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Fragmente-Stille, an Diotima, NONO (Luigi)

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Les indications textuelles figurant sur la partition de Fragmente-Stille, an Diotima («Fragments-Silence, à Diotima») sont notamment empruntées au roman tragique Hypérion de Friedrich Hölderlin, dans lequel apparaît Diotima, idéal féminin à jamais perdu. Dans la préface à sa partition, Nono cite ces deux vers de Hölderlin: «Je comprenais le silence [en allemand, «Stille», qui éclaire le titre de l'œuvre] de l'Éther, / Je n'ai jamais compris la parole des hommes».

— Juliette GARRIGUES

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Écrit par

  • : musicologue, analyste, cheffe de chœur diplômée du Conservatoire national supérieur de musique de Paris, chargée de cours à Columbia University, New York (États-Unis)

Pour citer cet article

Juliette GARRIGUES. Fragmente-Stille, an Diotima, NONO (Luigi) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Article mis en ligne le et modifié le 14/03/2009