Fantaisie en ut majeur, SCHUMANN (Robert)

Article mis en ligne le 19/01/1999
Modifié le 14/03/2009
Écrit par Alain FÉRON

Forme - Fantaisie pour piano

Le piano devient au XIX^e siècle l'instrument privilégié de la fantaisie, avec Schubert (Wanderer-Fantasie, 1822), Mendelssohn-Bartholdi (Fantaisie en fa dièse mineur, 1833), Chopin (Fantaisie en fa mineur, 1841), Brahms (Fantaisies op. 116, 1892) mais aussi Wagner (Fantaisie en fa dièse mineur, 1831). La Fantaisie en ut majeur de Schumann figure, avec les ultimes sonates de Beethoven et la Sonate pour piano en si mineur de Liszt, parmi les monuments de la littérature pianistique du XIX^e siècle.

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Écrit par

Alain FÉRON : compositeur, critique, musicologue, producteur de radio

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Pour citer cet article

Alain FÉRON. Fantaisie en ut majeur, SCHUMANN (Robert) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

FÉRON, A.. Fantaisie en ut majeur, SCHUMANN (Robert). Encyclopædia Universalis. (consulté le )

FÉRON, Alain. « Fantaisie en ut majeur, SCHUMANN (Robert) ». Encyclopædia Universalis. Consulté le .

FÉRON, Alain. « Fantaisie en ut majeur, SCHUMANN (Robert) ». Encyclopædia Universalis [en ligne], (consulté le )

Article mis en ligne le 19/01/1999 et modifié le 14/03/2009