Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

MOTONOBU KANŌ (1476-1559)

Bibliographie

Akiyama Terukazu, La Peinture japonaise, Genève-Paris, 1962

Kanō ha no Kaiga. Toku betsu ten. Tōkyō Kokuritsu hakubutsukan. Peintures de l'école Kanō. Expos. spéciale du Musée national de Tōkyō, 1979 (texte en japonais, catalogue des œuvres en anglais)

B. Klein, « Japanese Kinbyobu : the gold-leafed folding screens of the Muromachi period (1333-1573) », in Artibus Asiae, nos 2-3, 1984

« Matsushita Takaaki, Ink Painting », in Arts of Japan no 7, John Weatherhill, New York, 1974

Munashige Yasushe, « Establishment of Kanō school in Connection with Yamato-e school », in Museum Tōkyō hakubutsukan bijutsushi, Rev. d'histoire de l'art du Musée national de Tōkyō, nos 9-10, sept.-oct. 1979 (texte en japonais, table des matières en anglais)

Naoji Takeuchi, « The Sliding-Door Paintings in the Hōjō, Daisen-in monastery », in Museum, no 49, Tōkyō, 1955

« Painting of a waterfall, attributed to Kanō Motonobu », in Yamato Bunka, no 23, Nara, 1961

Shun E, « A letter by Teitaku adressed to Kanō Motonobu the painter », in Yamato Bunka, no 26, Nara, 1961

Suzuki Susumu, « Kanō Motonobu. Shin ma zukaku », in Chawan, nos 104-105, Tōkyō, 1939

Yamaoka Yasuzō, « Kanō Masanobu, Kanō Motonobu », in Nihon Bijutsu Kaiga Zenshū, Shūeisha, Tōkyō, 1978.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

  • : ancien maître de recherche au CNRS, professeure honoraire à l'École du Louvre, chargée de mission au Musée national des arts asiatiques-Guimet

Classification

Pour citer cet article

Madeleine PAUL-DAVID. MOTONOBU KANŌ (1476-1559) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Autres références

  • JAPON (Arts et culture) - Les arts

    • Écrit par François BERTHIER, François CHASLIN, Universalis, Nicolas FIÉVÉ, Anne GOSSOT, Chantal KOZYREFF, Hervé LE GOFF, Françoise LEVAILLANT, Daisy LION-GOLDSCHMIDT, Shiori NAKAMA, Madeleine PAUL-DAVID
    • 56 170 mots
    • 35 médias
    ...Kanō Masanobu (1434-1530), fidèle à l'école de Zhi, est le premier laïc appelé à diriger l'atelier des Ashikaga. Son fils et successeur, Motonobu (1476-1559), s'inspire de la peinture académique des Ming où dominent les représentations colorées de fleurs et d'oiseaux (kachō-e...
  • TOSA ÉCOLE

    • Écrit par Marie MATHELIN
    • 650 mots

    École de peinture japonaise dont l'origine remonte au xive siècle. C'est la seule école à maintenir officiellement la tradition de la peinture japonaise (Yamato-e) élaborée aux époques Heian (ixe-xiie s.) et Kamakura (xiiie-xive s.). À partir du xve siècle le Yamato-e est détrôné...

Voir aussi