Cosmologies
4176CHINOISE (CIVILISATION) - La pensée chinoise
Depuis des temps qui se perdent aux origines légendaires, la mentalité chinoise est soutenue et sous-tendue par ce que l'on peut, faute de mieux, appeler une doctrine.Doctrine forte et profonde qui justifie l'histoire entière de la Chine, mais sans laquelle un monde s'écroule pour ne laisser subsister qu'une poussière de faits dans un désordre inexplicable. Aucune analyse socio-économique ne saura […] Lire la suite
CHINOISE (CIVILISATION) - Symbolisme traditionnel et religions populaires
Le monde n'était pas pour les anciens Chinois l'œuvre d'un créateur. Les fragments de mythes cosmologiques qui subsistent parlent de héros qui aménagèrent la terre pour la rendre habitable, de sages qui firent de l'homme primitif un civilisé ; il n'est nulle part question d'une création ex nihilo. Il y avait aussi des mythes relatifs à l […] Lire la suite
ÉLÉMENTS THÉORIES DES
Le pluriel latin elementa désignait, le plus souvent, les « quatre éléments » : le Feu, l'Air, l'Eau et la Terre (cf. Sénèque, Naturales Quaestiones, III, 12 ; Cicéron, Academica, I, 26) et le singulier elementum, d'un usage bien plus rare, l'un des « quatre éléments » (cf. Pline […] Lire la suite
MAṆḌALA
Le maṇḍala (terme sanskrit signifiant « cercle » ; en tibétain, dkyil-'khor) est l'expression d'un concept cosmologique qu'énoncent les textes anciens de l'Inde et que l'on traduit plastiquement sous des aspects variés. Il joue un rôle mystique et rituel dans les religions issues de l'Inde, notamment dans l' […] Lire la suite
ZHOUYI CANTONGQI [TCHEOU-YI TS'AN-T'ONG-K'I]
Traité de cosmologie spéculative dont le titre signifie, approximativement, « La Concordance des trois [éléments] dans le Livre des changes des Zhou ». Le Zhouyi cantongqi est une interprétation des huit trigrammes qui sont à l'origine des soixante-quatre hexagrammes dans le Livre des changes (Yijing), un des treize classiques, ainsi que […] Lire la suite
Diagramme du « faîte suprême » adapté de Zhou Dunyi (Tcheou Touen-yi), env. 1050 apr. J.-C. Les cinq cercles sont rigoureusement équivalents et ne font que présenter aux yeux humains les aspects de « tai ji », le faîte suprême. Cercle supérieur : tai ji dans sa pure vacuité...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Cycle de succession des « wu xing ». Chacune des quatre modalités placées aux points cardinaux (
Crédits : Encyclopædia Universalis France