SINUS, mathématiques
Articles
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BRAHMAGUPTA (598-apr. 665)
- Écrit par Agathe KELLER
- 1 152 mots
- 1 média
L’astronome et mathématicien du sous-continent indien Brahmagupta nous est connu pour deux traités : le Brāhmasphuṭasiddhānta (« Traité théorique de la vraie école de Brahma », 628, abrégé BSS) et un manuel plus pratique le Khaṇḍakādyaka(« Bouchées de douceurs », 665, abrégé...
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EXPONENTIELLE & LOGARITHME
- Écrit par Jean-Luc VERLEY
- 5 967 mots
- 8 médias
Pour t réel, on appelle respectivement cosinus et sinus de t les parties réelle et imaginaire de eit, soit, par définition, il en résulte immédiatement les « formules d' Euler » : -
GAMMA FONCTION
- Écrit par Jean-Luc VERLEY
- 1 580 mots
- 2 médias
À partir de (11) et du développement eulérien de sin z : on obtient l'importante « formule des compléments » due à Euler : -
GROUPES (mathématiques) - Groupes classiques et géométrie
- Écrit par Jean DIEUDONNÉ
- 8 272 mots
- 3 médias
Par définition, les éléments α et β dans la matrice : se notent cos θ et sin θ et s'appellent le cosinus et lesinus de l'angle θ ∈ u. Les formules précédentes sur r se traduisent en les formules dites « trigonométriques » :qui ne font donc que transcrire des propriétés... -
INDE (Arts et culture) - Les sciences
- Écrit par Francis ZIMMERMANN
- 14 202 mots
- 2 médias
...stance de cette première partie témoigne des innovations introduites par Āryabhaṭa en trigonométrie – passage d'une table des cordes à une table des sinus – en produisant les différences premières de la table des sinus de base 3438 ou « sinus en minutes d'arc » (3438′ étant la valeur arrondie d'un radian).... -
INDE (Arts et culture) - Les mathématiques
- Écrit par Agathe KELLER
- 5 429 mots
- 3 médias
...reconnaissons comme mathématiques se trouve développée en dehors de ce que les acteurs eux-mêmes reconnaissent comme appartenant aux mathématiques. Ainsi, les tables de sinus et leur dérivation se trouvent à l’interface entre mathématiques et sciences astrales, et donneront plus largement lieu à de superbes... -
NOMBRES COMPLEXES
- Écrit par Jean-Luc VERLEY
- 3 422 mots
- 2 médias
Par définition, on appelle cos t et sin t respectivement les parties réelle et imaginaire de eit, soit : puisque |eit| = 1, on a cos2t + sin2t = 1 pour tout nombre réel t.
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