FAURÉ GABRIEL (1845-1924)
Bibliographie
M.-C. Beltrando-Patier, Les Mélodies de Gabriel Fauré, thèse de doctorat ès lettres, université de Strasbourg-II, 1978, centre de publication de Lille-III, 1981
G. Fauré, Correspondance, présentée et annotée par J.-M. Nectoux, Seuil, Paris, 1980
P. Fauré-Frémiet, Gabriel Fauré, Rieder, Paris, 1927, 2e éd. Albin Michel, Paris, 1957
F. Gervais, « Étude comparée des langages harmoniques de Fauré et de Debussy », in Revue musicale, no 273, 1971
L. Guichard, La Musique et les lettres au temps du romantisme, P.U.F., Paris, 1955, rééd., éd. d'Aujourd'hui, Plan-de-la-Tour, 1984
W. Jankélévitch, Fauré et l'inexprimable, Plon, Paris, 1974, rééd. Presses pocket, Paris, 1988
C. Kœchlin, Gabriel Fauré, Alcan, Paris, 1922, rééd., éd. d'Aujourd'hui, 1983
M. Long, Au piano avec Gabriel Fauré, Julliard, Paris, 1963
J.-M. Nectoux, Fauré, Seuil, Paris, 1972, 2e éd. 1986 ; Gabriel Fauré, les voix du clair-obscur, Flammarion, Paris, 1990
R. Orledge, Fauré, Eulenburg, Londres, 1980, rééd. Da Capo Press, New York, 1982
C. Saint-Saëns & G. Fauré, Correspondance, Société française de musicologie, Paris, 1973
N. Suckling, Fauré, Dent, Londres, 1946, 2e éd. 1951, rééd. Hyperion Press, Westport (Conn.), 1987
E. Vuillermoz, Gabriel Fauré, Flammarion, Paris, 1960, rééd. Da Capo Press, 1983.
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Écrit par
- Marie-Claire BELTRANDO-PATIER : docteur ès lettres, professeur à l'université de Lille III-Charles-de-Gaulle, directeur de recherche à l'université de Paris-IV-Sorbonne
Classification
Pour citer cet article
Marie-Claire BELTRANDO-PATIER. FAURÉ GABRIEL (1845-1924) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )
Média
Gabriel Fauré
Hulton Archive/ Getty Images
Autres références
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LIED
- Écrit par Henry BARRAUD
- 3 224 mots
- 9 médias
C'est avec Gabriel Fauré qu'apparaît le compositeur de lieder le plus fécond de l'histoire musicale française. Ses lieder sont très spécifiquement français par le jeu harmonique qui les commande de la première à la dernière mesure. Fauré se plaît à enchaîner les uns aux autres des accords dissonants.... -
NOCTURNE, musique
- Écrit par Roger BLANCHARD
- 500 mots
- 1 média
Le mot nocturne, en musique, désigne moins une forme spécifique qu'un instant poétique, un « moment musical », dont la nuit est le prétexte.
Certes, au xviiie siècle, on rencontre le mot notturno ou Nacht-Musik appliqué à des suites instrumentales, divertissements ou cassations, musiques...
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PIANO
- Écrit par Daniel MAGNE, Alain PÂRIS
- 4 344 mots
- 15 médias
Reprenant la démarche de Chopin, Fauré marque la transition vers le xxe siècle, avec de courtes pièces dont la réalisation technique dépend totalement de la création musicale. Raffinement subtil, palette harmonique renouvelée, sens de la nuance caractérisent cette musique à laquelle ont nui des interprétations...
Voir aussi
