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Kol Nidre, CHANT SYNAGOGAL

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À la fin du Ve siècle après J.-C., les massorètes (docteurs juifs) élaborent un système de notation, les te'amîm ("accents"), répondant aux exigences de leurs chants psalmodiques. Plus précisément, ces te'amîm sont des formules mnémotechniques appropriées aux accents de la cantilation biblique, qui se chante sur des modes traditionnels. Parallèlement à la transmission orale qui l'a perpétué, le répertoire du chant synagogal s'est, dès le XVIe siècle, enrichi de l'apport de compositeurs.

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Écrit par

  • : compositeur, critique, musicologue, producteur de radio

Pour citer cet article

Alain FÉRON. Kol Nidre, CHANT SYNAGOGAL [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Article mis en ligne le et modifié le 10/02/2009