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DUNS SCOT JEAN (1266 env.-1308)

Bibliographie

J. Duns Scot, Opera omnia, éd. Wadding, 12 vol., Lyon, 1639, rééd. Vivès, 26 vol., Paris, 1891-1895 ; Opus oxoniense, 2 vol., Quaracchi, 1912-1914 ; Opera, éd. crit. Commission scotiste : Ordinatio, 10 vol. parus, Lectura, 3 vol. parus, Rome, à partir de 1950 ; Sur la connaissance de Dieu et de l'univocité de l'étant, trad. O. Boulnois, P.U.F., 1988.

Études

C. Balić, « The Life and Works of J. Duns Scot » in J. K. Ryan & B. M. Bonansea, Studies in Philosophy and the History of Philosophy, III, Washington, 1965

C. Berubé, La Connaissance de l'individuel au Moyen Âge, Paris-Montréal, 1964

M. de Gandillac, « Loi naturelle et fondements de l'ordre social selon les principes du bienheureux Duns Scot », in De doctrina Joannis Duns Scotis, Actes du Congrès d'Oxford-Édimbourg, Rome, 1968

E. Gilson, Jean Duns Scot, Paris, 1952

C. Harris, Duns Scotus, 2 vol., Oxford, 1927

M. Heidegger, Die Kategorien- und Bedeutungslehre des Duns Scotus, Tübingen, 1916 (Traité des catégories et de la signification chez Duns Scot, Gallimard, 1970)

J. Jolivet, « Jean Duns Scot et les premiers scotistes » in Histoire de la philosophie, Encyclopédie de la Pléiade, vol. I, ibid, 1969

E. Longpré, La Philosophie du bienheureux Duns Scot, Paris, 1924

P. Vignaux, Philosophie au Moyen Âge, suivi Lire Duns Scot aujourd'hui, Vrin, Paris, 1987.

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Écrit par

  • : professeur émérite à l'université de Paris-I
  • Universalis : services rédactionnels de l'Encyclopædia Universalis

Classification

Pour citer cet article

Universalis et Maurice de GANDILLAC. DUNS SCOT JEAN (1266 env.-1308) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Autres références

  • AUGUSTINISME

    • Écrit par Michel MESLIN, Jeannine QUILLET
    • 5 572 mots
    C'est sans doute dans l'œuvre de Jean Duns Scot († 1308) que l'on trouve la synthèse la plus complète entre un augustinisme strict et un aristotélisme mêlé, par ses filières arabes, de néo-platonisme : il édifie une métaphysique subtile et profonde par laquelle il expose comment, à partir de l'essence...
  • AVICENNE, arabe IBN SĪNĀ (980-1037)

    • Écrit par Henry CORBIN
    • 8 902 mots
    • 1 média
    ...nécessaire entre la cosmologie et la gnoséologie, la sotériologie et les hiérarchies célestes, tout cela s'effondre. Le fin mot de l'affaire, c'est chez Duns Scot, semble-t-il, que nous le trouvons plus tard. Certes, Duns Scot eut une compréhension subtile et approfondie des thèses avicenniennes ; sa métaphysique...
  • GODEFROID DE FONTAINES (av. 1250-apr. 1305)

    • Écrit par Olivier JUILLIARD
    • 639 mots

    Né près de Liège, ce clerc séculier fut étudiant à l'université de Paris vers 1270 et assista à la grande querelle entre Thomas d'Aquin, Gérard d'Abbeville et Siger de Brabant. Puis il suivit les leçons d'Henri de Gand et défendit contre lui le thomisme. Régent de...

  • HENRY DE HARCLAY (1270 env.-1317)

    • Écrit par Olivier JUILLIARD
    • 386 mots

    Étudiant à Oxford, puis à Paris, ordonné prêtre en 1297, Henry de Harclay enseigna la philosophie à l'université d'Oxford, dont il devint chancelier en 1312, et fut ensuite nommé évêque de Lincoln. Toute sa vie, il s'opposa aux Dominicains, mais c'est contre Jean Duns...

  • Afficher les 8 références

Voir aussi