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CELLULES SOUCHES EMBRYONNAIRES

Articles

  • CLONAGE

    • Écrit par Didier LAVERGNE, Jean-Paul RENARD
    • 5 025 mots
    • 3 médias
    ...se diviser tout en restant à l'état indifférencié. Mais elles ne sont plus capables de s'organiser entre elles pour former un embryon. On les appelle les cellules souches embryonnaires ou cellules ES (embryonic stem cells). Si, chez la souris, on introduit ces cellules dans un blastocyste, que l'on...
  • ÉPIGÉNÉTIQUE

    • Écrit par Pierre-Antoine DEFOSSEZ, Olivier KIRSH, Ikrame NACIRI
    • 5 994 mots
    • 4 médias
    ...alors une 5méthylcytosine (5mC), dans le contexte d’un dinucléotide cytosine-guanine (CpG), mais parfois en dehors de ce contexte, notamment dans les cellules souches embryonnaires ou chez les plantes. Dans le génome humain, on dénombre environ 28 millions de CpG dont 60 à 80 p. 100 sont constitutivement...
  • GÉNOMIQUE - La transgenèse

    • Écrit par Pascale BRIAND
    • 7 302 mots
    • 2 médias
    La troisième technique utilise comme cellule hôte des cellules souches embryonnaires (E.S.) prélevées dans un blastocyste, c'est-à-dire un embryon non implanté âgé, pour la souris, de quatre jours et demi. Ces cellules peuvent être cultivées sans perdre leur totipotentialité, c'est-à-dire leur capacité...
  • HWANG AFFAIRE

    • Écrit par Jean-Yves NAU
    • 641 mots

    L'année 2005 a vu, à propos du clonage humain, l'une des fraudes scientifiques parmi les plus spectaculaires de l'histoire de la biologie. Dénommée l'« affaire Hwang » – du nom du chercheur sud-coréen Hwang Woo-suk, vétérinaire de formation, qui en est à l'origine –, elle a d'ores et déjà...

  • HYBRIDATION

    • Écrit par Georges BARSKI, Yves DEMARLY, Simone GILGENKRANTZ
    • 5 925 mots
    • 2 médias
    ...d'un gène étranger ou la suppression d'un gène normal, et d'en étudier les conséquences biochimiques et phénotypiques. Dans cette dernière situation, des cellules souches embryonnaires ou ES (embryonic stem), dans lesquelles un gène a été inactivé, sont introduites dans un embryon au stade morula. Après...
  • MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES

    • Écrit par Nathalie CARTIER-LACAVE, Caroline SEVIN
    • 4 618 mots
    • 2 médias
    – Les approches de thérapie cellulaire visent à remplacer les cellules cérébrales mortes par de nouvelles cellules, soit par greffe de cellules souches embryonnaires (cellules immatures capables de se multiplier en culture et de se différencier en différents types cellulaires incluant les cellules...
  • MYOPATHIES

    • Écrit par Gisèle BONNE, Valérie DECOSTRE, Anne LOMBÈS
    • 4 250 mots
    • 2 médias
    ...Elles peuvent aussi, dans des conditions particulières, se différencier en un type cellulaire précis comme les cellules musculaires. On distingue ainsi les cellules souches embryonnaires et adultes. Les premières ont une énorme capacité proliférative, avec le risque d'emballement et de formation de tumeur....
  • O.G.M. - Production et utilisation

    • Écrit par Louis-Marie HOUDEBINE
    • 4 106 mots
    ...permettent pas d'atteindre un rendement suffisamment élevé de transgenèse, il est possible, chez certaines espèces, d'introduire le gène étranger dans des cellules embryonnaires souches qui sont transférées dans des embryons receveurs, donnant ainsi naissance à des animaux chimères transgéniques.
  • TÉRATOMES ET TÉRATOCARCINOMES

    • Écrit par Gabriel GACHELIN
    • 1 087 mots
    • 1 média
    ...construction de l'organisme. La fréquence de réussites est basse. Dans la recherche de cellules plus utilisables, on arrive à mettre en culture et à conserver des cellules dérivées d'un embryon préimplantatoire. Ces cellules, appelées ES (embryonal stem cells), contribuent efficacement à un embryon ; ce...
  • THÉRAPEUTIQUE - Thérapies substitutives et régénératives

    • Écrit par Didier HOUSSIN
    • 4 337 mots
    ...cellules souches pour en faire un composant de l'ingénierie tissulaire, voire de l'organogenèse en incubateur. L'association à cela d'une transgenèse des cellules souches embryonnaires pourrait en faire des outils thérapeutiques à même de corriger, après greffe, des anomalies génétiques graves tout en évitant...
  • YAMANAKA SHINYA (1962- )

    • Écrit par Kara ROGERS
    • 543 mots

    Le chirurgien orthopédiste et biologiste japonais Shinya Yamanaka partagea en 2012, avec le biologiste britannique John Gurdon, le prix Nobel de physiologie ou médecine pour avoir découvert que la différenciation des cellules matures était réversible. En insérant des gènes spécifiques dans leur...