JARMUSCH JIM (1953- )
- Article mis en ligne le
- Écrit par Raphaël BASSAN
Bibliographie
P. Azoury, Jim Jarmusch, une autre allture, Capricci, 2016
P. Elhem,StrangerThanParadise, Yellow Now, 1988
L. Hertzbergdir., Jim Jarmusch : Interviews, Roundhouse Publishing Ltd. Conversations with filmmakers Series, nov. 2001
C. Murillo, Le Cinéma de Jim Jarmusch: un monde plein, L’Harmattan, 2016
R. Rogier, Jim Jarmusch. Phénomènes d'histoires. Histoires de phénomènes, coll. Arts et cultures, Manuscrit d'université, déc. 2001
J. Rosenbaum,Dead Man, coll. Cinéphile, Les Éditions de la Transparence, avr. 2005.
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Écrit par
- Raphaël BASSAN : critique et historien de cinéma
Classification
Pour citer cet article
Raphaël BASSAN. JARMUSCH JIM (1953- ) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )
Article mis en ligne le
Média
Paterson, J. Jarmusch
Album/ Amazon Studios/ Mary Cybulski/ AKG-images
Autres références
-
BROKEN FLOWERS (J. Jarmusch)
- Écrit par Raphaël BASSAN
- 1 042 mots
Après deux tentatives pour aborder, de biais, le cinéma de genre (le western avec Dead Man, 1995, le film d'action dans Ghost Dog, 1999), Jim Jarmusch revient, avec Broken Flowers (2005), à la peinture dépouillée du monde contemporain tel qu'il l'a esquissée dès Stranger than Paradise...
-
GHOST DOG (J. Jarmusch)
- Écrit par Frédéric STRAUSS
- 1 020 mots
- 1 média
Né en 1953 dans l'Ohio, Jim Jarmusch fut dans les années 1980 un jeune cinéaste dans le vent et l'emblème du cinéma indépendant américain. Ses films, d'un noir et blanc poétique, étaient des errances mélancoliques (Stranger than Paradise, 1984), de lentes fuites erratiques traversées...
-
ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE (Arts et culture) - Le théâtre et le cinéma
- Écrit par Geneviève FABRE , Liliane KERJAN et Joël MAGNY
- 9 328 mots
- 11 médias
La situation de ce cinéma d'auteurs, en marge, mais partiellement seulement, d'Hollywood demeure très aléatoire, comme en témoigne le cas de Jim Jarmusch. Après deux films en noir et blanc à très faible budget, Stranger than Paradise (1984) et Down by Law (1985), dont les héros, losers...
