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Porte-drapeau

  • Nom masculin singulier

Définition

  1. celui qui porte le drapeau d'un régiment
  2. chef, représentant d'un mouvement

"porte-drapeau" dans l'encyclopédie

  • MONTILLET CAROLE (1973- )

    • Écrit par Pierre LAGRUE
    • 3 016 mots

    En 2006, aux jeux Olympiques de Turin, Carole Montillet est une nouvelle fois le porte-drapeau de la délégation française lors de la cérémonie d'ouverture, le monde du sport lui rendant ainsi hommage. Mais elle chute lourdement lors de l'entraînement de la descente ; néanmoins, courageuse, elle tient à prendre le départ et se classe vingt-huitième.

  • ESTANGUET TONY (1978- )

    • Écrit par Pierre LAGRUE, Universalis
    • 5 395 mots

    Au contraire : « Être porte-drapeau m'a offert plus qu'un triplé olympique. [...] Ce fut vibrant, palpitant, émouvant, généreux, individuel et collectif, et, surtout, humaniste, empreint de respect, de solidarité, de fair-play, de fraternité... », déclarera-t-il après avoir analysé son échec sportif. Tony Estanguet est né le 6 mai 1978 à Pau (Pyrénées-Atlantiques).

  • LOUYS SPIRIDON (1873-1940)

    • Écrit par Universalis
    • 1 995 mots

    Devenu le symbole des Jeux modernes, il fut le porte-drapeau de la délégation grecque à l'occasion des Jeux de Berlin en 1936.

  • CULTISME ou CULTÉRANISME, littérature

    • Écrit par Bernard SESÉ
    • 2 129 mots

    Jáuregui se fait le porte-drapeau de l'école de Séville. Représentés par Pedro de Valencia et Francisco Cascales, les humanistes engagent à leur tour la querelle. En revanche, le cultéranisme eut d'ardents partisans, tels que F. de Trillo y Figueroa, J. de Espinosa Medrano, J.-G. Salcedo Coronel. Outre Góngora, des écrivains qui ne sont pas des moindres l'ont illustré : le Conde de Villamediana (Fábula de Faetón, La Gloria de Niquea), Pedro Soto de Rojas (Paraíso cerrado para muchos, jardines abiertos para pocos), Polo de Medina, Bocángel.

  • GRICHINE EVGUENI (1931-2005)

    • Écrit par Universalis
    • 1 798 mots

    Grichine participe pour la dernière fois aux jeux Olympiques en 1968, à Grenoble, où il est choisi comme porte-drapeau de la délégation soviétique. Alors âgé de trente-six ans, il termine quatrième du 500 mètres remporté par l'Allemand de l'Ouest Erhard Keller. Par la suite, Evgueni Grichine deviendra un entraîneur très respecté dans le monde du patinage de vitesse.

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