mouvements et de repos, puis l' attribut nécessaire et infini dans son genre qu'est l'Étendue, puis la Substance totale et nécessaire, infiniment infinie. On pourrait refaire le chemin... -
WHITEHEAD ALFRED NORTH (1861-1947)
- Écrit par Jean-Luc VERLEY, Jean WAHL
- 1 940 mots
...philosophie des sciences depuis Galilée et Descartes. Cette pensée se présente d'abord comme une négation de la bifurcation entre la chose pensante et la chose étendue, que l'auteur regarde comme étant profondément unies. La bifurcation cartésienne, affirme-t-il, a eu pour conséquence le fait qu'on a eu, d'un...