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AUSTIN JOHN LANGSHAW (1911-1960)

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Bibliographie

Œuvres de John Langshaw Austin

How to Do Things with Words, Oxford Univ. Press, New York, 1962 (Quand dire, c'est faire, Seuil, Paris, 1970) ; Sense and Sensibilia, ibid., 1964 (Le Langage de la perception, trad. P. Gochet, Armand Colin, Paris, 1971) ; Philosophical Papers, ibid., 3e éd. 1979 (Écrits philosophiques, trad. L. Aubert et A.-L. Hacker, Seuil, Paris, 1994).

Études

I. Berlin, L. W. Forguson, D. F. Pears et al., Essays on J. L. Austin, Clarendon Press, Oxford, 1973

R. Daval, Austin, Ellipses, Paris, 2000

K. Graham, J. L. Austin : a Critique of Ordinary Language Philosophy, Harvester Press, Hassocks 1977

G. J. Warnock, J. L. Austin, Routledge & Kegan Paul, Londres, 1991.

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Écrit par

  • : agrégée de l'Université, docteur en philosophie, maître de conférences à l'université de Rennes

Classification

Pour citer cet article

Françoise ARMENGAUD. AUSTIN JOHN LANGSHAW (1911-1960) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Article mis en ligne le et modifié le 14/03/2009

Autres références

  • ACTES DE LANGAGE

    • Écrit par
    • 1 487 mots
    On considère généralement quela théorie des actes de langage est née avec la publication posthume en 1962 d'un recueil de conférences données en 1955 par John Austin, How to do Things with Words. Le titre français de cet ouvrage, Quand dire, c'est faire (1970), illustre parfaitement...
  • ANTHROPOLOGIE DE LA COMMUNICATION

    • Écrit par
    • 4 200 mots
    ...communication recentre l’attention sur les usages afin de mieux comprendre le rôle du langage dans la vie sociale. Dans la continuité des travaux des philosophes John Austin et John Searle sur les « actes de langage », elle déplace le regard du langage vers la parole, de la compétence vers la performance, du code...
  • CROYANCE

    • Écrit par
    • 11 987 mots
    ...changements de sens et de référence des propositions en fonction de l'engagement des interlocuteurs dans la formation du sens des propositions. J. L.  Austin est le premier à avoir tenté une étude systématique des actes de discours en fonction de la distinction entre énoncé et énonciation. Il...
  • ÉNONCIATION

    • Écrit par
    • 7 958 mots
    On trouvera un premier argument dans la considération de ce que les philosophes du langage, à la suite de J. L. Austin, appellent « actes illocutionnaires ». Parmi les actes que l'on peut chercher à accomplir en produisant un énoncé, Austin sépare les actes illocutionnaires (interroger, affirmer,...
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