Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

VICENTE GIL (1465 env.-env. 1537)

Bibliographie

Œuvres de Gil Vicente

Obras completas, éd. marqués Braga, 6 vol., Lisbonne, 1942-1944, 2e éd. 1951 ; Tragicomedia de don Duardos, éd. Dámaso Alonso, Madrid, 1942 ; Poesías líricas, ibid., 1934 ; Obras dramáticas castellanas, T. H. Hart éd., Madrid, 1962.

Études

C. V. Aubrun, Histoire du théâtre espagnol, Paris, 1965

A. Braamcamp Freire, Vida e obras de Gil Vicente, Lisbonne, 1944

R. P. Garay, Gil Vicente and the Development of the Comedia, Univ. of North Carolina Press, 1988

G. Le Gentil, « Les Thèmes de Gil Vicente dans les moralités, soties et farces françaises », in Hommage à E. Martinenche, Paris, 1939

J. H. Parker, Gil Vicente, New York, 1967

P. Teyssier, La Langue de Gil Vicente, Paris, 1959

M. Menéndez y Pelayo, Historia de la poesía castellana en la Edad Media, Obras completas, vol. III, Santander, 1940-1950

N. D. Shergold, A History of the Spanish Stage, Oxford, 1967.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

  • : professeur émérite des Universités, membre correspondant de la Real Academia Española

Classification

Pour citer cet article

Bernard SESÉ. VICENTE GIL (1465 env.-env. 1537) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Autres références

  • LAZARILLO DE TORMES (1553/54)

    • Écrit par Marcel BATAILLON
    • 2 078 mots
    ...valet d'aveugle. Quant à l'écuyer maître du triste logis, ses comportements et propos typiques dessinent une variété historiquement connue de pauvres hidalgos ; non l'ensemble des hommes d'épée, mais une variété déjà typifiée et moquée dans les historiettes et les comédies ( Gil Vicente, 1470-1536).
  • PORTUGAL

    • Écrit par Roger BISMUT, Cristina CLIMACO, Michel DRAIN, Universalis, José-Augusto FRANÇA, Michel LABAN, Jorge MORAÏS-BARBOSA, Eduardo PRADO COELHO
    • 39 954 mots
    • 24 médias
    ...petites farces, des jeux et des autos (drames religieux), tous anonymes, des momos (ou pantomimes) sans dialogues. Le véritable créateur du théâtre est Gil Vicente, qui exprime dans ses œuvres les préoccupations de son temps. Il aura nombre de disciples et de continuateurs : António Prestes, Jerónimo Ribeiro,...

Voir aussi