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Sonate du rosaire n° 9, BIBER (Heinrich Ignaz Franz von)

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Forme - Sonate pour violon et basse continue

La forme de cette sonate est hybride entre celle de la sonate de chambre (sonata da camera), œuvre profane pour le concert, qui est une suite libre d'airs de danses, et la sonate d'Église (sonata da chiesa), qui en dérive, mais dont la structure, généralement en quatre mouvements (lent, vif, lent, vif), est plus complexe, avec sa superposition savante de plusieurs lignes mélodiques. Les Sonates du rosaire font appel aux danses de la suite (courante, sarabande, gigue, chaconne...) et à des formes musicales instituées, comme les variations.

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Écrit par

  • : compositeur, critique, musicologue, producteur de radio

Pour citer cet article

Alain FÉRON. Sonate du rosaire n° 9, BIBER (Heinrich Ignaz Franz von) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Article mis en ligne le et modifié le 14/03/2009