Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

NICOLAS DE CUES NICOLAS KREBS ou CHRIPPFS dit (1401-1464)

  • Article mis en ligne le
  • Modifié le
  • Écrit par

Bibliographie

Œuvres de Nicolas de CuesOpera Omnia, 3 vol., Paris, 1514 ; Cusanus-Texte, éd. E. Hoffmann, R. Klibansky et al., Heidelberg, 1929 et suiv. ; Opera omnia, E. Hoffmann, R. Klibansky et al. éd., Leipzig, puis Hambourg, 1932 et suiv. ; Œuvres choisies, trad. M. de Gandillac, Paris, 1942 ; Concordance catholique et Paix de la foi, trad. Galibois et M. de Gandillac, Sherbrooke (Qué.), 1977 ; Le Tableau ou la Vision de Dieu, trad. A. Minazzoli, Cerf, Paris, 1986 ; Trois Traités sur la docte ignorance, F. Bertin trad., ibid., 1991. Études E. Cassirer, Individuum und Kosmos in der Philosophie der Renaissance, Leipzig-Berlin, 1927 (Individu et cosmos dans la philosophie de la Renaissance, Minuit, Paris, 1983)

M. de Gandillac, La Philosophie de Nicolas de Cues, Paris, 1942

R. Haubst dir., W. Andreas, G. von Bredow et al., Das Cusanusjubiläum, Mayence, 1964

K. Jaspers, Nicolaus Cusanus, Munich, 1964

E. Vansteenberghe, Le Cardinal Nicolas de Cues, Paris, 1920.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

Classification

Pour citer cet article

Maurice de GANDILLAC. NICOLAS DE CUES NICOLAS KREBS ou CHRIPPFS dit (1401-1464) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Article mis en ligne le et modifié le 14/03/2009

Média

Nicolas de Cues - crédits : AKG-images

Nicolas de Cues

Autres références

  • APOLOGÉTIQUE

    • Écrit par
    • 3 535 mots
    ...12). Ses considérations sur l'harmonie entre le bien de l'homme et la révélation sont le signe d'un optimisme humaniste et rationaliste. À l'opposé, un Nicolas de Cues, dans De la docte ignorance (1440), fonde la croyance sur une vision mystique où viennent s'unifier les positions contraires des hommes....
  • BRUNO GIORDANO (1548-1600)

    • Écrit par
    • 5 290 mots
    ...Dieu et l'Univers. Bruno risque ainsi de sombrer dans l'aporie de deux infinis qui menacent de se limiter mutuellement. Ce problème s'était déjà posé à Nicolas de Cues, qui non seulement avait introduit des distinctions nouvelles entre les différents ordres d'infinité, mais avait aussi affirmé clairement...
  • CALCUL INFINITÉSIMAL - Histoire

    • Écrit par
    • 11 465 mots
    • 3 médias
    Dans une perspective voisine, au xve siècle, le philosophe Nicolas de Cues mérite d'être mentionné, ne serait-ce que pour son influence lointaine sur Kepler, pour ses réflexions sur le principe de continuité et son affirmation de l'identité du cercle avec un polygone à un nombre infini...
  • INFINI, philosophie

    • Écrit par
    • 6 354 mots
    ...vouloir reflétant l'infini de Dieu selon une loi fonctionnelle, particulière à chaque monade – concilie dans la créature de Dieu le fini et l'infini. Nicolas de Cues (1401-1464) établit un lien entre l'infini de Dieu et le fini du monde : Dieu est à la fois implicitement un et infini et explicitement...