Hydrologie continentale
5151ARÉISME
Le terme d'aréisme, qui signifie « sans rivière », introduit dans le vocabulaire géographique par E. de Martonne en 1926, s'applique aux régions à la surface desquelles « l'écoulement est pratiquement nul ». L'absence d'écoulement a de profondes répercussions sur l'évolution des formes du terrain et les manifestations de la vie. Comme il n'y a plus de réseau de thalwegs aboutissant au niveau de ba […] Lire la suite
EAU CYCLE URBAIN DE L'
L’urbanisation est un phénomène de société qui consiste à densifier les villes. Ce phénomène a de nombreuses conséquences, dont deux qui affectent plus particulièrement le cycle urbain de l’eau : d’une part, la construction des habitations et la création des voies de circulation (routes, trottoirs, parkings aériens, etc.) qui accroissent les surfaces imperméables ; d’autre part, une augmentation c […] Lire la suite
EAU (notions de base)
De toutes les planètes du système solaire, la Terre est la seule à être pourvue d'une hydrosphère. Celle-ci recouvre plus des deux tiers de sa surface. Les propriétés de l'eau sont tout à fait exceptionnelles : condition de la vie, solvant quasi universel, vecteur de chaleur, puissant régulateur thermique, etc. La disponibilité en eau est l'une des clés de […] Lire la suite
HYDROLOGIE
Étymologiquement, l'hydrologie est la science de l'eau. Molécule, gaz, liquide ou solide, l'eau voit son étude ressortir à la physique et à la chimie. C'est à l'étude de l'eau dans la nature, où s'expriment évidemment ses propriétés physico-chimiques, qu'est consacrée l'hydrologie. L'eau apparaît dans la nature sous des formes et selon des rythmes extraordinairement diversifiés, mais toujours dans […] Lire la suite
HYDROLOGIE URBAINE
3 octobre 1988 : les écrans de télévision montrent Nîmes ravagée par les eaux. Une ville meurtrie, des dégâts considérables à la suite d'un violent orage. Des images que l'on dirait venir d'une autre région du monde. Le moment de stupeur passé, on invoque le caractère « exceptionnel » des précipitations. On parle de « catastrophe naturelle ».En réalité, si l'o […] Lire la suite
C'est depuis l'espace que la Terre se révèle le mieux comme le royaume de l'eau. Il y aurait environ 1,4 milliard de kilomètres cubes d'eau sur notre planète. Près de 98 p. 100 de l'eau sur la Terre, sous forme salée, constitue les océans et les mers, qui recouvrent...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Consommation d'eau dans le monde
Dans le monde, les prélèvements d'eau opérés à des fins agricoles, industrielles ou domestiques sont estimés à 5 000 kilomètres cubes. La consommation d'eau, qui désigne plus précisément l'utilisation humaine de l'eau à des fins agricoles, industrielles ou domestiques,...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Extension des régions aréiques
Extension des régions privées d'écoulement régulier vers la mer.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Un bassin de retenue en eau et à ciel ouvert, dont le principe est de retenir l'excédent de pluie pendant un certain temps pour la restituer au réseau d'une manière progressive une fois que l'orage est passé, est un exemple de technique alternative au réseau unitaire. Ce...
Crédits : Nassima Mouhous-Voyneau
En ville ou à la campagne, les noues végétalisées recueillent efficacement les eaux de ruissellement des chaussées qui les bordent. Elles contribuent à la fois à l'évacuation et à l'infiltration des eaux en cas de fortes pluies.
Crédits : C. Nijnikoff/ PhotoAlto/ Age Fotostock
Cycle de l'eau en milieu urbain
Les multiples relations entre le cycle naturel de l'eau de la ville et ses activités constituent un véritable casse-tête hydrologique.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Pollution des eaux pluviales urbaines
La pollution résultant des activités urbaines et déposée sur les sols est entraînée par le ruissellement pluvial. Transportée par les égouts pluviaux (réseau séparatif) ou les déversoirs d'orage des réseaux unitaires (eaux usées et eaux de pluie mélangées), cette pollution...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Volume des phases de l'hydrosphère
Estimation du volume des phases de l'hydrosphère (d'après A. Baumgartner & E. Reichel, 1975).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Précipitations et évaporation moyennes pour l'année 1973 sur les océans et les continents, exprimées en millimètres (d'après A. Baumgartner & E. Reichel, 1975).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Drainage : simulation d'un réseau par un objet fractal
Objet fractal de dimension 2, susceptible de simuler un réseau de drainage (d'après B. Mandelbrot, 1975).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Bilan d'écoulement d'un bassin versant
Bilan d'écoulement schématique d'un bassin versant.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Tarage de la station de Parrieu-Bas
Courbe de tarage de la station de Parrieu-Bas sur l'Etze (bassin versant : 143 km2) [d'après G. Réméniéras, 1965].
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Débit des fleuves et rivières français
Débit annuel moyen des principaux fleuves et rivières français, estimé sur longue période à leur embouchure ou à leur sortie du territoire national. Source: secrétariat d'État à l'Environnement et à la Qualité de la vie.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Le Rhin à Rheinfelden (d'après l'« Annuaire hydrologique de la France », 1963, simplifié). En haut : courbes des débits journaliers et des débits classés de 1963 ; courbe des débits classés de la période 1870-1954 ; valeurs de quelques débits caractéristiques et du débit...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Prédétermination des crues par l'analyse fréquentielle : ajustement d'une loi de Fréchet aux débits maximaux annuels du Rhin à Rheinfelden (période 1869-1954).
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Schéma d'un modèle conceptuel de bassin versant « à réservoirs ».
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Bassin versant à réservoirs : zone non saturée
Le réservoir « zone non saturée » d'un modèle conceptuel de bassin versant.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Eau : circulation dans une mer sans marée
Schéma de la circulation de l'eau dans une plage d'une mer sans marées : l'affrontement entre l'eau salée (flèches noires épaisses) et l'eau douce (flèches bleues fines) se traduit par un flux d'eau mélangée (flèches blanches), d'après Delamare-Debouteville.
Crédits : Encyclopædia Universalis France