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Imaginary Landscape n°1, CAGE (John)

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Les technologies qui se développent à la fin des années 1930 favorisent la démarche de John Cage, toujours avide d'expérimentations, d'inventions et de découvertes. Imaginary Landscape no 1 met ainsi à profit, comme sources sonores électroacoustiques, des tourne-disques entraînant, à une vitesse que les «interprètes» font varier, des disques 78-tours sur lesquels ont été gravés des sons sinusoïdaux, de diverses fréquences, produits par des oscillateurs électroniques (ces sons sont qualifiés de purs car ils ne comportent pas d'harmoniques). Les durées d'émission de ces sons sont contrôlées en soulevant et en abaissant les bras des tourne-disques.

— Juliette GARRIGUES

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Écrit par

  • : musicologue, analyste, cheffe de chœur diplômée du Conservatoire national supérieur de musique de Paris, chargée de cours à Columbia University, New York (États-Unis)

Pour citer cet article

Juliette GARRIGUES. Imaginary Landscape n°1, CAGE (John) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

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