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Divertimento pour cordes K 136, MOZART (Wolfgang Amadeus)

Forme

Le divertimento comporte de 3 à 12 mouvements. Sa forme est libre et on en trouve pour les cordes, pour les vents ou pour les deux à la fois. Une des formations les plus courantes est le trio (deux violons et une basse, par exemple un violoncelle), illustré notamment par le jeune Haydn. L'adjonction d'un alto transforme le divertimento en un quatuor à cordes. Haydn a composé 66 divertimentos, Mozart 21. Après une éclipse, le divertimento renaît au XXe siècle, avec Bartók (Divertimento, pour orchestre à cordes, 1939), Arthur Vincent Lourié (Divertimento, pour violons et altos, 1943), Lennox Berkeley (Divertimento, 1943), Werner Egk (Divertimento, pour cordes, 1953)...

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Écrit par

  • : compositeur, critique, musicologue, producteur de radio

Pour citer cet article

Alain FÉRON. Divertimento pour cordes K 136, MOZART (Wolfgang Amadeus) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Voir aussi