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HARMONICA, en bref

Œuvres majeures

De grands solistes ont entrepris de jouer un répertoire classique initialement réduit mais étoffé par de nombreuses transcriptions : Larry Adler, qui a même enregistré quelques plages avec Django Reinhardt, Tommy Reilly, Cham-Ber Huang, Claude Garden... De « Toots » Thielemans, on retiendra l'album Footprints (1989) et la célèbre valse Bluesette.

Pour explorer les origines de l'harmonica blues, il faut écouter Sonny Terry dans Train Whistle Blues (1938) ou Lost John (1954), Howlin' Wolf enregistré par Sam Philips, Sonny Boy Williamson (Rice Miller), qui a joué avec Robert Johnson et B. B. King (à écouter : Sonny Boy Williamson. Gitanes Blues). Pour découvrir le son de Chicago, il faut écouter John Lee « Sonny Boy » Williamson et Jimmy Reed.

Le morceau instrumental Whammer Jammer de Magic Dick, harmoniciste du groupe de rock américain J. Geils Band, est représentatif de l'harmonica rock influencé par le blues.

Stevie Wonder est un des instrumentistes les plus expressifs à l'harmonica chromatique (Isn't She Lovely).

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Écrit par

  • : compositeur, auteur, musicologue et designer sonore

Classification

Pour citer cet article

Eugène LLEDO. HARMONICA, en bref [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Médias

Larry Adler - crédits : Gjon Mili/ The LIFE Picture Collection/ Getty Images

Larry Adler

Harmonica - crédits : Éditions J.M. Fuzeau (Courlay, France)

Harmonica

Harmonica diatonique : exemple sonore (1) - crédits : Encyclopædia Universalis France

Harmonica diatonique : exemple sonore (1)

Voir aussi