Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

LEE HELTON JACKSON dit SPIKE (1957- )

  • Article mis en ligne le
  • Modifié le
  • Écrit par

Bibliographie

S. Blumenfeld & S. Kaganski, « Black label » (entretien avec Spike Lee), in Les Inrockuptibles, no 43, mars 1993

B. Bollag & P. Detasis, « Je ne suis plus le parrain du cinéma black américain », in Positif no 418, décembre 1995

M. DJIGO,Spike Lee pour une esthétique de la subversion dans« Do the Right Thing », Acoria, Paris, 2006

R. Dubois, « Spike Lee », in Syndikat, no 5, février 2000 ; Le Cinéma des Noirs américains entre intégration et contestation, Cerf-Corlet, Paris, 2005 ; Spike Lee, un cinéaste controversé, LettMotif, Paris, 2019

H. L. Jr. Gates& C. Johnson, The Films of Spike Lee : five for five,Stewart, Tabori and Chang, New York, 1991

S. Lee,Interviews, C. Fuchs.-Jackson éd., University Press of Mississippi, 2002

K. Maurice Jones : Spike Lee and the African American Filmmakers : achoice of colors, Millbrook Press, Brookfield, 1996

G. A._Powell, A Rhetoric of SymbolicIdentity : an analysis of Spike Lee's X and Bamboozled, University Press of America, Dallas, 2004

N. Saada& A. De Baecque, « Entretien avec Spike Lee (à propos de Jungle fever) », in Cahiers du Cinéma, no 445, juin 1991.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

Classification

Pour citer cet article

Raphaël BASSAN. LEE HELTON JACKSON dit SPIKE (1957- ) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Article mis en ligne le et modifié le 22/10/2020

Autres références

  • AFRO-AMÉRICAIN CINÉMA

    • Écrit par
    • 6 876 mots
    • 3 médias
    Artiste et fer de lance de la période, Spike Lee est un auteur complet qui crée un univers personnel, dès son premier long-métrage Nola Darling n’en fait qu’à sa tête, qui porte les aspirations de sa communauté tout en synthétisant son potentiel expressif mis au service d’une volonté créatrice...
  • CINÉMA (Aspects généraux) - Histoire

    • Écrit par , et
    • 21 694 mots
    • 41 médias
    ...Miller'sCrossing, 1990 ; Barton Fink, 1991 ; The Big Lebowski, 1998 ; O Brother, 2000), Michael Mann, né en 1943 (Heat, 1995 ; Collateral, 2004), Spike Lee, né en 1957 (Malcolm X, 1992), Quentin Tarantino, né en 1963 (ReservoirDogs, 1992 ; Pulp Fiction, 1994 ; Jackie Brown, 1997), et David...
  • ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE (Arts et culture) - Le théâtre et le cinéma

    • Écrit par , et
    • 9 328 mots
    • 11 médias
    ...Leacock, Frederic Wiseman) ou militant (Emile De Antonio, Barbara Kopple), ne s'est pas vraiment concrétisé, sinon par l'émergence d'un cinéma noir dont Spike Lee est le représentant le plus original et le plus connu en Europe (Do the Right Thing, 1989 ; Malcolm X, 1992 ; Girl 6, 1996 ; The Very Black...
  • RAP, musique

    • Écrit par
    • 5 833 mots
    • 6 médias
    ...l’origine de Jazzmatazz, on trouve le morceau de Gang Starr « Jazz Thing » (composé en collaboration avec Branford Marsalis), inclus en 1990 par Spike Lee sur la bande originale de son film Mo’ Better Blues. Plusieurs autres volumes de Jazzmatazz suivront le premier, sorti en 1993. Des artistes...