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Symphonie n° 9 « Du Nouveau Monde », DVOŘÁK (Antonín)

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Malgré quelques audaces harmoniques, le langage de Dvorák se coule dans les moules classiques. Occasionnellement sensible aux influences de Liszt ou de Wagner, il n'apporte rien de véritablement novateur à l'expression musicale du XIXe siècle, si ce n'est un accent typiquement tchèque. Mais il est le véritable fondateur de la tradition symphonique et de la musique de chambre tchèques modernes, où s'illustreront son élève (et beau-fils) Josef Suk, Leos Janacek, Vítezslav Novák ou encore Bohuslav Martinu.

— Alain FÉRON

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Écrit par

  • : compositeur, critique, musicologue, producteur de radio

Pour citer cet article

Alain FÉRON. Symphonie n° 9 « Du Nouveau Monde », DVOŘÁK (Antonín) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Article mis en ligne le et modifié le 05/10/2017