NÉANT

Bibliographie

H. Bergson, L'Évolution créatrice, Alcan, 1907 

La Pensée et le mouvant, ibid., 1922

R. Carnap, « Le Dépassement de la métaphysique par l'analyse logique du langage », in Manifeste du Cercle de Vienne et autres écrits (sous la dir. d'A. Soulez), P.U.F., Paris, 1985

R. Descartes, Méditations métaphysiques

G. W. F. Hegel, La Science de la logique, t. I, trad. Labarrière et Jarczyk, Aubier-Montaigne, Paris, 1972 

Encyclopédie, t. I : Science de la logique, trad. B. Bourgeois, Vrin, Paris, 1970

M. Heidegger, Qu'est-ce que la métaphysique ?, trad. H. Corbin, Gallimard, Paris, 1939 

Questions IV (Les Séminaires, rédacteur J. Beaufret), Gallimard, 1976

Leibniz, Principes de la nature et de la grâce, 1714

Platon, le Sophiste, trad. A. Dies, Les Belles Lettres, Paris

J.-P. Sartre, L'Être et le Néant, Gallimard, 1943.

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Écrit par

  • Jean LEFRANC : maître de conférences honoraire de philosophie, université de Paris-Sorbonne

Classification

Pour citer cet article

Jean LEFRANC, « NÉANT », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le . URL :

Autres références

  • RIEN (philosophie)

    • Écrit par Jean GREISCH
    • 1 102 mots

    « Non, rien de rien, non, je ne regrette rien... » : tout le monde, ou presque, connaît la chanson d'Édith Piaf. Quel sort les penseurs doivent-ils réserver au « rien » ? S'agit-il d'un signifiant vide, indicible et impensable, voire d'une puissance de mystification, qui entraîne la ...

  • ANGOISSE EXISTENTIELLE

    • Écrit par Jean BRUN
    • 2 246 mots
    • 1 média
    ...l'étant à l'Être. Pour Heidegger, l'existant est, en effet, la négation d'une totalité qu'il constituerait. Cette négation, Heidegger l'appelle Néant, Néant qui est antérieur au « non » de la négation qu'il fonde et par laquelle il n'est nullement constitué ; c'est lui que nous rencontrons dans...
  • CRÉATION - La création dans les synthèses philosophico-religieuses

    • Écrit par Stanislas BRETON
    • 3 574 mots
    L'idée de néant se prête à des critiques relativement faciles qui dénoncent, en son emploi, un néant de pensée ou d'idée, un pseudo-problème : Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? dont l'illusion s'imposerait en vertu d'une habitude psychologique, qui nous condamne à aller du vide au plein...
  • ÊTRE, philosophie

    • Écrit par Giulio GIORELLO
    • 4 117 mots
    ...abandonne la conception parménidienne (« Car tu ne pourrais pas connaître le non-être – cela est impossible – ni ne pourrais l'exprimer » [fragment 4, 7-8]. «  Il faut dire et penser que l'être est ; puisqu'il est possible qu'il soit, mais le néant n'est pas possible, voici ce que je te prierai...
  • IMMANENCE ET TRANSCENDANCE

    • Écrit par Robert MISRAHI
    • 3 769 mots
    • 1 média
    Certes, il y a chez Heidegger une sorte d'émergence de l'être hors du néant, mais cette émergence n'a plus rien de commun avec le mouvement classique vers les hauteurs (encore présent chez Nietzsche). C'est que le néant est plutôt la négativité, l'acte de néantisation de l'être...
  • LE MONDE COMME VOLONTÉ ET COMME REPRÉSENTATION, Arthur Schopenhauer - Fiche de lecture

    • Écrit par Francis WYBRANDS
    • 657 mots
    • 1 média
    ...quotidien, ou « s’affirmer puis se nier ». Cette alternative est laissée au libre choix de l’individu, aucune raison supérieure n’étant là pour le guider. Le livre s’achève sur ces phrases : « Pour ceux que la Volonté anime encore, ce qui reste après la suppression totale de la Volonté, c’est effectivement...
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Voir aussi