DOMINANCE, génétique
Articles
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MÉIOSE
- Écrit par Marguerite PICARD et Denise ZICKLER
- 4 645 mots
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...peuvent se présenter. Si l'hétérozygote (F1) présente le caractère sauvage (on dit qu'il a le phénotype sauvage), cela signifie que le gène b+ est dominant sur son allèle b (et que celui-ci est récessif par rapport à son allèle sauvage). Si l'hétérozygote est le phénotype mutant (corps... -
GÉNÉTIQUE
- Écrit par Axel KAHN , Philippe L'HÉRITIER et Marguerite PICARD
- 25 873 mots
- 31 médias
...l'un des parents. C'est là une situation fréquente, et on la décrit en disant que l'un des allèles (allèle « grains ronds » dans l'exemple décrit) est dominant et l'autre récessif. Le fait conduit d'ailleurs à établir une distinction nette entre les caractères exprimés par l'individu, ce qui est... -
HÉRÉDITÉ
- Écrit par Charles BABINET , Luisa DANDOLO , Jean GAYON et Simone GILGENKRANTZ
- 11 231 mots
- 7 médias
...au patrimoine génétique ainsi constitué. Quant au phénotype, il correspond aux manifestations apparentes (extérieures ou biologiques) du génotype. Un allèle est dominant lorsqu'il s'exprime, même à l'état hétérozygote, alors qu'il est porté par un seul des deux chromosomes homologues. Il est récessif... -
LOIS MENDÉLIENNES DE L'HÉRÉDITÉ
- Écrit par Nicolas CHEVASSUS-au-LOUIS
- 259 mots
Moine et botaniste, Gregor Mendel (1822-1884) s'intéressait à la transmission héréditaire de l'aspect des graines de petits pois, en étudiant statistiquement les produits de croisement de différentes variétés. Il découvre ainsi que des caractères distincts, par exemple la couleur et la forme,...
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MÉDECINE - Médecine prédictive
- Écrit par Encyclopædia Universalis et Jean-Yves NAU
- 4 092 mots
...d'un seul gène. Elles peuvent correspondre à des mutations autosomiques, c'est-à-dire siégeant sur un chromosome ne déterminant pas le sexe. Si elles sont dominantes (la maladie s'exprimant lorsque l'anomalie est présente sur un seul des deux chromosomes), le risque de transmission du gène muté... -
MENDEL GREGOR JOHANN (1822-1884)
- Écrit par Jacques PIQUEMAL
- 2 085 mots
- 2 médias
Chaque caractère peut en effet résulter de l'association de deux facteurs, l'un « récessif » a (rezcessiv), l'autre « dominant » A (dominierend), c'est-à-dire seul à se manifester mais occultant l'autre sans l'altérer. Le croisement des deux caractères souches à l'état pur (AA×aa)... -
MUTATIONS
- Écrit par Encyclopædia Universalis , Gérard LEBLON et Philippe L'HÉRITIER
- 2 936 mots
...existantes, elle peut être masquée (elle est alors récessive) par la présence, sur l'autre chromosome de la même paire, du gène non muté (dit dominant). Il faudra révéler l'existence de la mutation par l'intermédiaire de croisements entre hybrides hétérozygotes pour le caractère étudié.... -
ONCOGENÈSE ou CANCÉROGENÈSE ou CARCINOGENÈSE
- Écrit par Roger MONIER
- 7 292 mots
- 5 médias
...tumorigène sont très souvent non tumorigènes, aussi longtemps qu'ils conservent la totalité des chromosomes des deux cellules initiales. Autrement dit, la non-tumorigénicité est génétiquement dominante par rapport à la tumorigénicité. Si la tumorigénicité cellulaire était uniquement déterminée par l'activation... -
PHÉNOTYPE
- Écrit par Jean GÉNERMONT
- 4 384 mots
- 1 média
On appelle « phénomènes de dominance » toutes les conséquences des interactions entre gènes homologues. Dans le cas le plus simple, un individu hétérozygote pour un couple d'allèles est rigoureusement indiscernable d'un homozygote pour l'un des deux allèles. -
POLYMORPHISME, biologie
- Écrit par Maxime LAMOTTE , Philippe L'HÉRITIER , Étienne PATIN et Lluis QUINTANA-MURCI
- 11 321 mots
- 8 médias
Des valeurs approximatives des positions d'équilibre sont fournies par des expressions très simples. Il faut distinguer deux cas : celui où l'allèle défavorisé, désigné par a′, est dominant : (σ1 > σ2 ≥ σ3) et celui où il est récessif : (σ1 = σ2 > σ3...
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